Sénégalais d’origine, Ahmed Agne vit en France. Créateur de la maison d’éditions de Mangas «Ki-oon», il vient de se hisser en 7 ans au premier rang des éditeurs indépendants français. Parlant couramment le japonais, Ahmed Agne définit sa ligne de bandes dessinées comme très structurée avec du thriller, du fantastique, des contes pour enfants, des fresques sociales, entre autres.
Né il y a 34 ans d’un père sénégalais et d’une mère mauritanienne, tous les deux peuls, Ahmed Agne qui vit en France a monté, en 2003, une maison d’éditions de mangas, rapport le site de Rfi. Passionné de bandes dessinées, Ahmed Agne s’est hissé en seulement 7 ans dans le milieu au premier rang des éditeurs indépendants français avec sa maison d’éditions «Ki-oon».
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D’une finesse rare, cette artiste complète enchante les consciences d’une Afrique moderne sur fond de légendes du passé.
Fatoumata Diawara le 9 juillet 2011
Fatoumata Diawara est assurément une jolie fille. Elle possède la grâce féline de ces êtres surnaturels qui peuplent les légendes. D’ailleurs n’a-t-elle pas fait partie plusieurs mois de la «fabuloserie» à succès de la comédie musicale «
Kirikou et Karaba»?Pourtant, il y a quelque chose de très déterminé dans le fond de son regard, quelque chose qui rend curieux d’elle et empêche de se contenter de sa beauté, aussi rayonnante soit-elle. Il y aussi ce zeste de malice qui semble affleurer de son sourire…Fatoumata Diawara est née en
Côte d’Ivoire, a grandi au Mali et vit aujourd’hui en France, à Paris.
«Mes parents me trouvaient trop canaille, dit-elle en lançant un clin d’œil. Ils m’ont envoyée à la famille, auMali et c’est là que j’ai commencé à apprendre ce qui fait notre culture: celle de la région du Wassoulou. Les voix des femmes, les instruments traditionnels, le style musical, tout me plaisait. Je ne risquais pas de m’assagir!»
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Les Sénégalais, parmi les plus anciens immigrés africains de Harlem, ne sont pas peu fiers d’avoir contribué à la réhabilitation de la capitale de l’Amérique noire.
Sur le trottoir, assis sur des chaises en plastique, devant les magasins qu’ils tiennent sur la 116e rue, des Sénégalais en boubous et baskets refont l’Amérique et le Sénégal. Ces temps-ci, il est beaucoup question de politique sénégalaise, et les esprits s’échauffent vite. Certains s’engouffrent parfois dans une boutique pour suivre le dernier bulletin d’informations de la Radio-télévision du Sénégal (RTS).
Ici, au cœur de Harlem, sur la rue où a été construite la mosquée Malcom Shabazz, emblème de l’islam noir américain, on est comme à Dakar. Les Sénégalais, les premiers à avoir émigré dans ce quartier new-yorkais à la fin des années 1980, ont reproduit leur mode de vie. Un communautarisme auquel la nation américaine, fondée par des immigrants, ne trouve rien à redire.
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