Un jeune Tunisien de 11 ans champion du monde des mathématiques
Elyes khadhraoui, jeune tunisien âgé de seulement 11 ans, a décroché le premier prix de « la course aux nombres », concours international de calcul mental, organisé chaque année dans tous les établissements scolaires français par l’Agence de l’enseignement français à l’étranger (AEFE).

La mère du jeune lauréat s’est déclarée « émue et fière de la brillante victoire de son fils », affirmant qu’Elyes a été classé premier à l’échelle nationale, maghrébine et internationale, sur 75 mille à travers le monde entier. « C’est la première fois qu’un Tunisien remporte le concours international de calcul mental dont la finale s’est déroulée le 22 mai dernier », a-t-elle souligné.

« Le jeune Elyes, qui est inscrit à l’école primaire Guy de Maupassant de Sousse, rêve de devenir médecin afin de trouver un remède contre le cancer a-t-elle dit, ajoutant que son fils pratique également le football.

La directrice de l’école française, a relevé que ce concours vise à encourager l’exercice du calcul mental, rapide et réfléchi, et consiste à résoudre des opérations arithmétiques, en une durée de temps trés courte (7 minutes).

Lu sur http://www.webmanagercenter.com

Les médias de façon générale mettent souvent en avant des stars du show-business aux mœurs légères au détriment de personnes ordinaires qui ont accompli des choses extraordinaires. Ben Carson fait partie de ces personnes.

Il fut éduqué par sa mère célibataire et il était au départ un mauvais élève et un enfant violent. En prenant en compte tous ces éléments, il aurait pu avoir une triste destinée. Mais c’était sans compter sur le dévouement sans limite de sa mère pour la réussite de ses enfants.

Il est aujourd’hui l’un des meilleurs et plus doués neurochirurgiens au monde. Il a non seulement tenté mais aussi réussi les opérations les plus risquées. Il est connu pour être le premier médecin au monde qui a réussi à séparer deux jumeaux siamois reliés l’un à l’autre par le bas de la tête depuis leur naissance, sans qu’aucun des deux ne décède.

Très influent aux États-Unis, il nous livre dans cet entretien, sa vision sur la vie et sur l’influence qu’on peut avoir sur notre destinée grâce à notre volonté. On remarque surtout l’importance del’éducation dans cette vidéo.

Traduction :

« J’ai eu assez de chance pour avoir une mère qui croyait en moi alors que personne d’autre n’y croyait. Et elle a refusé de me voir échouer. Je veux dire, elle nous* permettait de regarder que peu de temps la télévision. Et elle nous faisait lire des livres alors que tout le monde était dehors en train de jouer, nous devions lire des livres.

Et en lisant ces livres, j’ai lu beaucoup de livres sur beaucoup de personnes, des personnes qui ont réussi et j’en suis venu à réaliser que j’étais le seul maître de ma destinée.
Il n’y a vraiment personne d’autre, ni aucune influence extérieure, le facteur social ne compte pas forcément. C’est juste toi et les choix que tu fais.

Et une fois que j’ai réalisé ça, vous savez, la pauvreté ne me dérangeait plus parce que je savais que je pouvais changer ça. Plus rien ne me dérangeait, car je savais que j’avais ce pouvoir de changement, et que donc je pouvais tout changer.

Et c’est le message que j’essaye de faire passer aux gens. Les circonstances dans lesquelles vous êtes nés ne comptent pas tant que vous avez un cerveau normal, parce que le cerveau humain est l’organe le plus fabuleux de l’univers.

Et tous les cerveaux le sont. Et je peux vous le dire en tant que neurochirurgien, vous savez, quand j’ouvre ce crâne, que je retire les os et que je vois le cerveau.

Je ne peux dire si ce cerveau vient d’Afrique, de Scandinavie, d’Iran ou d’Amérique du Sud, parce qu’ils sont tous les mêmes !

Et c’est un fait, c’est ce truc qui fait vraiment qui nous sommes, tout ce qui est a l’extérieur n’est pas si important. Vous savez les gens accordent tellement d’importance sur ce qui ne l’est pas.«

*nous = lui et son frère qui est devenu ingénieur.

Lu sur http://negronews.fr

Le réfrigérateur pot-en-pot (ou réfrigérateur pot dans un pot) et son procédé de fabrication ont été conçus par Mohammed Bah Abba, un enseignant nigerian d’une famille de fabricants de pots, qui a fait breveter un réfrigérateur pot-en-pot en 1995 pour aider les familles Soudanaises à conserver leurs aliments.

Il s’agit d’un dispositif de réfrigération qui maintient les aliments au frais sans électricité, en utilisant le refroidissement par évaporation. Un pot en terre cuite poreuse ou en argile, garni de sable humide, contient un pot intérieur (qui peut être hermétique et ainsi contenir des liquides) dans lequel l’aliment est placé : l’évaporation du liquide extrait la chaleur de la cuve intérieure. L’appareil peut être utilisé pour refroidir des substances telles que l’eau, les aliments ou les médicaments sensibles aux hautes températures.

Pour son développement, Bah Abba a remporté le Rolex Awards for Enterprise (100.000 $) et le Shell Award for Sustainable Development en 2012.

 

Source : article de Wikipédia en anglais intitulé « Pot-in-pot refrigerator » (voir la liste des auteurs)

En Afrique, l’innovation n’est pas seulement dans les logiciels ou dans les applications. Elle se retrouve également dans les usages. 
Après les Cyber Café qui ont permis à la grande majorité des africains de découvrir Internet, voici aujourd’hui la « Tablette Cafe« . Ce projet ingénieux a été lancé à Dakar dans le quartier populaire de la Médina.

Financé en partie par Google Africa,  La Tablette Cafe comme son nom l’indique propose à la place des PC fixes habituels, des tablettes Google Nexus 10.

 

Lire l’article sur http://www.techofafrica.com/innovation-dans-les-usages-voici-la-tablette-cafe-made-in-dakar/ 

Le Nigeria économise 254 milliards de Naira en introduisant de la farine de manioc dans la fabrication du pain

Le Nigeria économise 254 milliards de Naira en introduisant de la farine de manioc dans la fabrication du pain

Le manioc ne sert donc plus seulement à faire du fufu ou du tapioca. Il y a 2 ans, le Nigéria s’engageait dans une réforme de son secteur agricole, qui visait à diminuer les coûteuses importations de blé destinés à produire le pain pour le pays. En introduisant 40% de farine de manioc dans la fabrication du pain, l’état le plus peuplé d’Afrique voulait par la même occasion stimuler l’agriculture locale.

Le résultat aujourd’hui est une économie nette de 254 milliards de Naira, soit 1,2 milliard d’Euro, et la naissance d’un secteur agro-industriel très rentable. Le Nigéria s’est spécialisé dans la formation de boulangers travaillant la farine de manioc et sur les marchés, la différence entre le pain fait uniquement de farine de blé et celui issu du mélange avec de la farine de manioc ne se fait pas sentir.

Fort de cette expérience, le gouvernement va lancer un train de mesure pour stimuler le secteur. 30 millions de $ sont requis pour bâtir une unité de raffinage de 50 000 tonnes. Des taux d’intérêt bas et des incitations financières vont être mises sur pied. Des zones de raffinage vont être créées dans tout le pays. De l’électricité va être fournie et des routes construites. Selon le ministre de l’agriculture Akinwumi Adesina, le secteur de la farine de manioc pourrait peser 8,5 milliards de $ en 2020.

Source : allafrica.com

Lu sur http://www.afroconceptnews.com

Une université américaine a découvert une plante dénommée Nepeta Cataria qui « pourrait être une solution » pour l’éradication du paludisme au Sénégal, en Afrique et en Amérique latine, a révélé le chimiste français Franck Phélippeau.

 

« Il existe une solution qui permet d’éradiquer le paludisme dans tous les pays d’Afrique, y compris même ceux d’Amérique latine. Cette solution provient du Nepeta Cataria », a-t-il notamment précisé, ajoutant qu’une expérience est en cours au Burundi où la plante est cultivée.Il a fait cette révélation samedi à Popenguine (Mbour) au cours d’un point de presse animée par les responsables de la Fondation Aïdara Chérif.

« J’ai essayé d’entrer en contact avec le cabinet du ministre de la Santé et de l’Action sociale, sans succès. C’est ainsi que j’ai décidé de récupérer la graine pour la planter afin de la donner aux populations pour leurs problèmes de santé liés au paludisme », a-t-il dit.

Selon Franck Phélippeau, « cette plante a une capacité répulsive dans la feuilles, qui est vingt fois supérieure à n’importe quelle autre répulsive actuelle. « Si vous prenez une feuille de cette plante et que vous la passez entre les mains, vous ne serez jamais piqués dans la journée par une moustique », a-t-il signalé.

« Et pourtant, ça fait maintenant un an qu’elle existe et que rien ne bouge. Cela me rend fou, parce qu’en un an, beaucoup de personnes sont décédées du paludisme. Elles sont 3000 personnes décédées, par jour, du paludisme en Afrique et 5000 individus dans le monde, par jour, et rien ne bouge », s’est inquiété le chimiste.

Cette situation s’explique, d’après lui, par la mainmise de l(industrie pharmaceutique. « Tout le monde cherche à déposer un brevet ou à développer des solutions de produits chimiques ou de synthèse », a-t-il relevé.

« Je n’ai rien inventé moi, mais je suis basé sur une étude qui a été menée il y a deux ans et qui a été publiée par une université américaine. Quand j’ai voulu les conclusions de l’étude en question, ça m’a rendu fou, parce que je ne supporte pas certaines idées », a-t-il dit.

« C’est qu’il y a deux ans que cette université américaine s’était rendue compte que cette répulsive était très importante et peut protéger, au moins, 95% de personnes contre la paludisme », a dit Franck.

Pour le docteur en Pharmacie, Mohamed Tamba, il faut retourner aux valeurs ancestrales. Il estime qu’il faut « s’enraciner fortement » sur les valeurs ancestrales avant de s’ouvrir à l’extérieur.

« Il faut que les Sénégalais et les Africains reviennent à leurs valeurs ancestrales », a lancé Dr Tamba.

La start-up kényane Ushahidi a présenté son dernier projet BRCK, un outil qui permet de se connecter à internet depuis n’importe quel endroit.

 

« Si ça marche en Afrique, alors ça marchera partout dans le monde ». Telle est la devise des fondateurs d’Ushahidi, une start-up basée à Nairobi. Ils l’ont démontré dès 2008 avec leur logiciel open-source de cartographie interactive utilisé notamment par l’ONU et les plus grands médias du monde.

Après le logiciel (software), ces créateurs de solutions innovantes et utiles au continent, s’essaient à la création de matériel informatique (hardware).

Lire l’article sur http://www.rfi.fr/economie/20130616-start-up-ushahidi-brck-brique-connexion-internet-kenya/

 

 

Le premier film africain en 3D est ivoirien. Ce long-métrage, de 65 minutes, retrace l’histoire de la Princesse ivoirienne Abla Pokou. Elle est contrainte de s’exiler au royaume du peuple Ashanti (actuel Ghana), à la suite du coup d’Etat perpétré, au 18e siècle, par Kongouê Bian, un ancien guerrier du roi Opokou Warê.

Le film d’animation en 3D, Pokou Princesse Ashanti, est réalisé par Afrikatoon. Ce long-métrage d’une durée de 65 minutes relate l’histoire du royaume du peuple Ashanti (actuel Ghana) où la Princesse ivoirienne Abla Pokou s’exile, malgré elle, à la suite du coup d’Etat perpétré, au 18e siècle, par Kongouê Bian, un ancien guerrier du roi Opokou Warê.

« Ce premier long métrage ivoirien en 3D viendra en appui aux manuels scolaires qui relatent déjà l’histoire du royaume du peuple Ashanti. Aussi il permettra à tous ceux qui souhaitent connaitre l’histoire du peuple Baoulé, de le découvrir à travers ce long métrage », rapporte Techmissus.com.

Pokou Princesse Ashanti, le premier film africain en 3D, doit sortir en France, le 6 juillet en salles et en avant-première au Cinéma Primera.

 

 

PAR CURLY MWAMBA

 Lu sur www.afrik.com 

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Les scientifiques de l’Intelligence Space Systems Laboratory de l’Université des Nations à Koforidua, ont lancé le CanSat, un satellite miniature dans l’espace.

Fiifi Koomson qui était au laboratoire spatial a déclaré que la sonde de CanSat cylindrique mesure environ 5 cm de diamètre et 8 cm de hauteur, et a un puissant appareil photo attaché à elle.

Le déploiement du satellite est un précurseur pour le lancement d’un plus grand satellite conventionnel en 2016.

Le satellite va recueillir des informations sur les inondations, les déversements d’hydrocarbures entre autres dans son bref séjour dans l’espace, à 200 yards (mètres) dans l’air.

« Nous espérons que cette démonstration pratique de ce qui peut être fait par les étudiants comme eux va générer plus d’enthousiasme, enflammer leur imagination pour arriver à des choses plus créatives, et de montrer qu’il est possible qu’ils soient un jour être en mesure de lancer leur propre véritable satellite en orbite », a déclaré Prosper Kofi Ashilevi, directeur du Space Science Ghana et le Centre de la technologie.

Un objectif principal du projet est de renforcer l’intérêt des étudiants pour le programme spatial du Ghana, qui est derrière ceux de plusieurs autres pays d’Afrique sub-saharienne, notamment des puissances comme le Nigeria et l’Afrique du Sud.

Les experts disent que le Ghana sera probablement prêt dans cinq ans ou plus à développer ses propres satellites opérationnels, qui pourraient un jour être utilisé pour faire face à tout, de catastrophes naturelles à la contrebande de ressources naturelles.

Le projet démarre avec juste un gros ballon en l’air pour transporter le modèle miniature d’un satellite.

À l’Université des Nations, les étudiants et les chercheurs espèrent contrôler les images et d’autres informations envoyées par le modèle à mesure qu’il descend vers le sol.

Traduction : LEBLOG COTEDIVOIREDEBOUT

SOURCE: myjoyonline

Lu sur http://www.mtn.ci

Joshua Beckford, un jeune garçon de huit ans, originaire du quartier Tottenham à Londres, savait lire avant même de savoir marcher. Non, ce n’est pas une blague, ce petit garçon existe!

Joshua Beckford, connaissait l’alphabet par cœur et savait différencier les couleurs à l’âge de dix mois.

A six ans, il a commencé à prendre des cours à l’université Oxford. Il rêve de devenir neurochirurgien.

Joshua Beckford et son père Daniel Joshua Beckford et son père Daniel

Son père s’est rendu compte de son intelligence alors qu’ils étaient assis devant l’ordinateur : « Je lui ai nommé les lettres qui étaient sur le clavier et j’ai réalisé qu’il s’en souvenait avec une facilité déconcertante, il pouvait comprendre. Il pouvait désigner chaque lettre du clavier facilement alors nous sommes passés aux couleurs. »

A l’âge de deux ans et demi, il savait déjà lire couramment, il arrivait à se servir d’une tablette tactile pour écrire avant même de se servir d’un crayon.

Notre petit génie sait parler japonais, il pratique des interventions chirurgicales sur des simulateurs informatiques et il a résolu plus de 1000 problèmes mathématiques.

En 2011, son père a écrit à l’université d’Oxbridge pour voir s’il le laisserait participer à un cours de philosophie destiné aux enfants surdoués âgés de huit à treize ans. A sa grande surprise, ils ont acceptés. Par la suite, Joshua est devenu le plus jeune étudiant inscrit à l’université. Il n’avait que 6 ans quand il a commencé à prendre des cours.

Autism Event

Pour son père, c’est un petit garçon normal de huit ans, il ne le voit pas comme un enfant différent des autres.

Il ajoute : « Parfois, c’est un peu difficile parce qu’il pose beaucoup de questions. L’autre jour, il m’a demandé, « Est-ce que l’infini est un nombre pair ou un nombre impair?  » Et évidemment, je n’en avais aucune idée! La plupart du temps je ne remarque pas son intelligence, car il est juste Joshua pour nous!  »

Le petit de huit ans a été récemment diagnostiqué « autiste de haut niveau » . Les autistes de haut niveau sont dotés d’une intelligence supérieure aux autres personnes autistes. Ils sont capables d’interactions sociales mais ne se détachent pas complètement de leur monde intérieur. Dans quelques rares cas, on suppose que certains de ces autistes sont même capables de capacités intellectuelles exceptionnelles dans des domaines bien précis. On peut notamment penser à Kim Peek, l’homme qui a inspiré le personnage interprété par Dustin Hoffman dans le film Rain Man.

Son père précise : « Vu qu’il est autiste, il peut être un peu difficile parfois. Il n’aime pas les bruits forts et marche toujours sur la pointe des pieds, il mange toujours dans la même assiette, en utilisant les mêmes couverts et il boit toujours dans le même verre. D’ailleurs, il n’aime pas les enfants de son âge, il préfère les adolescents et les adultes. »

Pour mieux l’encadrer, son père Daniel a rejoint des groupes de soutien pour les personnes ayant des enfants autistes.

Ce petit génie est à suivre de près! Retenez son nom!

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Lu sur http://direct.cd