Avec ses 11 millions d’habitants, Cuba parvient à être une « superpuissance médicale ». L’île des Caraïbes envoie un très important contingent de personnel soignant dans les pays d’Afrique de l’Ouest frappés par Ebola, ce qui suscite même l’admiration des journaux américains.
« Ce n’est pas la Sierre Leone, qui a besoin de nous », déclare Yosvany Vera, une doctoresse cubaine de 36 ans en se frayant un chemin vers son petit hôtel, une assiette de riz et de viande pleine de gras à la main, « c’est le monde, qui a besoin de nous.

Ces dernières semaines, des journaux américains de référence comme The Washington Post et The Wall Streetn’ont guère tari d’éloges sur l’engagement de Cuba contre Ebola. Le fait que ces journaux osent écrire des choses absolument positives sur Cuba est proprement inédit. Le message implicite et à usage intérieur est en fait une critique à l’encontre d’Obama : « Voyez donc ce que cette petite île de 11 millions d’habitants est capable de faire, alors que la Maison-Blanche intervient trop peu et trop tard. »

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La pilote Kenyane  Irene Koki Mutungi n’a rien à envier  à ses collègues hommes. Commandante de bord, elle est la première femme africaine capitaine dans l’histoire du transport aérien. Fille d’un père pilote, Kiko a depuis son enfance nourri l’ambition de succéder à son père. Elle est aujourd’hui capitaine et vole sur un Boeing 787 pour la compagnie aérienne Kenya Airways.

Le ciel n’a pas de secret pour elle. Toute petite, Irene Koki Mutungi regardait son père piloter des Boeings.  Sa passion pour le ciel l’a amenée à opter pour la carrière de son père.

« J’ai commencé à voler en 1993 Lors de mes premiers cours de pilotage. Je me souviens avoir volé avec mon père à Londres quand j’avais huit ans et je me suis assis avec lui dans l’habitacle durant tout le trajet. Depuis, je savais que c’était ce que je voulais faire », a-t-elle indiqué.

Pour atteindre son objectif, la Kenyane a bénéficié du soutien de son père qui est aujourd’hui fière d’elle.

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