Santé – Le foyer d’épidémie du virus Ebola a été éteint au Mali qui ne connaît actuellement aucun malade atteint par le virus Ebola et tous les contacts sous surveillance médicale sont sortis de la période d’observation. En d’autres termes, l’épidémie de fièvre hémorragique à virus Ebola est sous contrôle, mais la vigilance reste de mise pour éviter la ré contamination du pays.

C’est la principale information livrée mercredi par le ministre malien de la Santé et de l’Hygiène publique, Ousmane Koné, lors d’un point de presse en présence du coordinateur du Centre opérationnel d’Urgence (Cou) et conseiller spécial du chef de l’Etat malien, Pr Samba Sow et le représentant-résident de l’Organisation mondiale de la Santé (Oms) au Mali et représentant spécial du Secrétaire général des Nations unies dans la lutte contre Ebola au Mali, Dr Ibrahima Socé Fall.

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Marthe Montcho est une jeune béninoise, diplômée, elle a à son actif une Maitrise professionnelle en socio-anthropologie. Titulaire d’un Master en Sciences Animales/Élevage des animaux, elle est actuellement en formation à l’École doctorale de la Faculté des Sciences Agronomiques de l’Université d’Abomey-Calavi au Bénin.

Marthe Montcho lors d'une visite dans un champs d'ananas

Sa particularité à la différence de ce qu’on peut voir chez beaucoup des jeunes de son âge, elle est plutôt passionnée de l’agriculture, de l’élevage. Optimiste, elle dit « voir le verre à moitié plein et non à moitié vide ». C’est précisément cet optimisme qui la maintient dans la ferme conviction qu’il est toujours possible en Afrique d’atteindre le développement agricole, d’éliminer la faim.

Je la connaissais déjà personnellement en 2013 à grâce à son blog célèbre l’agriculture au féminin. Nous participions alors tous au concours YoBloCo, le prix du meilleur blog en agriculture organisé par le CTA, qu’elle a remporté. Mais pour moi tout cela se limitait seulement sur Internet. Et mon regard l’a croisé la semaine dernière àInnovAfrica 2014 à Lomé au Togo, ce fut une grande satisfaction.

Lire l’article sur http://vertogo.mondoblog.org/2014/12/03/innovafrica-2014-marthe-montcho-les-femmes-les-tics-soutiennent-developpement-agricole/

L’Afrique francophone est en pleine tourmente au moment où les Lions d’Afrique anglophone rugissent, avec des croissances économiques spectaculaires.

Qui est le nouveau champion de la croissance économique en Afrique subsaharienne en 2012?

Non, ce n’est pas la Côte d’Ivoire, ni le Sénégal ou le Gabon. Il faut sortir du jardin francophone pour rencontrer l’Afrique qui marche.

Le champion de la croissance au sud du Sahara, c’est une ancienne colonie britannique, sortie il y a dix ans d’une terrible guerre civile, la Sierra Leone, avec une hausse fulgurante de 32% de son PIB grâce à son minerai de fer et son pétrole.

Le pays fait peu parler de lui et est quasi-absent des médias francophones couvrant l’Afrique.

Et pourtant, cet élève un peu timide du fond de la classe, encore classé parmi les pays les plus pauvres de la planète, vient de décrocher les félicitations du jury et succède à un autre «lion africain», le Ghana, anglophone lui aussi, boosté par le pétrole, qui passe de 13,6% en 2011 à un confortable 8,8% en 2012, selon le FMI.

En 2011, la croissance économique de la Sierra Leone était déjà honnête (+5,1%) et devrait rester très élevée en 2013 (+9,1%). Le sous-sol regorge de diamants, or et bauxite et du pétrole off-shore devrait également aider au décollage du pays.

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Au Brésil, les prisonniers peuvent sortir plus tôt de prison s’ils… lisent des livres, rapporte Reuters.

Le Brésil vient en effet de créer une nouvelle sorte de remise de peine. Les détenus des prisons fédérales pourront réduire la longueur de leur peine grâce à la lecture. La décision du gouvernement prévoit quatre jours par livre lu.

Les 473.627 prisonniers du pays pourront ainsi lire jusqu’à 12 œuvres de littérature, de philosophie ou de science par an, gagnant ainsi jusqu’à 48 jours de détention en moins sur une année.

Le gouvernement brésilien explique que les prisonniers auront quatre semaines pour lire un livre et ensuite rédiger une dissertation sur le sujet. Un panel décidera ensuite si le prisonnier peut obtenir sa remise de peine.

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