NASA attribue le prix "Transfert de technologie" à la tunisienne Zoubeïda Ounaïes

La NASA a attribué le prix de la Fondation nationale américaine des sciences au Dr Zoubeïda Ounaïes, jeune tunisienne enseignante, universitaire et chercheuse à l’Université A et M au Texas aux USA.La Nasa a honoré le Dr Zoubeïda Ounaïes pour son exceptionnelle contribution au transfert de technologie,  en lui décernant solennellement le prix Richard T. Whitcomb et Paul F.Holloway pour l’année 2009, prix consacré au «Transfert de la technologie». Cela intervient dans le cadre de ses activités de recherches et principalement au sujet de sa collaboration avec la Nasa.

Dr Zoubeïda Ounaïes a, à son actif à ce jour, deux inventions: l’une portant sur «Materials made from carbone nanotube polymer composites and methods for making same » et l’autre portant sur : «Multilayer electroactive polymer composite material ».

Formation:
– Ph.D. in Engineering Science and Mechanics, Pennsylvania State University, 1996
– M.S. in Mechanical Engineering, Pennsylvania State University, 1991
– B.S. in Mechanical Engineering, Pennsylvania State University, 1989

Quelques Publications:
– « Piezoelectric Polymers », J. S. Harrison and Z. Ounaies, Encyclopedia of Smart Materials, ed: A. Biderman, Pub: John Wiley and Sons, 2002. « Characterization of Piezolectric Ceramics », Z. Ounaies and T. L. Jordan, Encyclopedia of Smart Materials, ed: A. Biderman, Pub: John Wiley and Sons, 2002.

– « An Overview of the Piezoelectric Phenomenon in Amorphous Polymers », Z.Ounaies, J. A. Young, J.O.Simpson, Field Responsive Polymers: Electroresponsive, Photoresponsive, and Responsive Polymers in Chemistry and Biology, eds: I. Khan and J. S. Harrison, ACS Washington, D.C., (1999), p.88-103.

– « An Investigation of Piezoelectricity of a Nitrile-Substituted Polyimide », Z. Ounaies, and J. S. Harrison, submitted to Journal of Polymer Science: Polymer Physics, (2001). « A Domain Wall Model for Hysteresis in Piezoelectric Materials », R. C. Smith and Z. Ounaies, Journal of Intelligent Material Systems and Structures 11, no.1, (2000) p.62.

– « Electrical Properties and Power Considerations of a Piezoelectric Actuator », T. Jordan, Z. Ounaies, J. Tripp, and P. Tcheng, Materials Research Society Proceedings: Materials for Smart Systems III Volume 604, edited by M. Wun-Fogle, K. Uchino, Y. Ito, R. Gotthardt, 1999.

 

Lu sur http://www.aeronautique.ma/

Quatorze villes équipées pour un investissement de 4,8 milliards d’euros

Le président de l’Entreprise du Métro d’Alger a indiqué que l’Algérie compte investir la somme de 4,8 milliards d’euros pour aménager des lignes de tramways dans quatorze villes du pays.

Mardi 21 août, le PDG de l’Entreprise du Métro d’Alger (EMA), Aomar Hadbi, a indiqué que l’Algérie avait mobilisé plus de 447 milliards de dinars soit 4,8 milliards d’euros, pour doter quatorze grandes villes algériennes de tramways. Selon l’agence APS, Aomar Hadbi a fait savoir qu’ « une enveloppe financière de plus de 447 milliards de dinars est consacrée par l’Etat à la modernisation du transport public à travers l’introduction du tramway dans plusieurs grandes villes du pays ». Les habitants des villes de Sidi Bel Abbès, Mostaganem, Tlemcen et Bechar (dans l’Ouest du pays), Sétif, Annaba, Batna, Béjaïa, Biskra, Skikda, Tébessa et Ourgla (dans l’Est), ainsi que Blida et Djelfa (au centre) devraient ainsi bientôt pouvoir se déplacer en tramway.

Des projets qui s’ajoutent à ceux en cours

En dehors de la capitale, les travaux des projets de tramways à Constantine (à 413 km au sud-est d’Alger) et à Oran (à 435 km à l’ouest d’Alger), progressent rapidement. A Alger, deux tronçons de la première ligne de tramway, la « ligne Est », qui relie Bordj El Kiffan aux Fusillés viennent d’être mis en service. Pour désengorger la capitale et les grandes métropoles, l’Algérie a opté pour une politique de diversification des moyens de transport, notamment sur rail.

Le 31 octobre 2011, l’Algérie avait déjà inauguré dans la capitale, sa première ligne de métro longue de 9,5 km qui relie Haï el Badr (banlieue sud-est) à Tafourah-Grande poste (centre-ville).

PAR CHRISTIE JUILLET

 

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Un pêcheur de la commune rurale de Mangagoulak, en Casamance.

Un pêcheur de la commune rurale de Mangagoulak, en Casamance. © Maxime Le Hégarat pour J.A.

Dans une Afrique où l’argent des ONG joue un rôle controversé, l’association Kawawana fait figure d’exception. Regroupant des centaines de pêcheurs, elle met un point d’honneur à ne pas dépendre des aides extérieures. Pour mieux préserver les ressources naturelles et la biodiversité de ses mangroves, source de pêche. Reportage.

« Kawawana » : « préserver notre patrimoine ancestral », en langue diola. L’association qui porte ce nom a été créée à l’été 2010 par les habitants de la communauté de Mangagoulak, en Casamance (Sud du Sénégal). Son objectif est aussi simple qu’ambitieux : protéger les ressources en poissons de cette commune rurale pour assurer la sécurité alimentaire de la population. Et ça marche.

 

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