Pour une fois qu’un remède à base de plante fonctionne, pourquoi les spécialistes de la malaria y sont-ils opposés?
Il est un peu plus de 9 heures à la ferme horticole Wagagai, et Robert Watsusi pédale sur sa bicyclette sur laquelle sont chargés deux bidons de 11 litres remplis d’une tisane chaude, noire et amère. A peine a-t-il franchi le coin que les ouvriers sortent de hangars horticoles aussi grands que des terrains de football pour prendre leur dose quotidienne de l’élixir qu’ils affirment les préserver de la malaria.
«Quand je vois les gens en boire, je suis content, dit Watsusi. C’est bon pour tout le monde.»
La tisane est faite avec des feuilles d’Artemisia Annua, ou armoise annuelle, une plante chinoise qui constitue la base des traitements anti-malaria les plus efficaces au monde, qui associe les dérivés de l’artémisinine avec une classe de médicament plus anciens. La plante peut également être cultivée dans les régions plus humides d’Afrique, et une année de stock ne revient qu’à quelques dollars.
Bien que la tisane elle-même n’ait été traditionnellement utilisée en Chine qu’en guise de traitement curatif, plutôt qu’aux fins de prévention, un essai randomisé contrôlé mené dans cette ferme a montré que les ouvriers qui en boivent régulièrement ont vu leur risque de souffrir d’épisodes multiples de malaria réduit d’un tiers. Une bénédiction pour cette population, autrefois victime quatre fois par an, voire plus, de cette maladie transmise par un moustique.
Lire l’article sur http://www.slate.fr/story/73443/oms-contre-tisane-anti-paludisme-malaria
Le jeune Togolais Edouard AKAKPO-LADO fait une petite révolution en matière de transformation des noix de palmes. Il vient d’inventer « Merlinox », une machine qui sert à piler les noix de palme et permet l’obtention de plusieurs produits dérivés du palmier comme l’huile de palme ou encore l’huile de noix de palme. La machine produit également l’huile de noix de coco pour le bonheur des ménagères.
2014 est incontestablement l’année du Togo en matière d’innovation. Après Logou Minsob, 2ème prix de l’innovation pour l’Afrique (foufoux mix) et Afate Kodjo Gnikou vainqueur du Prix de l’innovation de Barcelone (imprimante 3D), un autre togolais vient de mettre sur pieds « Merlinox », la machine qui permet la production des produits dérivés du palmier sans effort.
Lire l’article sur http://www.africatopsuccess.com/2014/09/09/innovation-un-togolais-invente-merlinox-la-machine-dextraction-de-lhuile-de-palme/
Ce dimanche 22 mars c’est la journée internationale de l’eau, en cette honneur, Terrelocale.net vous propose de découvrir un moyen naturel de purifier ce liquide précieux.
Dans de nombreux pays du Sud, l’accès à l’eau est un problème auquel la population fait face quotidiennement.
Dans de nombreux cas, également, les gens ont accès à une eau de mauvaise qualité, qui n’est pas adaptée pour la boisson ou l’usage domestique.
Ces problèmes se retrouvent bien sûr dans les pays du Nord, à la différence que ces pays, riches, disposent des moyens technologiques et financiers pour traiter l’eau et la rendre potable, ce qui n’est pas le cas des pays plus pauvres de l’hémisphère Sud, qui n’ont pas les moyens d’importer ni de développer ces technologies.
Lire l’article sur http://www.terrelocale.net/Les-graines-de-Moringa-pour-rendre.html#.U_4d3-m0bcE.facebook
Lors d’une conférence en novembre 2011, j’ai exposé cinq(5) secrets qui pour moi représentent des piliers de l’entrepreneuriat. J’ai jugé opportun en ce début d’année 2014 de revenir de manière transversale, sur l’ensemble de mes recommandations . Entreprendre en Afrique est très souvent un parcours de combattant et pour y parvenir, les jeunes entrepreneurs doivent se prémunir d’un arsenal à la hauteur de cette noble ambition. J’ai essayé de dégager cinq (5) attitudes qui feront du jeune africain, un homme averti dans sa démarche de création d’entreprise.
« Décider de faire les choses … »
Entreprendre c’est décider de faire quelque chose. Pour moi c’est décider de prendre en main son avenir et tutoyer la passion de faire les choses par soi-même ! Tous les entrepreneurs ont un dénominateur commun : décider de faire une chose ! Ces citoyens d’un nouveau type décident tout simplement de faire les choses autrement. Et cela est un secret qu’ils partagent tous. Le secret de décider de faire les choses pour mettre en marche le processus de l’entrepreneuriat. Tant que vous ne décidez pas, tant que vous ne formulez pas l’idée d’entreprise, vous serez toujours à l’étape zéro. Vous n’allez jamais décoller car ne sachant où partir ! Vous n’allez jamais faire avancer les choses car ne sachant dans quel sens les orienter ! Donc, il faut décider de faire avancer les choses, il faut décider d’agir, il faut tout simplement décider de décoller. Et en faisant cela, vous verrez se mettre en route le processus de création et c’est cela le plus important.
« Apprendre pour être capable de bâtir … »
Apprendre pour être capable de créer est aussi un secret ! C’est pourquoi j’explique toujours, qu’il est important de circonscrire ses objectifs à la lumière de ses compétences. Si vous constatez que vous n’avez pas les compétences qu’il vous faut, vous devez automatiquement chercher à vous former ou vous entourer de compétences dans une philosophie d’intelligence collective. Il faut se former pour être capable de bâtir, parce que personne n’a la science infuse.
Lire l’article sur http://lentrepreneuriat.net/marketing-et-managementcinq-5-recommandations-aux-jeunes-entrepreneurs-africains
Sous forme de minis cabines mobiles avec des équipements pour accéder aux technologies de l’information et de la communication (Tic), ils sont alimentés par des batteries rechargeables avec l’énergie solaire et montés sur deux roues de la dimension des bicyclettes, ce qui leur permet de se déplacer dans les endroits où les besoins se font sentir pour offrir une connexion en temps réel et des services de bureautiques.
Ainsi se présentent les cybercafés mobiles mis au point par un groupe de jeunes ivoiriens. Baptisés « Package Net Box mobile », ces appareils adaptés aux utilisateurs pour plus de confort, comprennent un boîtier équipé d’un téléphone, une connexion internet mobile, un appareil photo numérique, un scanner, un fax, un photocopieur, des cartes de recharges pour les téléphones mobiles et un ou deux Desk top.
Lire l’article sur http://lentrepreneuriat.net/business-newsc-te-d-ivoire-place-aux-cybercaf-s-mobiles
L’application « Saya » lancée par l’entrepreneur ghanéen Robert Lamptey a été rachetée par la start-up américaine « Kirusa »basée aux Etats-Unis et spécialisée dans la messagerie vocale et les applications mobiles pour les médias sociaux.
«C’était un mariage parfait. Inderpal (ndlr DG et président de Kirusa) et moi nous nous connaissions depuis un certain temps et sommes arrivés à un point que nous voulions réaliser des choses ensemble. Les discussions se se sont transformées en une acquisition ». Robert Lamptey créateur de « Saya » n’est pas peu fier du rachat de son application par la start-up américaine Kirusa. L’influence grandissante de cette application a peut être constitué un facteur clé dans la décision de l’entreprise américaine. En effet, cette application de tchat mobile créée en 2001, est utilisée par des millions d’utilisateurs. Son rayonnement a même dépassé les frontières de l’Afrique, car ce système est notamment utilisé en Inde, au Bangladesh, en Indonésie, et en Syrie.
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