Il n’est pas dans les habitudes du Dr Denis Mukwegue de s’exposer ainsi face à la terre entière. Loin des ors du monde, il travaille sans cesse, opérant jour et nuit dans son hôpital de Panzi, à l’Est de la République démocratique du Congo, transformé malgré lui en sanctuaires pour femmes violées par les belligérants, milices et militaires d’armées ‘régulières’, qui s’affrontent à travers leurs corps suppliciés. Violer pour détruire, détruire pour posséder.
Le corps des femmes, » une arme bon marché et redoutablement efficace » comme il le constate sans élever la voix. Ce contraste entre la douceur de cet homme, mi pasteur (il prêche toujours) mi médecin, des paysages à la beauté stupéfiante, soulignés par une musique insistante d’une part, et les horreurs subies par des femmes, des jeunes filles, des fillettes, mais aussi des garçons, traverse les presque deux heures du film de Colette Braeckman et Thierry Michel, journaliste et réalisateur, belges tous deux, consacré au médecin qui » répare les femmes« . Et qui rêve sans doute de faire autre chose, que la folie des combattants cesse enfin dans cette région du Sud Kivu où se battent Congolais, Rwandais et Burundais, attisée par des mauvais génies qui voudraient s’approprier les métaux précieux enfouis sous ces terres.
La commune de Bargny, une localité située à 30 km de Dakar offre désormais le wifi public à ses populations. Le réseau va couvrir un rayon de 5 000m2, de la mairie à la place publique.
Le projet entre dans le programme : Bargny commune numérique. Selon Gaye Abou Ahmed Seck, le maire de Bargny, cette initiative est indispensable à l’ère du numérique. « Dans l’élan des innovations que la commune a entreprises, une étude de faisabilité pour l’installation d’un wifi public a été faite. Bargny a désormais la première place publique connectée du département de Rufisque. Le wifi public permettra de rendre la place plus attrayante, d’avoir une jeunesse ouverte et connectée au reste du monde, afin de servir la société », explique-t-il.
On connaissait déjà « Dora l’exploratrice » ou autres dessins animés ludique visant à divertir et éduquer les jeunes enfants. Voici désormais Ubongo Kids, la première série animée créée de toute pièce en Tanzanie. Son contenu éducatif, axé sur les mathématiques et les sciences, met en scène les aventures de trois enfants dans un monde féérique où les animaux parlent.
Diffusé pour la première fois en janvier 2014, le dessin animé rassemble aujourd’hui plus d’un million de téléspectateurs chaque semaine. Ubongo Kids est également diffusé en anglais dans toute l’Afrique de l’Est via la chaîne satellite chinoise Star Swahili.