Les scientifiques de l’Intelligence Space Systems Laboratory de l’Université des Nations à Koforidua, ont lancé le CanSat, un satellite miniature dans l’espace.
Fiifi Koomson qui était au laboratoire spatial a déclaré que la sonde de CanSat cylindrique mesure environ 5 cm de diamètre et 8 cm de hauteur, et a un puissant appareil photo attaché à elle.
Le déploiement du satellite est un précurseur pour le lancement d’un plus grand satellite conventionnel en 2016.
Le satellite va recueillir des informations sur les inondations, les déversements d’hydrocarbures entre autres dans son bref séjour dans l’espace, à 200 yards (mètres) dans l’air.
« Nous espérons que cette démonstration pratique de ce qui peut être fait par les étudiants comme eux va générer plus d’enthousiasme, enflammer leur imagination pour arriver à des choses plus créatives, et de montrer qu’il est possible qu’ils soient un jour être en mesure de lancer leur propre véritable satellite en orbite », a déclaré Prosper Kofi Ashilevi, directeur du Space Science Ghana et le Centre de la technologie.
Un objectif principal du projet est de renforcer l’intérêt des étudiants pour le programme spatial du Ghana, qui est derrière ceux de plusieurs autres pays d’Afrique sub-saharienne, notamment des puissances comme le Nigeria et l’Afrique du Sud.
Les experts disent que le Ghana sera probablement prêt dans cinq ans ou plus à développer ses propres satellites opérationnels, qui pourraient un jour être utilisé pour faire face à tout, de catastrophes naturelles à la contrebande de ressources naturelles.
Le projet démarre avec juste un gros ballon en l’air pour transporter le modèle miniature d’un satellite.
À l’Université des Nations, les étudiants et les chercheurs espèrent contrôler les images et d’autres informations envoyées par le modèle à mesure qu’il descend vers le sol.
Traduction : LEBLOG COTEDIVOIREDEBOUT
SOURCE: myjoyonline
Lu sur http://www.mtn.ci
Joshua Beckford, un jeune garçon de huit ans, originaire du quartier Tottenham à Londres, savait lire avant même de savoir marcher. Non, ce n’est pas une blague, ce petit garçon existe!
Joshua Beckford, connaissait l’alphabet par cœur et savait différencier les couleurs à l’âge de dix mois.
A six ans, il a commencé à prendre des cours à l’université Oxford. Il rêve de devenir neurochirurgien.
Joshua Beckford et son père Daniel
Son père s’est rendu compte de son intelligence alors qu’ils étaient assis devant l’ordinateur : « Je lui ai nommé les lettres qui étaient sur le clavier et j’ai réalisé qu’il s’en souvenait avec une facilité déconcertante, il pouvait comprendre. Il pouvait désigner chaque lettre du clavier facilement alors nous sommes passés aux couleurs. »
A l’âge de deux ans et demi, il savait déjà lire couramment, il arrivait à se servir d’une tablette tactile pour écrire avant même de se servir d’un crayon.
Notre petit génie sait parler japonais, il pratique des interventions chirurgicales sur des simulateurs informatiques et il a résolu plus de 1000 problèmes mathématiques.
En 2011, son père a écrit à l’université d’Oxbridge pour voir s’il le laisserait participer à un cours de philosophie destiné aux enfants surdoués âgés de huit à treize ans. A sa grande surprise, ils ont acceptés. Par la suite, Joshua est devenu le plus jeune étudiant inscrit à l’université. Il n’avait que 6 ans quand il a commencé à prendre des cours.
Pour son père, c’est un petit garçon normal de huit ans, il ne le voit pas comme un enfant différent des autres.
Il ajoute : « Parfois, c’est un peu difficile parce qu’il pose beaucoup de questions. L’autre jour, il m’a demandé, « Est-ce que l’infini est un nombre pair ou un nombre impair? » Et évidemment, je n’en avais aucune idée! La plupart du temps je ne remarque pas son intelligence, car il est juste Joshua pour nous! »
Le petit de huit ans a été récemment diagnostiqué « autiste de haut niveau » . Les autistes de haut niveau sont dotés d’une intelligence supérieure aux autres personnes autistes. Ils sont capables d’interactions sociales mais ne se détachent pas complètement de leur monde intérieur. Dans quelques rares cas, on suppose que certains de ces autistes sont même capables de capacités intellectuelles exceptionnelles dans des domaines bien précis. On peut notamment penser à Kim Peek, l’homme qui a inspiré le personnage interprété par Dustin Hoffman dans le film Rain Man.
Son père précise : « Vu qu’il est autiste, il peut être un peu difficile parfois. Il n’aime pas les bruits forts et marche toujours sur la pointe des pieds, il mange toujours dans la même assiette, en utilisant les mêmes couverts et il boit toujours dans le même verre. D’ailleurs, il n’aime pas les enfants de son âge, il préfère les adolescents et les adultes. »
Pour mieux l’encadrer, son père Daniel a rejoint des groupes de soutien pour les personnes ayant des enfants autistes.
Ce petit génie est à suivre de près! Retenez son nom!
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