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1- Le Caire, Égypte

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L’audace a fait de Yapi N’Cho Didier avec ses inventions un signal fort pour l’Afrique et pour le monde entier, Mais hélas, ce Bill Gates ivoirien s’est éteint dans la nuit du dimanche au Lundi de Pâques à 2 Heures du matin du 6 Avril 2015 à Abidjan.

‘‘La Souris Mystère 7’, ‘Le DVD Dead Cryptor’, ‘DCE (Dead Cryptor Email)’, ‘Mezo Web Cam’, ‘CN.lov’… des outils révolutionnaires inventés par Yapi Didier, un ivoirien passionné d’informatique ne verront peut être pas les chemins des cybers, des bureaux ou des domiciles des passionnés en informatique de Côte d’Ivoire.

YAPI DIDIER débuta sa carrière depuis son enfance. Dans la région du « Gôh Djiboua » communément appelée GAGNOA, une localité du sud-ouest de la république de Côte d’Ivoire d’où est originaire le footballeur international DIDIER DROGBA. Il bricolait depuis le primaire les appareils électroniques (radio, montre électronique, calculatrice, jouets et autres gadgets électroniques). En 1992, il fût saisi d’un mal de dos qui le poussa à fabriquer un appareil électronique de contrôle de la position verticale assise, lequel déclenchait automatiquement un signal d’alerte sonore en cas de mauvaise posture.

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L’ancien président américain Bill Clinton le surnomme « Bill Gates africain », mais pour CNN, cet informaticien nigérian de 54 ans est le père de l’Internet. Lauréat du prix Gordon Bell en 1989 (la plus haute distinction dans la recherche en informatique), Philip Emeagwali œuvre depuis des décennies pour l’industrialisation de l’Afrique car selon lui : « L’Afrique périra si elle continue à consommer ce qu’elle ne produit pas et à produire ce qu’elle ne consomme pas. ».

Lors d’une conférence devant la communauté africaine à Valence en Mai 2008 il déclare que si rien n’est fait, au moment de célébrer les 100ans de la création de Organisation de l’Unité Africaine (devenue Union Africaine) un article de journal se libellera ainsi : « Les dernières parties de la forêt équatoriale vont bientôt disparaître, traversées par des pipelines et des plateformes de forage des usines de raffinage de gaz naturel. La pollution globale sera le legs des générations futures. Les réserves pétrolières offshore de l’Afrique sont taries. Les installations pétrolières abandonnées deviendront alors un objet d’attraction pour les touristes. Les constructions qui accueillaient les bureaux et les usines des compagnies pétrolières se transformeront en villes fantômes. Dans un monde sans pétrole, le transport aérien va disparaître, et les hommes recommenceront à traverser les mers avec des navires à vapeur. Les fermiers utiliseront des chevaux à la place des tracteurs. La faux remplacera la moissonneuse batteuse. A mesure que les cultures diminueront, la famine envahira le globe. Sans moyens de faire rouler leurs véhicules, les parents resteront chez eux, sans boulot et les enfants marcheront pour aller à l’école ».

Pour Philip Emeagwali, il est certain comme la mort que les réserve actuelles ne conduisent pas l’humanité à plus de 40 ans, et qu’au lieu de se demander quand l’Afrique sera à bout de ses ressources naturelles, l’on peut se demander que fait l’Afrique de son pétrole et de ses matières premières

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L’affaire opposant l’ancien étudiant Keba Diop et la Société Générale vient de prendre fin à Toulouse. En effet, après un pourvoi en cassation auprès de la Haute juridiction, la Société Générale perd le procès et a été condamnée le 31 mars 2015 à payer 80 000 euros de dommages et intérêts à cet ancien étudiant de l’ESC. Ce dernier a été satisfait de cette décision malgré une compensation qui semble dérisoire, l’essentiel dit-il, est que cet arrêt devienne désormais une référence pour ceux qui, comme lui, veulent se protéger de ces sociétés malveillantes.

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