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Richard Turere, un jeune Kenyan d’ethnie maasaï, a résolu un problème auquel son peuple et les lions sont confrontés depuis des générations.

Par Sandro CAPO CHICHI / nofi.fr

Au Kenya, tuer des lions est un crime puni par la loi. La loi kényane est ici en contradiction avec les coutumes du pays maasaï qui voient le fait de tuer ces animaux comme un rite de passage et un acte d’honneur. Des coutumes probablement liées à la menace récurrente que constituent les lions sur les troupeaux des Maasaïs. Pour faire face à cette menace, le gouvernement kényan avait mis en service des services de vétérinaires. Lorsqu’ils sentaient leurs troupeaux menacés par des lions, les Maasaïs pouvaient ainsi appeler contacter ces médecins qui administreraient des tranquillisants aux animaux. Cette résolution n’a toutefois pas résolu de problème et des Maasaïs s’étaient plaints de la lenteur de l’arrivée des vétérinaires qui les forçaient soit à voir leurs chèvres tuées ou à eux-mêmes tuer les lions. C’est précisément cette situation qui était survenue en juin 2012, lorsque six lions furent tués à Nairobi.

Devant ce status quo, Richard Turere, un jeune Maasaï, a trouvé une ingénieuse solution. Comme tous les garçons maasaïs entre 6 et 9 ans, il a été à cet âge chargé de garder les troupeaux de son père. Confronté à la menace des lions, il réfléchit à de nombreux stratagèmes pour les effrayer. Le feu? Non, cela les permet de mieux voir leurs proies.Les bonhommes de paille? Non, ils réalisent vite qu’ils ne bougent pas et repartent de plus belle pour tuer le bétail. En essayant en revanche de se déplacer autour de son enclos avec une torche, il remarqua que les lions ne venaient plus.

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Un cartable solaire pour faire ses devoirs le soir

Deux jeunes Africaines ont mis au point un cartable équipé d’une lampe solaire. Conçu à partir de matériaux recyclés, il permet aux élèves défavorisés de faire leurs devoirs le soir venu.

Beaucoup de villages en Afrique ne disposent pas d’énergie à faible coût, mais aussi parfois, d’un manque total d’électricité. Le soir, sans lumière, il devient difficile pour les élèves de faire leurs devoirs.

Afin de résoudre le problème, deux jeunes Sud-Africaines Reabetswe Ngwane et Thato Kgatlhanye se sont associées afin de fonder la société Rethaka, qui fabrique des « cartables solaires ». Colorés, ils sont achetés par des entreprises, des fondations et des particuliers et sont ensuite redistribués aux élèves des écoles défavorisées.

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Ancien joueur de LNB, Zeb Cop est devenu chirurgien

On ne le dira jamais assez comment il est important pour tout sportif professionnel de bien préparer sa reconversion.

Si de nombreux joueurs restent dans le domaine du sport à l’issue de leur carrière, d’autres suivent des chemins bien différents. C’est le cas de Zeb Cope (2,05 m, 33 ans). Vu sous les tuniques d’Orléans et Dijon en Pro A ainsi que Nanterre en Pro B entre 2006 et 2010, le pivot anglo-américain valait 8,4 d’évaluation de moyenne en 93 matchs dans l’élite française ainsi que 9,6 d’évaluation en 33 matchs dans l’antichambre de la Pro A.

C’est d’ailleurs à la fin de son contrat dans les Hauts-de-Seine que le natif de Fort Hood (Texas) a raccroché définitivement les baskets à l’âge de 28 ans.

Au cours d’une interview fort intéressante accordée au site Internet du groupe des supporters de la JDA Dijon « BURGOND FURIES« , l’ancien Dijonnais donne de ses nouvelles et évoque sa reconversion pour le moins originale. 

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NOAH SAMARA

Dans un futur proche, l’Éthiopien Noah Samara va rendre disponible pour l’Afrique la première tablette numérique connectée à un satellite dédié, dont il est propriétaire, à la fourniture de contenus éducatifs en ligne et aussi avec des enseignants dans des classes virtuelles. On pourra donc être mobile n’importe où en Afrique avec sa tablette et resté connecté en permanence sur le satellite. La tablette se détaillera aux alentours de 60 dollars.

Des années plutôt grâce à un satellite (AfriStar 1) construit par sa compagnie WorldSpace basée à Washington, Noah Samara, motivé à fournir de l’information aux populations africaines sous-informées sur la question du SIDA, avait implanté le premier système de radio satellite numérique au monde dont l’Afrique fut la première bénéficiaire en 1993 par le biais d’AfriSpace, l’entreprise fille de WorldSpace.

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Eveline Diatta, une sénégalaise d’origine lance depuis une nouvelle chaine de télévision pour un budget de 5 millions d’euros. Cette sénégalaise qui vit à Paris depuis des décennies veut avec l’avènement de la TNT en africaine veut participer au développement de notre continent.

Eveline Diatta déteste l’image de notre continent écornée par certains médias occidentaux, pour corriger cette discrimination elle a décidé avec des partenaires privés de créer une nouvelle chaine de télévision.

Elle veut une télévision autrement avec des contenus sans faire du copier-coller avec un nouveau concept, un nouveau souffle, une équipe et des partenaires dynamiques prêts à relever le défi. Pour une télévision qui se respecte il faut un contenu et une production a- t-elle déclaré.

Evantv est une chaine partenaire de canal+ , sera diffusée sur canalsat canal 17 à partir du 24 mars 2015 prochain en africaine subsaharienne. Cette afropolitaine compte à travers cette nouvelle chaine animer nos journées et enflammer nos soirées pour cela Evan tv sera un chaine qui enrichit et divertit avec des documentaires et des nouveaux films.

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Chasseur de start-up, Samir Abdelkrim déniche pour nous les futures pépites parmi les start-up africaines, dans le cadre de son projet terrain #TECHAfrique. Il décrypte cette semaine l’écosystème des start-up de Côte d’Ivoire.

En juillet dernier, ils étaient plusieurs centaines d’Ivoiriens à débattre et à faire de la prospective autour d’un thème précis : imaginer “Abidjan en 2057″. Pour sa toute première édition en Côte d’Ivoire, à Abidjan, la célèbre conférence internationale TEDx a tenté un pari audacieux en essayant de faire voyager les Ivoiriens dans leur propre futur. Et de les inciter à rêver, à imaginer puis à décrire, à quoi, selon eux, devrait ressembler la capitale économique d’un pays de 20 millions d’habitants qui retrouve progressivement la confiance des opérateurs économiques et des investisseurs internationaux après plusieurs années de troubles politiques. Un signe indéniable d’optimisme et de confiance retrouvée dans l’avenir.

Akendewa, premier hub numérique ivoirien

Car si la Côte d’Ivoire enregistre aujourd’hui des taux de croissance « à la chinoise » (+8,8% en 2013), le pays revient de très loin. Mais en dépit des tensions qui ont secoué la nation ivoirienne notamment en 2010 et 2011, les communautés Tech qui composent l’écosystème ivoirien sont toujours restées actives et ce depuis 2009 avec le lancement d’Akendewa, le premier hub numérique ivoirien.
Aujourd’hui à Abidjan, la confiance entre les acteurs du numérique progresse. Pour preuve, l’écosystème startup dans son ensemble rattrape progressivement son retard accumulé sur la capitale voisine Accra, nouvelle étoile montante de l’entrepreneuriat technologique en Afrique anglophone, mais aussi sur Dakar, nouveau paradis des startups en Afrique francophone.

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