Des panneaux solaires
Abengoa, une société internationale qui met en œuvre des solutions technologiques innovantes visant la durabilité dans les secteurs de l’énergie et de l’environnement, et l’organisme financier d’État, l’Industrial Development Corporation (IDC), en collaboration avec le KaXu Community Trust (fiducie communautaire) ont inauguré une centrale solaire de 100 MW à proximité de la ville de Pofadder (Province du Cap-du-Nord). Cette centrale peut fournir une énergie propre et renouvelable à environ 80 000 foyers d’Afrique du Sud. Le ministre du Développement économique, Ebrahim Patel, a inauguré officiellement cette centrale solaire innovante, en compagnie du vice-ministre pour les Entreprises publiques, Bulelani Magwanishe, du Premier ministre du Cap-du-Nord, Silvia Lucas, de dirigeants d’Abengoa et d’IDC et de représentants de la communauté locale.
KaXu Solar One, la première centrale électrique thermique solaire (Solar Thermal Electricity, STE) en Afrique du Sud, intègre un système de stockage qui permet la production de 100 MW pendant une durée de 2 heures et demie après le coucher du soleil ou avant l’aube. Ce projet entraînera un afflux d’investissements directs et indirects en Afrique du Sud d’environ 891 millions de dollars US, génèrera approximativement 516 millions de dollars US en taxes au cours des 20 prochaines années et créera un millier d’emplois dans le secteur du bâtiment durant sa construction, d’une durée de trois ans.
Ce partenariat public-privé bien organisé a été adjugé par le Département de l’Énergie d’Afrique du Sud. Il permettra de fournir de l’énergie propre et fiable à Eskom, la compagnie de production et de distribution d’électricité d’Afrique du Sud, dans le cadre d’un contrat d’achat d’électricité d’une durée de 20 ans. Abengoa possède 51 % du projet, l’IDC 29 % et la fiducie communautaire KaXu 20 %.
Manuel Sanchez Ortega, vice-président et directeur général d’Abengoa, a déclaré : Nous sommes fiers de contribuer à aider l’Afrique du Sud à répondre à ses besoins actuels en énergie. Ce projet laissera un héritage qui profitera à toute la communauté de Pofadder, du Cap-du-Nord et du pays tout entier. Cela n’aurait pas été possible sans le leadership du ministère de l’Énergie de l’Afrique du Sud. Geoffrey Qhena, directeur général de l’IDC, a souligné : Ce projet, qui s’appuie sur un solide partenariat des secteurs public et privé, s’inscrit dans nos efforts visant à soutenir les initiatives de l’État pour introduire des sources alternatives d’énergie dans le bouquet énergétique du pays, comme envisagé dans le plan intégré de ressources.
Lire l’article sur http://tecsol.blogs.com/mon_weblog/2015/03/lafrique-du-sud-inaugure-une-centrale-solaire-innovante.html
Il est Caribéen, originaire de Montserrat, très jeune, doué et noir. À 15 ans, Warren Cassell Jr. est un entrepreneur déjà établi à l’échelle internationale, un auteur de deux livres et un millionnaire en devenir.
À l’âge de 15 ans, il a au cours de son ascension vers la gloire et sa jeune fortune, fondé plusieurs entreprises, a contribué à l’Huffington Post et a même gagné un premier dan en ceinture noire de Tae Kwon Do.
Citant sa biographie personnelle, Warren est un membre des dirigeants du club d’investissement et a été constamment reconnu comme un modèle de chef d’entreprise qui occupe un rôle de premier plan pour les jeunes.
Durant cette dernière année, le ministère de la Jeunesse de Montserrat a reconnu le jeune adolescent comme un exemple d’une « jeunesse montante » et l’a nommé » Entrepreneur de l’Année 2013 du Journal de Caraïbes. «
Son portefeuille d’activités et d’investissements est à la fois large et impressionnant : il inclut son engagement dans les médias, des activités Internet et de la fabrication de nourriture. Il a en outre investit activement dans des fonds spéculatifs, des titres financiers de sociétés et dans l’immobilier.
Vision et volonté
Warren est le fondateur et PDG du Groupe Abella, une société d’investissement privée conçue pour gérer ses investissements dans un certain nombre de secteurs incluant les médias, l’édition, la technologie et des services financiers.
Le Groupe Abella travaille également avec les investisseurs institutionnels et des particuliers fortunés à co-investir dans un portefeuille varié.
« J’ai l’intention de faire tout et n’importe quoi d’éthique pour atteindre mon succès « , a-t-il annoncé au journal The Sport of Business (Le Sport des Affaires).
« J’ai défini mes objectifs », ajoute-il, » et je suis déterminé à les atteindre, peu importe si cela signifie sacrifier quelques heures de sommeil ou de faire des choses que je n’aime pas nécessairement faire. »
Il est un homme d’affaires rapide et compétitif qui cherche toujours à être » en avance sur les autres qui ne sont pas prêts à parcourir le »mile » supplémentaire ou faire ce qu’il faut pour réussir. »
Lire l’article sur http://www.black-feelings.com/accueil/detail-actualite/article/15-ans-et-deja-entrepreneur/
Alors que plus de 80 % des Tanzaniens dépendent toujours du kérosène et des bougies pour la production de lumière, le gouvernement de Dodoma entend équiper les foyers en kits solaire d’ici 2017.
(Crédits : Off Grid Electrics)
Ce projet doit changer profondément la vie des Tanzaniens. Pour permettre à des millions de personnes d’avoir accès à l’électricité, le gouvernement du président Jakaya Mrisho Kikwete promeut l’initiative « One Million Solar Homes » (Un million de foyers solaires). Au lieu de produire une coûteuse centrale solaire, il va doter les foyers de « kits solaires ».
Ces kits sont composés de petits panneaux solaires et de batteries. Le dispositif, qui coûte cent dollars, est vendu dix au consommateur. Plus que le produit, l’utilisateur achète un service, qu’il doit activer une fois par semaine par le biais de son téléphone portable. Une fois l’installation effectuée par un employé d’Off Grid Electrics, l’utilisateur gère lui même sa consommation d’électricité, et peut obtenir davantage d’énergie en payant un supplément. Le kit de base génère assez de Watts pour éclairer une petite maison, charger un portable ou regarder la télévision.
UN SERVICE SOLAIRE À LA DEMANDE
« C’est un service propre et social, car très abordable », avance Xavier Helgesen, le PDG de Off Grid Electrics, l’entreprise américaine en charge du projet.
Au lieu d’investir dans une couteuse infrastructure nationale comme les autres entreprises, Off Grid souhaite partir des consommateurs qui n’ont généralement pas besoin de plus de 10 à 50 watts, ce que peut fournir un kit solaire. Si l’investissement est élevé, la rentabilité devrait l’être autant car ce système nécessite peu d’entretien et de logistique. La lumière du soleil étant gratuite.
Il s’appelle Kushiator Newlove Kwaku dit Providence. Il est le directeur général du Bureau de recherche et de transfert de technologie (BRTT) créé en 2009 et installé au quartier Tanghin de Ouagadougou. Kushiator travaille seul mais fait recours très souvent à d’autres personnes notamment des soudeurs. Au cours d’un entretien accordé à Burkina24, Providence donne des détails sur son ambition d’exploiter toutes les ressources naturelles aussi minimes soient-elles.
Kushiator Newlove Kwaku est né au Ghana. Il dit arriver au Burkina vers 1992 et travaille sur les énergies renouvelables depuis 2004.
« Dans toute l’Afrique, on est le seul bureau qui fait ce travail. Je collabore un peu avec des Français, des Américains et des Chinois, sur les mêmes types de recherches mais en particulier pour pallier au manque de pétrole », nous a-t-il confié dès l’entame de l’entretien.
Il dit développer de multiples systèmes dans des domaines comme l’irrigation massive, la protection des eaux, la construction de réservoirs souterrains ou de surface, etc. dans le cadre de la technologie moderne adaptée à l’Afrique particulièrement au Burkina.
Parce que selon lui, il existe des systèmes de modèles d’appareillages européens qui ne sont pas forcément adaptés à l’Afrique. A la découverte donc des trois produits phares développés par Kushiator Newlove Kwaku.
Les feux tricolores solaires et sans composant électronique
Kushiator Newlove Kwaku dit Providence dans son bureau BRTT © Burkina24
Kushiator dit vouloir que les Burkinabè puissent voir la circulation régulée même en cas de délestage. C’est pourquoi il développe des feux tricolores solaires indépendants des réseaux électriques.
« Efficaces et résistants », il indique que le boitier électronique de ces feux a été remplacé par un boitier d’interrupteur électrique automatisé.
La pompe éolienne à multi utilisations
Aperçu d’une Pompe éolienne (pour forage)
Pour apporter sa pierre à l’édifice d’une sécurité alimentaire durable au Burkina et pour résoudre le problème de la pluviométrie lié au changement climatique, Providence met en œuvre une pompe.
La pompe éolienne à multi utilisations permet, aux dires de son développeur, « de pomper de l’eau en grande quantité des forages, des puits, des barrages, des rivières et des marigots, pour faire de l’irrigation massive sans utiliser du carburant ni d’électricité, mais plutôt la force du vent, même les plus faibles ».
Il rassure que cette pompe « peut fonctionner au minimum pendant 10 ans sans entretien et sans panne. Elle est équipée d’un disque éolien extrêmement sensible qui tourne à des vents de cinq kilomètres heure actionnant la pompe ».
La machine à pluie
Lire l’article sur http://burkina24.com/2015/03/18/invention-tech-zoom-sur-un-createur-de-feux-tricolores-solaires-a-ouaga/