Marishane, un jeune étudiant sud-africain de l’université de Cape Town, a mis au point un produit ayant les mêmes effets qu’une douche mais sans eau. Il a été récompensé du prix de l’entrepreneur étudiant de l’année 2011.

C’est grâce à un de ses amis trop paresseux (et trop frileux) pour se laver dans de l’eau froide – ils n’avaient pas les moyens de faire chauffer de l’eau chaude en plein hiver – que Ludwick Marishane décida de créer un produit répondant aux attentes de son ami.

Après plusieurs mois de recherche sur internet (essentiellement google et wikipédia), le jeune sud-africain a mis au point un produit innovant appelé DryBath, un gel transparent appliqué sur la peau qui fait le travail de l’eau et du savon, comme un gel douche, sans besoin de rincer.

Le produit est différent des gels anti-bactériens disponibles actuellement car il n’y a pas d’alcool dans la formule chimique. Il crée un film nettoyant hydratant biodégradable et inodore.

Le produit pourrait connaître de nombreux domaines d’application et ce, surtout en Afrique et dans les pays en voies de développement : en effet, dans ces pays, l’accès à l’eau est souvent source de conflit puisqu’elle est trop rare. L’hygiène des individus étant alors compromis la plupart du temps, DryBath pourrait inverser la tendance et améliorer la santé des populations.

Aujourd’hui, 6 mois après le début de cette incroyable histoire, DryBath possède un brevet pour son invention. Il est d’ailleurs produits pour des fins commerciales et compte comme client des compagnies aériennes pour leurs vols longs trajets et des gouvernements pour les soldats en opération.

DryBath conserve aussi l’eau sur la planète en évitant de l’utiliser.

Lu  sur http://oeildafrique.com


Quatre langues africaines sont proposées aux épreuves du baccalauréat qui ont débuté ce lundi en France, a appris la PANA auprès du ministère français de l’Education nationale.

Il s’agit de l’amharique, du bambara, du haoussa et du peul qui peuvent être choisies en option langues vivantes facultatives par les candidats, a-t-on précisé de même source.

Un laboratoire de langues installé à Paris, Cyberlab, poursuit ses recherches pour identifier la langue africaine qui répond le mieux à six différents critères pour devenir «langue scientifique».

Lu sur http://www.grioo.com