Un franco béninois 4e entrepreneur le plus révolutionnaire au monde derrière Steve Jobs, Mark Zuckerberg et Cameron

Un franco béninois 4e entrepreneur le plus révolutionnaire au monde derrière Steve Jobs, Mark Zuckerberg et Cameron

La revue scientifique canadienne Discovery Series, consacre Bertin Nahum (42 ans), fondateur de la PME montpelliéraine Medtech, comme un des plus grands entrepreneurs révolutionnaires de son temps.

L’entrepreneur originaire du Bénin, né au Sénégal et ayant grandi en France a été reconnu pour le lancement de son dernier robot Rosa spécialisé dans l’assistance robotique à la chirurgie.

Son robot apporte une aide essentielle aux chirurgiens lors des opérations délicates : « C’est une sorte de GPS si vous voulez. Grâce à cette machine, l’opérateur va pouvoir atteindre avec précision une zone du cerveau et au lieu d’effectuer l’opération à main levée, c’est le bras du robot qui va agir. Cela peut s’avérer très utile pour poser une électrode ou réaliser la ponction d’une tumeur » explique Nahum. Depuis 2009 Rosa est intervenu dans plus de 600 procédures d’opérations chirurgicales.

Diplomé de l’INSA Lyon il travaille pendant 10 ans au sein de grands groupes spécialisés en robotique chirurgicale (INNI, Computer Motion, Sinters) avant de créer Medtech en 2002.

Medtech compte une vingtaine de salariés et réalise 2 millions € de chiffre d’affaire.

Lors d’un entretien au journal Le Figaro, Nahum reconnait « comme beaucoup d’entreprises innovantes, nous avons eu beaucoup de mal à être reconnus en France et à être pris au sérieux. Bien souvent, il faut passer par l’étranger pour convaincre la France »

 

Lu sur http://www.agenceecofin.com

Après son succès au Festival du film africain de Milan et au Festival international de Seattle, le film «Tey » du Franco-sénégalais d’Alain Gomis continue de triompher. Il a été sacré meilleur long-métrage de fiction de la neuvième édition du Festival du cinéma africain de Cordoue (Espagne).
Les rideaux sont tombés sur la neuvième édition du Festival du cinéma africain de Cordoue (Espagne), samedi dernier, sous une bonne note pour le septième art sénégalais avec la consécration de «Tey» du réalisateur  Alain Gomis comme meilleur long-métrage de fiction.
Un triomphe pour ce film qui vient s’ajouter à ceux de Milan et de Seattle. 7000 euros, c’est le montant du prix qui a été accordé au réalisateur franco-sénégalais.
«Tey », dont l’esthétique est poussée à l’extrême, a séduit le jury de cette neuvième édition du Fcat composé, entre autres, de Sylvia Perel, directrice du Festival international de cinéma latino américain, Tanya Valette, de la République Dominicaine, et de Carolyn Kamya, une réalisatrice et comédienne de l’Ouganda.
Selon le jury, ce long-métrage de fiction  “exprime profondément, et avec une dose de fluidité poétique, le sujet essentiel de la vie et de la mort”.

Toujours dans le  même registre, le Prix de la meilleure interprétation masculine doté de 1500 euros est revenu à Saul Williams pour son rôle dans «Tey ».
Il a su incarner, durant tout le film, des émotions subtiles et véritables avec une élégance et une discrétion qui émeuvent.

Le tout premier Salon du livre de Yaoundé se tiendra du 25 au 27 octobre 2012 à l’Hôtel de Ville. C’est une initiative de l’Association Nationale des Editeurs de Livres du Cameroun qui aura pour thème : « Le livre machine à se projeter dans le futur ». Durant trois jours, le public amateur de livre aura l’occasion d’échanger avec les acteurs du domaine à travers les conférences débat, des séances dédicaces, des table-rondes et autres rencontres.

L’on y discutera notamment sur « le livre comme objet d’échange » ou encore sur la « Littérature jeunesse et création de l’identité ». Le côté festif ne sera pas en reste avec des animations diverses, des ateliers et démonstrations graphiques et des séances de lecture publique par des jeunes et des adultes.

Yaoundé accueille son premier salon du livre

De grosses pointures de la scène littéraire du Cameroun y prendront part à l’instar de Jean Emmanuel PondiElizabeth MoundoEbenezer Njoh Mouelle. Ils présenteront des ouvrages qui ont changés leur vie et qui peuvent changer le monde. Pour rehausser cet évènement novateur il est prévu une cérémonie de prix et concours littéraires ainsi que le lancé de ballon de l’activité. Chaque visiteur est invité à coller le titre de son livre préféré ou d’écrire quelques chose sur le livre, sur un sticker à coller sur des ballons placés en forme de livre et qui serviront au lancé de ballon de la cérémonie de clôture du site.

 

Lu sur http://www.news.mboa.info

La Franco-gabonaise Vanessa Roux est dirigeante du cabinet Val'or Conseil depuis 2009. DR
La franco-gabonaise Vanessa Roux vient de lancer le site Africazeva, source de renseignements en tous genres destinés à faciliter les déplacements des voyageurs d’affaires en Afrique. 

Plus jamais ça. Obligée un soir de week-end de quitter en urgence Libreville pour Ndjamena, Vanessa Roux met à profit les huit heures de vol et les trois escales qu’elle doit s’infliger pour cogiter sur un concept qui, un an plus tard, pourrait bien valoir de l’or. « Sans l’aide d’une agence de voyages je n’ai pas pu trouver de liaisons aériennes plus rapides. Je me suis alors rendue compte qu’il était très difficile de trouver en ligne des informations pratiques sur l’Afrique », raconte cette jeune Franco-gabonaise, qui vient de lancer le 12 octobre son site internet Africazeva pour combler le vide constaté.

 

Lire l’article sur http://economie.jeuneafrique.com/regions/afrique-subsaharienne/13190-lafrique-en-un-clic-sur-africazeva.html

Selon une étude publiée par le cabinet de conseil international PricewaterhouseCoopers, le secteur des télécommunications en Afrique n’est plus un marché au « fort potentiel », mais un marché à « croissance élevée ».

Dans une étude intitulée « Communications review, telecoms in Africa: innovating and inspiring », le cabinet de conseil PricewaterhouseCoopers (PwC) affirme que le continent, malgré ses 500 millions d’abonnés mobiles, reste encore un marché inexploité. Selon ce rapport, « avec des milliards de dollars d’investissement international et le nombre d’abonnés en forte augmentation à travers le continent, le marché des communications africain a atteint un point d’inflexion : le fort potentiel commence à se transformer en forte croissance. ». Le cabinet estime ainsi qu’une augmentation de 10% de la pénétration mobile dans un pays donné résulte dans une hausse de 0,6% du taux de croissance économique.

Lire l’article sur http://economie.jeuneafrique.com/regions/international-panafricain/13174-pwc–forte-croissance-pour-les-telecoms-africaines.html

La Librairie Galerie Congo participe à la 17ème édition du salon Plume Noire qui se tiendra le vendredi 19 octobre 2012 à « l’ADRESSE » 34, boulevard de Vaugirard, Paris 15ème sous le thème de la poésie. Un hommage y sera rendu à Léon Gontran Damas.octobre 2012 – communiqués de festivalscontact mail

Le SALON DU LIVRE DE LA PLUME NOIRE 2012.

Le Salon du Livre de la Plume Noire est organisé pour promouvoir les littératures du monde noir et du monde francophone. Il est l’un des rendez-vous de Lire en Fête (manifestation nationale du ministère de la Culture et de la Communication). Pendant le salon, pour la 7ème année consécutive, le « Prix Senghor », sera remis en présence de Henri Lopes, écrivain et ambassadeur du Congo en France, et de nombreuses personnalités.

La sélection de l’édition 2012 :

Thure de Thierry LEUZY – Ed. de la Bagnole (Québec)
Le goût du rat de Maureen PITZ – Ed Le Bas Vénitien (Belgique)
Arvida de Samuel Archibald – Ed Le Quartanier (Québec)
L’angle mort de Véronique Merlier – Ed Arléa (France)
Tous les corps naissent étrangers de Hugo Léger – XYZ Editeurs (Québec)
Le silence ne sera qu’un souvenir de Laurence Vilaine – Ed Gaïa (France-Roumanie)
Si tu passes la rivière de Geneviève Damas – Ed Luce Wilquin (Belgique)
La nuit du chien de Olivier Brunhes – Ed Actes Sud (France)
Avant le silence des forêts de Lilyane Beauquel – Gallimard (France)
Les deux aveugles de Jéricho de Matthieu Mégevand – Ed. L’Age d’Homme (Suisse)
Léna de Virginie Deloffre – Ed Albin Michel (France-Russie)

Partenaire du Salon Plume Noire pour la troisième année consécutive, la Librairie Galerie Congo organisera des séances de dédicaces et proposera une vaste sélection de titres liés aux thèmes abordés pendant les tables-rondes, les livres des auteurs sélectionnés pour le Prix Senghor, et les dernières sorties littéraires.

L’exposition collective éphémère « Art Urbain, Nature et Pixel » avec les oeuvres de Christophe BLANC (peintre), Ivan SOLLOGOUB (peintre), Jacques SUBILEAU (peintre-Plasticien), Jérôme GULON (céramo- Plasticien) et Yves YACOËL (plasticien) est ouverte au public du 19 au 21 Octobre 2012.

Pour obtenir le programme détaillé : Marie-Alfred Ngoma, 01 40 62 72 81,marie-alfred.ngoma@lagaleriecongo.com

Lu sur http://www.africultures.com

Malgré ses 236 millions d’affamés, selon le dernier rapport de l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), le continent africain peut se nourrir et nourrir le monde à en croire le président du Fonds international de développement agricole (Fida), le Nigérian Kanayo F. Nwanze.

Selon un rapport publié, ce 9 octobre 2012, par les Nations Unies, 868 millions de personnes ont souffert de sous-alimentation chronique pendant la période 2010-2012 dans le monde, soit autant que les trois années précédentes. «L’agriculture paysanne et familiale des pays du Sud peut et doit devenir rentable, afin de susciter des vocations et de contribuer à nourrir l’humanité», souhaite Kanayo F. Nwanze, et pour cela il est nécessaire de soutenir les petits agriculteurs comme le recommande le forum pour la révolution verte en Afrique.

Lire l’article sur http://gabonreview.com/blog/kanayo-f-nwanze-lafrique-peut-se-nourrir-et-nourrir-le-monde/

Du 10 octobre 2012 au 14 juillet 2013, le musée Dapper présentera l’exposition « Design en Afrique : s’asseoir, se coucher et rêver », qui dévoile un univers principalement voué à des objets supportant le corps.

Leur conception est marquée par une créativité en prise directe avec les attitudes, les mouvements, mais aussi avec les symboles de la décoration et bien entendu ces objets traduisent aussi les cultures des hommes à qui ils sont destinés. Formes et fonctions dialoguent ainsi pour le confort des uns… ou le prestige des autres. Domaine où l’inventivité est forte en Afrique subsaharienne, tant hier qu’aujourd’hui, le mobilier utilisé pour s’asseoir ou dormir constitue le sujet de cette exposition, alors que les objets traditionnels sont aujourd’hui fréquemment remplacés par des pièces contemporaines fabriquées en série. L’exposition Design en Afrique ne vise pourtant résolument pas à la confrontation de l’ancien et du nouveau. Elle tente en revanche à donner à voir combien et comment les besoins du quotidien stimulent la créativité, et l’ont fait depuis bien longtemps. Les créateurs d’origine africaine concrétisent en toute liberté leurs réflexions, et l’inspiration de quelques-uns s’approche du répertoire des arts traditionnels, même s’ils sont, pour certains, formés en Europe et que leurs réalisations touchent, timidement, davantage l’Occident que l’Afrique elle-même.

L’art du design est ouvert à des pratiques, telle que l’installation, réservées jusqu’alors à d’autres modes d’expressions plastiques, favorisant ainsi l’émergence d’esthétiques nouvelles qui entretiennent souvent un dialogue original avec les cultures traditionnelles. Les designers présentés sont Kossi AssouNicolas Sawalo CisséIssa DiabatéCheick DialloAlassane DraboBalthazar FayeIviart IzambaOusmane MBayeVincent NiamienAntonio Pépin et Christian NdongMenzamet, et Jules-Bertrand Wokam. La commissaire de l’exposition est Christiane Falgayrettes-Leveau.

Design en Afrique, au musée Dapper, 35bis rue Paul Valéry 75116 Paris,             01 45 00 91 75      , du 10 octobre 2012 au 14 juillet 2013, de 11 à 19h. Fermé les mardi et jeudi. Métro Victor Hugo ou Charles-de-Gaulle-Étoile

 

Lu sur http://agencetropiques.wordpress.com

ÑUUL KUKK est né pour faire rempart aux marques de produits de dépigmentation qui se permettent de déployer des campagnes publicitaires pour vanter leurs produits (Ex: Djarabi, Shiny Innovation, Khess Petch…

ÑUUL KUKK est une réponse citoyenne directe à ces procédés marketing répréhensibles mais aussi une opportunité de déployer une campagne permanente de sensibilisation sur la nocivité de la pratique de dépigmentation.

QUE SIGNIFIE ÑUUL KUKK?

Il est difficile de traduire avec fidélité, en y incorporant toute la nuance, le terme Wolof « Ñuul Kuuk ». Pour faire simple, « Ñuul Kuuk » signfie « Tout(e) Noir(e) ».

« Ñuul » veut dire « Noir(e) ». En Wolof, « Kuuk » est un qualificatif exclusivement associé à « Ñuul » pour accentuer la noirceur. En quelque sorte, l’expression « Ñuul Kuuk » fait ainsi référence au degré maximal que peut atteindre la « couleur » noire.

QUELLE EST L’AMBITION?

  • Magnifier la beauté noire en affichant des images de belles femmes à la peau foncée
  • Centraliser une base de connaissance et de données sur les dangers de la dépigmentation
  • Recueillir des témoignages, des astuces, des conseils pour sublimer la beauté des peaux noires et offrir ainsi une alternative aux personnes qui vivent mal leur apparence et souhaitent l’améliorer

BRAVO aux initiateurs de cette contre campagne afin de stopper un véritable désastre sanitaire en Afrique, les cancers de la peau se développent, entre autres…

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http://www.nuulkukk.com/index.php/fr/

Il existerait un antidouleur naturel plus puissant que la morphine

Le venin du mamba noir, l’un des plus grands serpents d’Afrique, aurait une valeur analgésique aussi puissante que la morphine.

Des chercheurs français ont découvert que le venin d’un très grand reptile d’Afrique, le mamba noir, a des effets analgésiques aussi puissants que ceux de la morphine. Dans leur rapport, publié dans la revue britanniqueNature le 3 octobre dernier, ils indiquent que la substance du serpent rivalise avec les propriétés de la morphine, les effets secondaires en moins.

Testé en laboratoire sur des souris, ces dernières n’ont pas subi de dépression respiratoire comme on l’observe souvent chez les patients à qui l’on a administré de la morphine et le phénomène d’accoutumance est moindre.

A cela s’ajoute une capacité équivalente à neutraliser la douleur au niveau local et sur le système nerveux central. Des résultats encourageants pour des scientifiques en mal de nouveaux antalgiques.

C’est en 1990 que les chercheurs ont mis en avant le rôle des ASICs (une famille de protéines) dans la sensation de la douleur. Les recherches de nouveaux antidouleurs s’orientent donc vers les substances capables de bloquer l’action des ASICs.

Aujourd’hui, nous savons que le venin du mamba noir d’Afrique est supporté par les souris  mais nous ignorons quand nous pourrons l’utiliser sur l’homme car s’il n’est pas mortel dans l’immédiat, une morsure non traitée est fatale.

Lu sur http://www.donnetonavis.fr/il-existerait-un-antidouleur-naturel-plus-puissant-que-la-morphine.html