Le ministre de la Culture et du Tourisme a annoncé la création d’une radio pour les écrivains pour la vulgarisation des œuvres littéraires. C’était hier à Keur Birago lors de la célébration de la Journée mondiale du livre et du droit d’auteur.  

Les écrivains auront bientôt une radio. C’est la promesse faite par le ministre de la Culture et du Tourisme, Youssou Ndour, hier à Keur Birago lors de la célébration de la Journée internationale du livre et du droit d’auteur. Ndour a annoncé la nouvelle après avoir écouté les différents intervenants exposer les problèmes du livre et de sa promotion au Sénégal. Selon lui, la fréquence permettra aux écrivains de vulgariser leurs productions littéraires auprès des lecteurs. Ceci résoudra le déficit de promotion constaté au niveau des médias existants.

«La radio fera connaître les livres et toutes les autres formes d’art», dit-il. Mais avertit-il, «la musique ne jouera pas les premiers rôles dans cette fréquence, car il y a déjà des stations privées qui s’en occupent». La radio des écrivains diffusera la tradition orale et la production audio tirée des extraits de livre. Le ministre de la Culture appelle à revoir les contenus et les produits extérieurs qui envahissent le pays. Pour lui, la radio va permettre de rectifier tous ces impairs.

Le président de l’Association des écrivains du Sénégal (Aes), Alioune Badara est favorable à l’idée. Car pour lui, «le livre n’a toujours pas le support qu’il faut dans les stations radios». Même s’il reconnaît qu’il y a beaucoup d’émissions dédiées à la littérature, Bèye dénonce «les passages vides». Déjà le président de l’Aes signale qu’un comité sera constitué pour  tracer les voies et moyens afin que cette radio puisse fonctionner de manière  normale.

Au-delà des écrivains, le ministre Youssou Ndour, soulignant son intérêt pour la culture, estime qu’une large concertation sera entamée avec tous les acteurs pour solutionner les problèmes de la culture. Il assimile la culture à un train dont tous les wagons se valent. Il assure qu’il fera tout le nécessaire pour que toutes les formes d’art se développent.

DEVANT LES ECRIVAINS : You sort ses talents de «charme»

Tout le monde sait que le chanteur Youssou Ndour est une véritable bête de scène. Aujourd’hui dans les habits de ministre de Culture et du Tourisme, il a aussi ses propres astuces. Hier, lors de la célébration de la journée mondiale du livre et du droit d’auteur, à keur Birago, c’est un Youssou Ndour affectueux qui s’est présenté.  Très détendu dans son costume noir assorti d’une cravate de même couleur et d’une chemise blanche, le ministre, sourire affiché durant toute la rencontre, était très disponible pour tous. Oreilles attentives aux discours, hochement de la tête pour approuver les propos des uns et des autres, il n’a pas hésité à céder sa place aux différents orateurs pour un meilleur enregistrement devant la multitude de micros des confrères. Il était parfois même le premier à applaudir lorsque de bonnes idées sortaient.

Lors du discours du président le l’Association des écrivains du Sénégal (Aes), Aioune Badara Bèye, il s’est levé pour saluer une future jeune écrivaine porteuse de handicap obligeant Bèye à interrompre ses propos. Youssou Ndour par ce geste affectif sert aussi une accolade à la romancière Aïssatou Cissé, elle est aussi porteuse de handicap. Sa communication est aussi inédite. Son discours qu’il a entamé en Wolof devant les écrivains et autres intellectuels, s’est terminé en français. Pour une première sortie en public devant les acteurs du milieu, le nouveau ministre fait dans le «charme».

Baba MBALLO

Lu sur http://www.walf-groupe.com

 

 
Nous avons trahi l’héritage de nos ancêtres. L’Afrique est le berceau de l’humanité. Notre illustre compatriote CHEIKH ANTA DIOP l’a scientifiquement démontré.

L’homo sapiens sapiens africanus était bien un nègre. ‘’ Ce serait en raison de sa migration vers d’autres lieux et son acclimatation dans diverses parties du globe qu’il aurait connu des transformations physiologiques l’amenant à perdre sa mélanine et l’aspect crépu de ses cheveux. ‘’
C’est bien en Éthiopie qu’ont été découverts les plus anciens restes connus au monde de l’homme moderne. L’Afrique est donc le berceau des premières civilisations humaines. ‘’Le Nègre ignore que ses ancêtres, qui se sont adaptés aux conditions matérielles de la vallée du Nil, sont les plus anciens guides de l’humanité dans la voie de la civilisation ; que ce sont eux qui ont créé les Arts, la religion, la littérature, les premiers systèmes philosophiques, l’écriture, les sciences exactes, la médecine, l’architecture, l’agriculture, à une époque où le reste de la Terre était plongé dans la barbarie ! ‘’
N’est-ce pas en Afrique qu’est née et s’est développée l’une des plus brillantes civilisations de l’histoire de l’humanité ?
Nous avons trahi l’héritage de nos ancêtres parce-que notre continent patauge dans un bourbier indescriptible et souffre de tous les maux. Il est affligeant de constater que les descendants des Pharaons d’Égypte sont les plus pauvres au monde, ils souffrent du sous-développement, de la famine, des carences sur le plan de l’éducation, de la santé, sont en retard sur les plans techniques et technologiques. C’est en Afrique que les droits de l’homme sont les plus bafoués. La corruption et l’injustice gangrènent notre continent et entravent notre développement.
Mon dieu, que sont devenus les descendants des plus grands bâtisseurs de l’histoire ?
Ils n’ont plus rien à dire, ‘ Waax rek mognou décé ‘ des mots, des mots, rien que des mots et des querelles stériles. Si nous avions perpétué l’œuvre de nos ancêtres, nous n’en serions pas là à devoir fouiller dans le passé pour pouvoir prétendre à un peu de respect. Parce que nous sommes des citoyens de seconde zone dans un monde ou nous n’avons pas droit à la parole. On ne nous consulte pas, même pas pour les décisions concernant l’avenir de la planète. Nous n’avons rien à dire, juste à tendre la main et quémander parce que nous sommes incapables de nous prendre en charge nous-mêmes.
Bien sûr, nous pouvons invoquer des circonstances atténuantes. Oui, comment en serait-il autrement ? Nous avons tellement souffert, nous sommes à genoux meurtris par plusieurs siècles d’esclavage. Pendant la traite négrière, au moins quinze millions d’hommes et de femmes ont était arrachés à notre continent.
Oui cette déportation massive a perturbé, le développement des pays d’Afrique. Pendant la colonisation l’occident a continué à pilier nos richesses. Aujourd’hui des puissances impérialistes perpétuent leurs pratiques abjectes. L’exploitation et l’asservissement continuent et portent le masque subtil de l’aide au développement.
A l’heure du Néocolonialisme, les pays créanciers, les pays donateurs, les grandes institutions internationales nous dictent leurs lois. Oui, dans cette course au développement nous souffrons de sérieux handicaps. Oui l’Afrique est encore enchainée Mais alors, que dire des Japonais qui ne sont partis de rien après la Deuxième Guerre mondiale ? Malgré des richesses naturelles inexistantes et un pays entièrement détruit par les bombes, ils ont réussi à se hisser au rang de puissance mondiale. Ces gens sont-ils plus intelligents que nous ? Ou sont-ils plus courageux que nous ?
En tout cas, partis de rien, ils ont réussi à se prendre en charge et aujourd’hui ils ne comptent sur personne. C’est la preuve évidente qu’il nous est possible à nous aussi de changer de vie.
Je vous invite à la révolution, pas dans le sens violent du terme mais comme un changement radical d’orientation, nous devons nous libérer du passé et regarder vers l’avenir. ‘’Le malheur du nègre est d’avoir été esclave… Mais je ne suis pas l’esclave de l’esclavage qui déshumanisa mes pères. Je suis mon propre fondement ‘’. Notre avenir n’est pas déterminé par notre passé, c’est l’idée que nous nous faisons de l’avenir qui détermine ce que nous sommes.

Nous devons vous libérer de nos complexes d’infériorité qui entravent l’expression de notre génie. Nous devons arrêter d’essayer de copier des modèles de développement qui de l’aveu même de leurs créateurs sont sans avenir.
Ce sursaut nous le devons à notre mère Afrique au non de la liberté. Connaissez-vous une adresse au Sénégal où on fabrique des aiguilles pour machine à coudre ou des lames de rasoir ? C’est à cause de notre incapacité à concevoir des objets si peu complexes que nous dépendons des autres. Notre indépendance est une déclaration de principes. La réalité est bien moins reluisante : Nous sommes à genoux, pieds et mains liés, estampillés : peuplades primitives.
Nous devons nous montrer dignes de l’héritage de nos ancêtres en restaurant la Dignité et le Respect. Comment pourrions-nous concevoir et accepter qu’en l’espace de quelques siècles nous ayons tout oublié ? Nous pouvons comprendre qu’à cause de facteurs historiques sur lesquels il est inutile de s’attarder que l’Afrique accuse un certain retard, mais rien n’explique notre léthargie actuelle. Nous avons du génie, nous avons de la créativité, nous avons notre mot à dire et nous allons le crier haut et fort.

Nous devons aller au-delà des mots et des discours, au-delà des déclarations d’intentions au-delà des querelles révisionnistes stériles, vers un pays qui s’appelle CONCRET. Un pays dans lequel les habitants ne tendent pas la main et n’attendent rien de personne. Un pays dans lequel les mots LIBERTE, DIGNITE et HONNEUR revêtent tout leur sens. C’est mon ambition pour notre mère Afrique.
Rappelez-vous que l’œuvre de création n’est pas une exclusivité réservée à une élite formée dans les grandes écoles occidentales. Faux ! C’est encore ce qu’ils voudraient nous faire croire pour mieux nous assujettir. Ces institutions enseignent une science qui est une expression standardisée d’une partie du savoir universelle, un savoir que nous et nos ancêtres avons aussi contribué à bâtir. Une science qui n’est pas la science parce que non exhaustive. Une science qui n’a que trop souvent montré ses limites et nous limite dans notre compréhension du monde. Dans leur modèle le grand-père sorcier noir qui guérit avec des incantations ne détient pas un savoir. Pourtant nous savons bien que ces incantations nous font du bien quand leurs médications se révèlent impuissantes.
C’est dans notre génie et notre créativité, dans notre âme noire que se trouvent nos solutions
Je vous invite à la révolution, à la renaissance d’un Africain d’un nouveau genre ; libéré de ses complexes et de son passé, citoyen du monde, sans couleur ni frontières, enrichi de toutes les influences et soucieux de préserver son authenticité
Je vous invite à travailler à la renaissance africaine, une Afrique libérée de ses chaines qui prend son destin en main. Une Afrique apaisée et sereine, qui est prête à oublier. Une Afrique fière et digne qui regarde vers l’avenir. Avec la mondialisation nous avons une opportunité unique de combler le fossé qui nous sépare des autres.
Notre liberté dans ce monde sera fonction de notre détermination à refuser de nous aliéner aux autres.
Je suis heureux de vous avoir rencontré, Je sais que nous partageons cette vision commune d’une Afrique libre, fière et digne. II nous est possible de changer de vie, non pas dans une dynamique de rupture, mais pour faire évoluer les rapports nord-sud vers un partenariat gagnant-gagnant.

Nous sommes capables en puissant dans le capital commun des connaissances universelles de concevoir les outils du développement. Des machines adaptées a nos besoins et accessibles à notre budget. Nous pouvons nous appuyer sur notre sensibilité noire pour élaborer des solutions alternatives. Nous pouvons nous développer par nous-mêmes. Nous pouvons nous développer autrement.
Nous sommes dépositaires du savoir de nos ancêtres, cet héritage est enfoui tout au fond de chacun d’entre nous, nous devons briser les barrières mentales qui entravent l’expression de notre génie. Cette bataille doit commencer de manière individuelle. Chacun en fonction de ses compétences et de sa sensibilité devra apporter sa pierre à l’édifice de la reconquête de l’initiative historique.
Je suis venu à vous à bord de mon propre véhicule. Les mauvaises langues diront que je n’ai rien inventé. Oui, parce que ce n’était pas dans mon intention, je ne cherche pas à réinventer le sucre je cherche seulement des solutions techniques africaines pour les problèmes techniques africains. Mes ancêtres se sont adaptés aux conditions matérielles de la vallée Nil pour bâtir une civilisation millénaire. J’ai retenu la leçon.
Il faudra qu’on se souvienne de nous comme de ceux qui un jour ont livré la dernière bataille. Ceux qui ont brisé les barrières mentales. Ces chaines invisibles et sournoises qui avaient fini par saper les bases de notre confiance en nous et déstructuré notre personnalité noire, il faudra qu’on se souvienne de nous comme de ceux qui un jour on inversé la tendance pour restaurer l’Afrique dans ces droits.
Je vous invite à faire ensemble ce que nous voulons avec ce que nous avons parce que somme toute l’intelligence c’est notre capacité à profiter du milieu et cela nous le savions depuis très très longtemps….

Par Baila Ndiaye

 
Syndiely 1.1 Une voiture faite de bric et de broc

Conçue et réalisée par moi même dans les ateliers du Lycée d enseignement Technique et de Formation Professionnel de Thies .Nous sommes capables en puissant dans le capital commun des connaissances universelles de concevoir des machines adaptées à nos besoins et accessibles à nos budgets . Nous pouvons nous développer par nous mêmes . — avec Baila Ndiaye.

 

Message de Baila Ndiaye :
Je profite de la tribune qui m’est offerte pour lancer un appel aux frères et soeurs de la Diaspora – Je suis entrain de fabriquer un avion. Je recherche une hélice tripale propulsive de 1.6 m de diamètre. Même un hélice en fin de vie fera l’affaire, je compte sur vous !!!

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