JOURNÉE INTERNATIONALE DU CANCER
Par Dr Erick GBODOSSOU Président PROMETRA International (Promotion des Médecines Traditionnelles)
Le cancer prend à la fin du 15e siècle, le sens de tumeur maligne. Mais, l’histoire nous a appris que cette affection tumorale a été décrite sous l’appellation de carcinome, vers 3500 ans avant notre ère. Beaucoup plus tard, Hippocrate de Cos a essayé de donner une première définition préliminaire de cette maladie qu’il a appelée Squirre, qu’il décrivait lui-même comme une tumeur, c’est-à-dire un gonflement dur, non inflammatoire ayant tendance à récidiver et à se généraliser, entraînant la mort de son porteur.
Plus simplement, le cancer est un terme général, désignant toutes les maladies pour lesquelles certaines cellules du corps humain se divisent de manière incontrôlée, anarchique. Parce que, au niveau du système cellulaire, il y a une autorégulation de sa mitose cellulaire ou division cellulaire. Pour de nombreuses raisons, ce système d’autorégulation peut être perturbé, et la mitose devient incontrôlée ; ce qui entraîne une multiplication et une protrusion de ces cellules qui se transforment en une tumeur maligne : le cancer.
Les origines de cette altération qui modifie les gènes suppresseurs sont multiples mais peuvent se classer en deux grandes catégories : les origines exogènes et les origines endogènes.
Le cancer n’est pas une affaire de pays en développement ou de pays développés. Il prend de plus en plus de l’ampleur et davantage de personnes en souffrent partout.
A titre d’exemple, en 2008, il y avait 13 millions de cancéreux au niveau mondial. En 2030, ce nombre passerait à 27 millions. Environ 17 millions de personnes meurent chaque année de cancer. A cette allure, si rien n’est fait, le cancer risque de prendre le premier rang des causes de mortalité au niveau planétaire.
L’Afrique et le Sénégal, ne sont pas du tout épargnés. Le cancer prend toujours la même allure exponentielle. Au niveau de l’Afrique, en 2008, le nombre de cancers était estimé à 667 000, dans une proportion 50 % hommes, 50 % femmes environ.
Le cancer varie suivant les sexes. Chez l’homme, on parlera surtout du sarcome de Kaposi, du cancer du foie, du cancer de la prostate. Chez la femme, on a de manière plus spécifique, les cancers du col utérin et le cancer du sein.
Mais, en dehors de ces différents types, tous les autres organes peuvent être affectés par les cancers. On trouve le cancer de l’estomac, le cancer de la vessie, le cancer du poumon, etc., et, de manière plus spécifique au Sénégal, on trouve chez les enfants, le Cancer primitif du foie.
Les causes d’origine exogène
Elles ont trait aux problèmes environnementaux notamment à la pollution qui comporte de multiples facettes surtout dans les pays en développement. Ces derniers reçoivent énormément de voitures d’occasion et de vélomoteurs qui polluent l’atmosphère. Au-delà de ce système de pollution qui varie suivant les zones, c’est la pollution industrielle qui occupe la plus grande partie. Mais, en matière de pollution d’origine exogène, il convient aussi de noter le tabac, l’ultra-violet du soleil, l’amiante, les radiations gamma, l’alcool et les nombreuses autres substances auxquelles l’individu est exposé volontairement ou involontairement.
Il s’agit également d’insister sur les substances tels les produits pharmaceutiques, chimiques et synthétiques que nous consommons énormément, surtout dans les pays développés, qui portent préjudice à la santé des humains et peuvent engendrer le cancer. A la date du 1er février 2011, un laboratoire en France est sommé de retirer du marché, à lui tout seul, 77 médicaments nocifs. Ceci interpelle la conscience de chacun de nous par rapport à ce fléau qui de plus en plus va concerner le monde entier.
Au-delà de ces facteurs exogènes, il y a des facteurs génétiques. Les scientifiques pensent que 10 % des cancers humains ont une origine génétique. Ce que les médecines traditionnelles ne croient pas du tout. Il y a aussi des facteurs typologiques : le cancer de la prostate, du sein, du foie, du col de l’utérus, du pancréas, de l’enfant. Le cancer du col utérin est le plus souvent lié à une infection virale et est fréquent au Sénégal. Il y a le virus de l’hépatite qui entraîne souvent le cancer du foie. Le virus du papillome humain qui entraîne le cancer de l’utérus. L’infection à helico bacter pylori entraîne le plus souvent le cancer de l’estomac. La schistosomiase entraîne le cancer de la vessie, etc. Ces facteurs signalés ont une approche absolument conventionnelle.
Approche de la Médecine Traditionnelle
L’Afrique avec sa tradition fait appel à une autre logique, à une autre vérité, à une autre rationalité.
Dans la pensée africaine profonde et selon les médecines traditionnelles, toutes ces causes virales, parasitaires, bactériennes, alimentaires, environnementales, génétiques ; évoquées par la médecine conventionnelle, ne constituent pas des causes mais plutôt des facteurs favorisants. A ces facteurs favorisants, il faut en ajouter d’autres comme les émotions, l’anxiété, l’émotivité, la psychose endogène, mais aussi, et surtout la malnutrition.
Lorsqu’un système, un terrain est consolidé, toutes les maladies reculent dont le cancer. C’est pourquoi, au niveau de la tradition, les seules causes fondamentales et exogènes à prendre en compte, sont la malnutrition et l’énergie.
D’abord, il faudrait comprendre que, dans la pensée du tradipraticien de santé, il n’y a pas de maladie, il n’y a que des malades. Ceci est très important. Dans la pensée traditionnelle africaine, la maladie n’est pas « un état de bien-être physique, social, mental… » comme le définit l’OMS. La santé est un équilibre entre les contraires. Pour vivre en bonne santé, on a besoin de rire et de pleurer, on a besoin de manger et de jeûner… Si la santé est un équilibre, la maladie devient alors un déséquilibre.
Lorsque le système immunitaire lui-même est défaillant, il peut être à l’origine d’un tel déséquilibre. Or, ce qui entraîne la défaillance du système immunitaire, c’est la malnutrition à savoir : le manque en quantité suffisante, en qualité suffisante et proportionnelle, des micros nutriments (vitamine A, fer, acide folique, zinc, iode, etc.). Lorsque ces micro nutriments sont insuffisants en quantité, en qualité ou en proportion, le système immunitaire devient déprimé. Le terrain devient fragile et vulnérable à toute sorte d’agression exogène ou endogène.
Des études scientifiques sur l’élément unitaire de l’organisme humain qui est la cellule, ont montré que la polarité de la membrane cellulaire en état de bonne santé, dans sa partie externe, est lévogyre voire négative. Sa polarité dans la partie intérieure de la membrane cellulaire est positive voire dextrogyre. L’équilibre de cette polarité lévogyre et dextrogyre, négative et positive, Nord/Sud, informe sur la santé globale de l’individu.
En cas de déficience immunitaire, les facteurs favorisants, exogènes ou endogènes, peuvent avoir gain de cause sur l’équilibre de la cellule et entraîner la perturbation de son autorégulation. Donc, parce que le terrain est déficitaire, immuno déprimé, les virus, les bactéries, les hormones, l’alcool, etc., peuvent intervenir et perturber l’équilibre énergétique de la cellule et entraîner entre autres le cancer.
Il y a un exemple, au-delà de l’humain, que l’on trouve dans la nature. C’est le système des radars. Les radars sont des émissions d’ondes qui partent de manière dextrogyre et qui ricochent sur l’obstacle pour revenir de manière lévogyre. Cela veut dire quoi ? Lorsque dans son émission, le radar traverse une forêt, toutes les cellules de cette forêt sont traversées, de manière dextrogyre ou positive par l’onde du radar, et avant même qu’elles se réadaptent, l’onde revient de manière lévogyre.
Ce cycle dextrogyre/lévogyre, perturbe la polarité cellulaire et vous verrez dans la forêt, partout où les radiations du radar passent, ou bien les arbres sont morts, ou bien une partie de l’arbre ne se développe pas. Et, quand les radiations passent au milieu d’un grand arbre, elles créent un trou dans l’arbre. Quand plusieurs cellules meurent, cela donne un trou.
C’est pourquoi, au niveau de la science traditionnelle africaine, les causes génétiques sont discutables. Il s’agit plutôt de facteurs liés à l’habitat, à l’environnement où vivent ces familles en question. Lorsque vous construisez une cité d’habitations jouxtant une grande route à circulation, une zone balayée par la haute tension énergétique-électrique, et en même temps des centrales thermiques, qu’est-ce qui se passe ? Toutes les pollutions sont captées par les supports d’énergie et distribuées aux personnes de cette aire… jusque dans leur lit. Et parce qu’elles les retrouvent dans leur lit, les systèmes de polarité, d’équilibre énergétique au niveau cellulaire sont perturbés. Ces familles qui résident dans cette cité auront tendance, plus que d’autres, à faire le cancer. Alors, ce serait la maman qui serait affectée du cancer du col de l’utérus, la fille du cancer du sein, le papa du cancer de la prostate… Les scientifiques ne cherchent pas trop loin et pensent que ces affections sont d’ordre génétique. Non, la cause n’est pas génétique, elle est environnementale, liée à l’implantation inappropriée des cités qui hébergent certaines populations.
Un individu qui se forge un système immunitaire suffisant, fortifié, se comporte comme un bunker où il refuse tout accès à toute affection virale, parasitaire, bactériale, et même dégénérative. C’est pourquoi, combattre la malnutrition paraît essentiel.
Il y a aussi d’autres causes qui sont plutôt énergétiques, parce que la nature humaine doit jouer le rôle d’antenne qui doit transmettre l’énergie cosmique à la terre. Mais, parce que nous refusons de jouer ce rôle, nous accumulons de manière exagérée toute cette énergie dans notre corps, en portant des vêtements acryliques, en habitant dans des maisons inappropriées, en portant des chaussures à semelles isolantes. L’énergie que nous recevons, au lieu de la transmettre à la terre, nous la laissons s’accumuler au niveau de notre organisme ; elle perturbe le système énergétique intracellulaire de nos différents organes et peut entraîner plusieurs types de maladies dont le cancer (perturbation de la polarité cellulaire et du fonctionnement énergétique de la cellule). Il y a des facteurs de radiation et d’accumulation de ces radiations qui peuvent apporter quelque chose de fâcheux et contribuer à la genèse du cancer.
Incohérence politique et scientifique
Au-delà de ces causes perçues différemment par la logique conventionnelle et par celle traditionnelle africaine, il faut signaler ce qu’on peut appeler, l’incohérence même des politiques et des scientifiques.
Lorsqu’une politique s’investit pendant plusieurs décennies dans une stratégie de prise en charge d’une affection qui continue de s’aggraver et d’évoluer de manière exponentielle, la logique veut que cette stratégie et cette politique s’arrêtent un peu pour revoir la direction à donner à leur méthodologie. Il en est de même de l’incohérence retrouvée chez les scientifiques qui s’obstinent pendant des décennies à effectuer des recherches et des traitements dans des directions inefficientes. Lorsque ces dernières ne sont pas concluantes, la logique scientifique veut que l’on change de fusil d’épaule, et peut-être pourquoi pas, avoir l’honnêteté d’aller combler ses lacunes ailleurs.
Mais, malheureusement, les politiques comme les scientifiques, continuent de s’enfoncer de manière désespérée dans cette voie sans issue, qui risque de conduire les hommes vers une situation préoccupante où le cancer sera éternellement incurable et deviendra de plus en plus une cause au premier plan de mortalité. Sachons que l’historique du cancer remonte dans la nuit des temps mais était une situation extrêmement rarissime.
Que font les scientifiques ? Au niveau des pays africains, il y a d’abord trop peu de scientifiques qui sont spécialisés pour le cancer. Lorsqu’il y a peu de scientifiques spécialisés dans ce domaine, ils ne peuvent pas faire face seuls à la demande de toutes les personnes qui tapent à leur porte.
En matière de dépistage, le personnel qualifié est insuffisant et lorsqu’il existe, il dispose de peu de centres de dépistage mal équipés et parfois qui manquent du minimum à savoir, de l’alcool et du coton. C’est triste à dire, mais, c’est ce que nous trouvons dans nos pays en Afrique. Les quelques rares personnes qui sont dépistées, qu’est-ce qu’on en fait au niveau scientifique et au niveau politique ? On les laisse à eux-mêmes, parce que les traitements sont pratiquement inexistants. Et même si les traitements existent, ils sont inaccessibles parce qu’ils coûtent très cher. Il faut d’abord investir dans le diagnostic para clinique qui coûte extrêmement cher, ensuite dans le traitement chirurgical chimiothérapique qui coûte cher.
C’est pourquoi, le moment est venu pour que les politiques et les scientifiques opèrent un changement de comportements, en scrutant d’autres d’hypothèses, en allant aussi vers d’autres systèmes sanitaires, et puis, pourquoi pas, prévenir certains aspects qui risquent d’augmenter de manière préoccupante l’avènement de certains cancers.
Aujourd’hui, dans nos pays en développement, on laisse de plus en plus la porte ouverte aux importations d’aliments truffés d’hormones. Les conséquences ne sont pas du tout gaies. On voit aussi des politiques qui se tournent de plus en plus et sans prudence vers l’alimentation à base d’OGM. Il faut une vigilance extrême car ce sont des politiques qui contribuent à l’avènement et à l’augmentation de manière plus importante des maladies cancérigènes.
Au nom de la santé des populations, il faut réduire les pollutions et les importations de tous ces médicaments chimiques et synthétiques dont les effets secondaires connus, perturbent la santé pour engendrer des cancers.
Le cancer primitif du foie au niveau du Sénégal chez les enfants
Ce type de cancer atteint des proportions préoccupantes. Les raisons sont simples. Nous mangeons mal au Sénégal. Le plat national, ceebu jën, est préparé avec une huile brûlée, grillée qui est un facteur cancérigène. Tout est calciné, il n’y a pas que l’huile ! La carotte, les betteraves, les concombres, le manioc, etc., qui sont des légumes dont le temps de cuisson n’est pas le même, sont tous plongés ensemble dans la marmite sous haute cuisson. Nous ne mangeons plus des aubergines mais des boules, des pâtes qui favorisent le cancer. L’arachide est mangée trop crue au Sénégal alors qu’elle contient de l’aflatoxine qui est un produit cancérigène.
Traitement conventionnel
Prévention
En matière de traitement du cancer, il y a au niveau moderne, la prévention. Mais, pour cette prévention, les politiques et les scientifiques ont des attitudes incohérentes.
Pour le dépistage, les moyens sont insuffisants. Le personnel qualifié est insuffisant par rapport à la demande. Les moyens sont absolument rudimentaires n’offrant aucune possibilité aux malades qui souhaiteraient bénéficier d’un traitement.
Traitement curatif
Le traitement curatif au niveau conventionnel, c’est la chirurgie. Mais, avant la chirurgie, il y a le diagnostic para clinique et le bilan préopératoire qui coûte extrêmement cher. Il y a aussi la chimie et aussi la radiation dont les effets sont connus et on ne sait pas trop pourquoi nous nous enfonçons dans ce traitement qui de plus en plus pose problème.
Traitement traditionnel
Prévention
Au niveau traditionnel, les tradipraticiens de santé face au cancer, prônent la prévention. Elle est très importante. La première attitude de prévention, c’est de combattre la malnutrition.
La deuxième méthode de prévention utilisée par la méthode traditionnelle, c’est l’éducation comportementale de l’individu lui-même afin qu’il soit un conducteur d’énergie cosmique à la terre. On nous apprend à l’école qu’on a besoin de manger pour vivre, c’est vrai, mais c’est aussi faux ! On peut vivre 52 jours sans manger. On a besoin d’eau pour vivre, c’est vrai, mais c’est aussi faux ! On peut vivre douze jours sans boire, encore qu’au niveau mondial, les statistiques montrent qu’on meurt plus de boisson que de déshydratation. On a besoin d’oxygène, c’est vrai, mais c’est aussi faux ! On peut vivre 7 minutes sans oxygène, même si à partir de la 3ème minute, le cerveau est perturbé. Cependant, personne ne peut vivre la plus petite fraction de seconde sans énergie. L’énergie qui est vie n’est pas connue par la médecine conventionnelle. Le système cartésien ne connaît pas l’énergie. Le système conventionnel ne connaît même pas la différence entre le vivant et le mort. Parce que la seule différence entre le vivant et le mort, est de source énergétique, parce que l’énergie est vie et la source de l’énergie est la vibration. Vibration donne Energie, Energie est Vie.
La troisième méthode de prévention consiste à interroger davantage les traditions et les environnementalistes, dans l’implantation des habitats. Toute habitation doit être loin des routes à haute circulation, loin des aires à haute tension énergétique-électrique.
La quatrième méthode de prévention, c’est l’alimentation. Au Sénégal, on doit réapprendre à nos femmes les bonnes mœurs culinaires : ne pas manger calciné, manger naturel, manger sain. Sinon, les repas sont dénaturés et peuvent entraîner le cancer.
Lorsque l’on parle de produits chimiques, le tabac est cité à juste raison. Mais, en réalité, le tabac lui-même n’est ni toxique ni cancérigène à ce point. C’est le papier qui emballe la cigarette qui est cancérigène. Sont également cancérigènes, les hormones, les produits chimiques, les médicaments que nous absorbons.
Traitement curatif
L’élément premier, ce sont les plantes. Nous avons des plantes qui ont des actions positives et encourageantes sur le traitement du cancer. Le moment est venu pour que les politiques encouragent des recherches collaboratives entre les deux systèmes pour pouvoir lever les défis sanitaires communs exprimés par nos populations.
Parmi les traitements curatifs, signalons :
• les rites et rituels de rétablissement de l’équilibre. La maladie est un déséquilibre et il y a des rites qui peuvent rétablir l’équilibre,
• les techniques et les exercices de rééquilibrage énergétique,
• les techniques et les pratiques de respiration balayante qui peuvent régler les problèmes d’émotivité, d’anxiété, etc., et contribuer à l’amélioration des cancers,
• les techniques et les pratiques de massage d’organes qui peuvent améliorer de façon significative, les cancers et même bloquer leur évolution,
• le dialogue interactif dans les relations soignant/patient. La qualité du vrai thérapeute, c’est l’oubli de soi et la parfaite disponibilité pour l’autre. On doit se mettre à la place du patient et savoir l’écouter,
• le pënc ou causeries collectives, familiales sous l’arbre à palabres.
Conclusion
Dans ce contexte mondial où le cancer va bientôt devenir la première cause mondiale de mortalité, il faudrait interpeller les politiques, les scientifiques, pour aller de plus en plus vers une recherche collaborative. Une recherche où médecins, tradipraticiens de santé, chercheurs vont s’asseoir autour de la même table, sur la base d’un protocole d’accord signé par toutes les parties et appuyé par les politiques. La collaboration basée sur un respect mutuel, une confiance réciproque, permet de définir l’accès aux intérêts relatifs aux résultats de recherche et leur valorisation à travers des brevets. Si une telle recherche collaborative est mise en place, l’Afrique pourrait apporter une contribution unique au défi du cancer et jouer un rôle de tête de pont qui va surprendre le monde
Article paru dans la revue de PRO.ME.TRA périodique de Recherches et d’Informations Scientifiques – ISSN 00851- 2011 – 11e année
La médecine verte du 1er trimestre 2011 – N° 42 http://www.prometra.org/file/med_verte/MV_42.pdf
Pour en savoir plus, merci de consulter le site de PRO.ME.TRA http://www.prometra.org/