Salutations! Je m’en vais parler d’un sujet quelque peu joyeux, primesautier (sans doute étrange et inattendu de prime abord pour beaucoup) … les fractales! Surtout les fractales et l’Afrique

D’abord, de quoi on parle quand on dit fractale? « Une figure fractale ou fractale est une courbe ou surface de forme irrégulière ou morcelée qui se crée en suivant des règles déterministes ou stochastiques impliquant une homothétie interne. Le terme « fractale » est un néologisme créé par Benoît Mandelbrot en 1974 à partir de la racine latine fractus, qui signifie brisé, irrégulier (fractale n.f). Dans la « théorie de la rugosité » développée par Mandelbrot, une fractale désigne des objets dont la structure est invariante par changement d’échelle » (Wikipedia)

En gros c’est une figure morcelée (fractionnée) caractérisée par la répétition à une échelle de plus en plus réduite de la même opération sur des portions successives: Chaque sous-partie est identique à la partie qui lui précède en terme d’échelle suivant un schéma dit « d’Autosimilarité ». Ooooooooooook, je vous montre, c’est mieux que toutes mes phrases…

Koch anime

Formation d’une fractale – Wikipedia

Eponge de Menger – Crédit: Wikipedia

Les fractales se trouvent absolument partout dans la nature ( La forme des branches d’un arbre, la disposition des feuilles, les fougères, les paumes de la main, l’architecture de nos poumons, nos vaisseaux sanguins, la formation des vagues dans l’océan, les tsunamis, les flocons de neige, la forme des coquillages, la réplication de certains virus, et ainsi de suite et ainsi de suite)

Lire l’article sur http://renaudossavi.mondoblog.org/2014/12/22/lafrique-les-fractales/

 

Autres sources sur le même sujet

2011 Cartier Women's Initiative Awards. The Laureates. Deauville, France. October 15, 2011. Photo by Caroline Doutre/ABACAPRESS

A moins de 30 ans, Lorna Rutto a créé et dirige EcoPost, une jeune PME kényane qui transforme les déchets plastiques en matériaux. Un filon sans limite que vous font décrouvrir les caméras de Réussite.

Chaque mois, Lorna Rutto se rend dans la décharge de Kasarani, à Nairobi, pour acheter 30 000 tonnes de plastiques. La patronne d’EcoPost les transforma ensuite. Le filon est sans limite : la capitale kényane génère quotidiennement 560 tonnes de déchets, dont une grande partie se retrouve dans la nature.

 

Lire l’article sur http://afrikhepri.org/au-kenya-une-femme-transforme-le-plastique-en-or/

A Dakar, ils seraient entre 30 000 et 50 000 « talibés », ces enfants des rues inscrits dans les écoles coraniques, soumis à la mendicité forcée et livrés à eux-mêmes. Et ce sont souvent aussi les premiers à se faire faucher sur la route. C’est pour alerter ses compatriotes sur l’étendue de ce gâchis humain que le jeune entrepreneur sénégalais Ousseynou Khadim Bèye a conçu Cross Dakar City, un jeu vidéo pour smartphone à mi-chemin entre le serious game et le jeu d’arcade qui met en scène Mamadou, un très jeune talibé qui décide de briser les chaînes de la mendicité et de fuir son maître pour retrouver ses parents biologiques. Le jeune aventurier devra traverser tous les quartiers de Dakar en slalomant du mieux qu’il peut entre les célèbres taxis jaunes et noirs sénégalais et autres « cars rapides », ces mini-bus conduits par de fervents mourides. Rencontre avec son concepteur.

 

Lire l’article sur http://startupbrics.com/senegal-cross-dakar-city-jeu-video-talibes-dakar/#.WMXVm9Ipx6o

Résultat de recherche d'images pour "Sujari Britt"Sujari Britt, virtuose, prodige, les qualificatifs élogieux n’en finit plus pour décrire, le génie de cette petite fille.

Lire l’article et visionner la vidéo sur http://culture-kamite.com/sujari-britt-11-ans-considere-deja-comme-meilleure-violoncelliste-de-tout-les-temps/

Ancien joueur de LNB, Zeb Cop est devenu chirurgien

On ne le dira jamais assez comment il est important pour tout sportif professionnel de bien préparer sa reconversion.

Si de nombreux joueurs restent dans le domaine du sport à l’issue de leur carrière, d’autres suivent des chemins bien différents. C’est le cas de Zeb Cope (2,05 m, 33 ans). Vu sous les tuniques d’Orléans et Dijon en Pro A ainsi que Nanterre en Pro B entre 2006 et 2010, le pivot anglo-américain valait 8,4 d’évaluation de moyenne en 93 matchs dans l’élite française ainsi que 9,6 d’évaluation en 33 matchs dans l’antichambre de la Pro A.

C’est d’ailleurs à la fin de son contrat dans les Hauts-de-Seine que le natif de Fort Hood (Texas) a raccroché définitivement les baskets à l’âge de 28 ans.

 

Lire l’article sur http://www.bebasket.fr/championnat-a-l-etranger/ancien-joueur-de-lnb–zeb-cope-est-devenu-chirurgien.html

Il s’appelle Kushiator Newlove Kwaku dit Providence. Il est le directeur général du Bureau de recherche et de transfert de technologie (BRTT) créé en 2009 et installé au quartier Tanghin de Ouagadougou. Kushiator travaille seul mais fait recours très souvent à d’autres personnes notamment des soudeurs. Au cours d’un entretien accordé à Burkina24, Providence donne des détails sur son ambition d’exploiter toutes les ressources naturelles aussi minimes soient-elles.

Kushiator Newlove Kwaku est né au Ghana. Il dit arriver au Burkina vers 1992 et travaille sur les énergies renouvelables depuis 2004.

 

Lire l’article sur https://burkina24.com/2015/03/18/invention-tech-zoom-sur-un-createur-de-feux-tricolores-solaires-a-ouaga/

Deux « gamers» ont testé pour Jeune Afrique « Aurion : l’héritage des Kori-Odan », le nouveau jeu vidéo 100% camerounais lancé officiellement il y a une semaine.

Le jeu vidéo du studio camerounais Kiro’o Games « Aurion : L’Héritage des Kori-Odan » est sorti le 14 avril sur la plate-forme américaine Steam. C’est le premier jeu de rôle accessible sur PC développé sur le continent africain. Également inspiré de la mythologie africaine, The True Ananse, lancé en 2012 par le studio ghanéen Leti Arts n’était accessible que sur mobile.

 

Lire l’article sur http://www.jeuneafrique.com/319324/culture/jeu-video-ont-teste-aurion-lheritage-kori-odan-quen-ont-pense/

 

Pluton Magazine est allé à la rencontre de l’une d’entre elle : Mame Hulo, consultante internationale, activiste panafricaine, directrice des Editions Diasporas Noires et de la revue Bonnes Nouvelles d’Afrique et aussi auteure, elle croit en l’Afrique et personne ne pourra la faire changer de position.

12193646_422714154586486_1253509034728009166_n-1En Afrique,  la femme veut sortir des sentiers battus, s’émanciper à sa façon en bousculant les traditions, mais aussi les avis individuels et personnels fondés sur l’influence de ses détracteur. Vivre sa foi et assumer sa tenue vestimentaire. Elle a son mot à dire sans chercher aucune rivalité avec l’homme. Elle veut simplement montrer qu’elle est capable de bonnes choses dans le sens du bon progrès. Chanter, jouer d’un instrument de musique, les femmes savent le faire aussi bien que tenir la maison ou une échoppe et bien heureusement, quelques hommes ouverts d’esprits encouragent leur entreprenariat. On a tout à apprendre de ce vaste continent et de sa diversité culturelle qui marque ce XXI° siècle d’une empreinte différente car le talent y bourgeonne depuis la radicule.

PM : Que pensez-vous de la position de la femme africaine aujourd’hui et pourquoi doit-elle faire bouger les rangs ?

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Les femmes sont aujourd’hui reléguées aux seconds rôles partout sur la planète, quasiment, et particulièrement en Afrique… Mais c’est un second rôle de façade car si on gratte un peu, on se rend compte que beaucoup de choses concernant la bonne marche de notre société reposent sur elles, non seulement dans le domaine familial, éducatif et social, mais aussi dans le domaine professionnel ou politique, par exemple, les assistantes sont les piliers des entreprises, rien n’y marche sans elles, mais ca, personne n’en parle !

Il faudrait  vraiment que notre société phallocratique reconnaisse leur immense apport (et pas que le 8 mars), et leur permette d’exprimer plus leur créativité qui est aujourd’hui brimée par de multiples carcans !

C’est dommage, car ce sont les sociétés et les nations qui sont perdantes, et Thomas Sankara le disait déjà dans son célèbre discours sur les femmes !

Les femmes doivent s’investir et être investies en masse dans toutes les instances décisionnelles en Afrique car elles ont un regard unique, pragmatique, empathique, et elles sont plus enclines à se sacrifier pour l’intérêt général, elles ont ça dans leur ADN en tant que mères de leurs enfants et mères de l’humanité.

Pour provoquer, je dis souvent que si la volonté et le travail étaient payés à leur juste valeur, les femmes africaines seraient toutes milliardaires et les hommes smicards (rires)…

Les femmes étaient puissantes, reines, ministres, conseillères, prêtresses, militaires (les fameuses Amazones) dans la société antique africaine, pourquoi plus maintenant ?

PM : Vous avez aussi un grand cœur pour les enfants, quel rôle jouez-vous au sein de la lutte contre la mendicité ?

En fait, je ne suis pas de ceux qui leur viennent en aide au quotidien pour les nourrir et les vêtir, notamment au sein d’une association !

Mon Collectif Doyna Stop à la mendicité des enfants et moi, nous nous battons surtout au niveau politique pour arrêter cette barbarie, car laisser mendier des enfants très jeunes, déguenillés, couverts de plaies et de maladies, sales, affamés, à la merci de toutes les prédations, notamment des pervers, souvent enrôlés par les bandits dans les rues, c’est une ignominie, un scandale !

Cette exploitation de leur vulnérabilité par des adultes sous des prétextes soi-disant religieux est une indignité, j’ai honte et j’ai mal !

Quand je les croise, ces enfants-là, j’essaie de leur donner de l’amour, de l’affection, c’est aussi de ca qu’ils manquent le plus, ils sont si petits parfois !

Ces enfants sont pourtant notre avenir… Nous hypothéquons notre avenir !

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PM : Quelles sont vos relations à l’Afrique ?

Certains me surnomment Mama Africa (rires).

En fait, l’Afrique c’est comme une soupe et j’en suis le sel, et impossible d’extraire le sel de la soupe, n’est-ce pas ?  Je préfère l’appeler Kama (son vrai nom) ! Je pense Kama tout le temps, partout, pour tout…

Je suis persuadée que nous avons tous les outils en nous pour nous en sortir, il suffit de chercher à nous connaître mieux, à nous faire confiance !

Je lis beaucoup sur nos valeurs ancestrales dont je découvre chaque jour des pans entiers d’une magnificence extraordinaire… Il nous faut déconstruire tous les mensonges dont ces valeurs ont été l’objet pour mieux nous dominer, et remonter assez loin afin de les retrouver immuables dans leur rectitude inégalée pour les offrir au monde.

PM : Vous êtes engagée sur de nombreux fronts, comment voyez-vous l’Afrique de demain ?

Je suis très préoccupée par son avenir, son devenir, je suis parfois fatiguée, mais la plupart du temps, je suis dans un optimisme presque serein, je sais que nous sommes en train de nous éveiller d’un long sommeil, je participe tous azimuts à cet éveil et nous sommes de plus en plus nombreux à participer à cela…

Je sais que l’Afrique est en train de renaître de ses cendres et que plus rien ne sera plus comme avant ! Malgré les apparences actuelles, l’avenir est lumineux, c’est sous le capot, j’y crois fermement !

PM : Êtes-vous toujours comprise par vos pairs ?

J’avoue que cette question ne me préoccupe pas, j’ai toujours été un peu hermétique à ce qu’on pense de moi, sinon je ne serais pas moi-même en toutes circonstances, peu importent les conséquences… Paradoxalement, je suis quelqu’un de très sociable aussi, avec une bonne éducation de base mais un peu comme une autiste affectueuse et empathique envers les autres et en même temps, libre,  trop libre, défendant ses propres valeurs et son authenticité.

Je réalise aussi parfois que je fais peur aux hommes à cause de cette liberté farouche, incontrôlable, si c’est cela votre question…

PM : Comment vivez-vous cette iniquité face au pillage des biens (minerais, terres rares, pierres précieuses…) sans un retour sur le terrain dans le quotidien du peuple, et avec le reflux des migrants ?

Je le vis très mal, je le dénonce constamment, j’essaie d’éveiller les consciences à ce propos, notamment au niveau de la jeunesse africaine, sur les réseaux sociaux, dans mes conférences, dans mon dernier livre qui s’appelle Prenez le pouvoir – Message aux jeunes  (éd. Diasporas Noires), je leur donne beaucoup d’informations géostratégiques et des conseils pour se défendre face à ces pillages organisés par les occidentaux, et maintenant, la Chine s’y met aussi. L’Afrique est un gâteau appétissant pour le monde entier, sauf pour nous-mêmes ! J’essaie aussi de les éveiller pour ne plus qu’ils aient envie de tenter l’aventure de la migration.

PM : Votre maison d’édition n’est pas un hasard, voulez-vous raconter à nos lecteurs la raison et l’objectif qu’elle poursuit ?

Je suis devenue éditrice suite à un fait qui m’a profondément marquée : Sylvia Serbin, une Martiniquaise auteure du livre  Reines et héroïnes d’Afrique,  a vu son livre massacré et falsifié par une maison d’édition allemande qui l’a traduit en y insérer une vision raciste de l’Afrique. Elle a porté plainte, mais n’a pas obtenu gain de cause. Vous imaginez, son livre circule avec son nom et des idées qui ne sont pas les siennes. Au regard de ces faits, j’ai pensé que les Africains devaient arrêter de se faire éditer par les Occidentaux, car nos intérêts sont divergents. Eux, leurs intérêts, c’est de prolonger leurs propres visions des Africains et de l’Afrique, le misérabilisme, notre soi-disant incapacité à nous en sortir sans eux… Je dis souvent : écrivons nous-mêmes notre histoire et nos histoires, donnons notre propre version des faits sans les dénaturer par le miroir que nous tendent les autres… Nous avons déjà entendu la version de la chasse donnée par les chasseurs, écoutons la version des lions à présent, il est temps !

Donc, l’objectif qu’elle poursuit est illustré par cette histoire qui est son ADN et sa mission est aussi illustrée par ce nom  Diasporas noires, car nous voulons mettre en avant la littérature africaine et afro-descendante, en Afrique et à travers le monde. Et ce n’est pas une question de couleur de peau, mais une affaire de se sentir appartenir à la soupe africaine, d’en être le sel.

PM : Selon vous, quelle est la responsabilité de l’auteur africain de nos jours, car la littérature africaine est toute jeune ?

Je pense que la responsabilité de l’auteur africain de nos jours est en priorité l’éveil de conscience du peuple africain en Afrique et du peuple afro-descendant partout dans le monde, dans tous les domaines, politique, spirituel, éducatif, social,… afin que ce peuple puisse se libérer de toutes ses nombreuses chaînes visibles et invisibles, qu’il retrouve son estime de soi malmenée par des siècles de domination en tout genre et en tout lieu, qu’il redécouvre son héritage vilipendé, sa véritable histoire et qu’il relève la tête…

PM : Quel message voulez-vous délivrer au peuple africain ?

Mon message au peuple africain c’est « LÈVE TOI ET MARCHE ! ».

Extrait de son discours sur l’Unité de l’Afrique, que vous pouvez lire en intégralité ci-dessous.

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Mame Hulo « Africaine du Sénégal », promotrice culturelle, conférencière, éditrice, écrivain et activiste du panafricanisme. Elle est née au Sénégal et a vécu en France où elle a occupé des postes de responsabilité au sein de grandes entreprises, comme consultante. Après des dizaines d’années passées à Paris, à l’Île de la Réunion et à Montréal, elle rentre au bercail et abandonne sa carrière de consultante afin de s’engager pour l’Afrique. Elle crée la maison d’édition numérique Diasporas Noires, 100 % africaine et militante ainsi que la Revue des bonnes nouvelles d’Afrique. Elle est l’initiatrice des conférences mensuelles « Les Rendez-vous de l’Afrique Consciente ». Infatigable, elle fonde également en 2014 le Collectif DOYNA STOP à la mendicité des enfants.

 

Discours de Mame Hulo sur « L’Unité de l’Afrique»

Pluton Magazine remercie Mame Hulo et toutes les femmes comme elle, qui sont prêtes à enfanter un monde nouveau pour un meilleur demain. Ses quatre derniers mots pour clore  cette interview dénotent sa foi et sa conviction profonde dans le combat qu’elle mène. « Je plaide, dit-elle, pour que les femmes soient reconnues dans toutes leurs dimensions, car elles sont des actrices incroyablement dynamiques, énergiques, volontaires, bienveillantes, pragmatiques, efficaces pour nos sociétés, pour nos nations… Elles ont le droit à tous les égards, car sans elles, pas de développement ! »

Propos recueillis par Georges Cocks

Secrétariat rédaction: Colette Fournier

Pluton-Magazine/2017

Notes:

Autres pages suggérées

Édition – Librairie numérique équitable : découvrez de nouveaux auteurs

http://www.diasporas-noires.com/

Lisez la Revue des bonnes nouvelles d’Afrique

http://diasporas-noires.com/bonnes-nouvelle-dafrique

Ne ratez pas les Rendez-vous de l’Afrique Consciente

au Monument de la Renaissance le 3éme samedi de chaque mois, à 15H30

Demandez votre carte d’identité africaine et du citoyen panafricain

http://www.carte-identite-africaine.org/

Signez la pétition pour une Afrique Fédérale et les Etats Africains Unis

http://etatsafricainsunis.org/petition-de-soutien/

Soutenez le Collectif DOYNA STOP à la mendicité des enfants

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SOURCE DE L’ARTICLE https://pluton-magazine.com

 

L’Afrique n’est pas que guerres et désolation, quoi qu’en montrent les médias occidentaux. L’Afrique vit, l’Afrique rêve, l’Afrique invente. Et des inventeurs géniaux sur le continent, il y en a en pagaille.

le site AFRIK.com  a exhumé pour vous de leurs archives des remarquables exemples de l’intelligence africaine.

L’Afrique apporte une innovation à la chimie analytique

Une invention qui pourrait bouleverser le monde de la téléphonie

Les Américains traquent les génies algériens sur le web

Ces inventeurs venus d’Afrique

Un Nigérian conçoit aux Etats-Unis une voiture révolutionnaire

RapeX, premier préservatif anti-viol

Enfin des pansements pour les peaux mates, noires et métissées !

Cameroun : de la farine de manioc pour faire des biscuits et du pain

Une couveuse en or

Khafel : innovation couscous

Lire la suite de l’article et les autres articles de cette liste http://www.afrik.com/inventeurs-d-afrique#.U_g0aVwfLCp.facebook

Demain… Une autre Afrique de Bocar Gueye

Interview par Pape Ale Niang dans « Ça me dit Mag » sur la 2STV