Le président national de l’Association des consommateurs du Sénégal (ASCOSEN) Momar Ndao a annoncé à l’APS avoir mis au point un Système de navigation par satellite pour le Sénégal, soit ’’le premier GPS au monde qui parle wolof’’.
Dénommée ’’JOOW’’, l’invention qui est déjà protégée au niveau du Bureau sénégalais du droit d’auteur ’’consiste en la mise à disposition des usagers, de terminaux GPS avec des logiciels et des cartes routables de Dakar, du Sénégal et de ses principales villes’’.
Ces terminaux GPS peuvent être de plusieurs natures : récepteurs GPS autonomes, téléphones et smartphones dotés de puces GPS intégrés, PDA (Personal desktop Assistant) et PNA (Personal navigation assistant) dotées de puces GPS, véhicules dotes de GPS intégrés, téléphones, smartphones, PNA et PDA non dotées de puces GPS à connecter par l’intermédiaire de GPS Bluetooth.
Selon un document de présentation, chaque carte routable est dotée de centres d’intérêts divers orientés vers des domaines tels que l’administration, la santé, les urgences, les services financiers et notariaux. Ainsi, ces points d’intérêts peuvent être enrichis par l’usager selon ses souhaits.
Des fonctionnalités de recherche sont également offertes par adresse (ville, rue et dénomination), lieux les plus proches, centres d’intérêts, nom, favoris, coordonnées, SMS de positionnement.
’’A l’issue de cette recherche, le programme de guidage par satellite, vous indique, dans la langue de votre choix (anglais, français, wolof, (pulaar en cours de développement), rue par rue, et en temps réel, le chemin pour aller à votre destination en tenant en compte des sens uniques, des sens giratoires, des sens interdits, de la vitesse de déplacement’’, rapporte le document.
Il ajoute que le programme indique aussi des statistiques diverses : la distance à vol d’oiseau, distance réelle par la route, votre vitesse réelle, vitesse moyenne, vitesse maximale, distance parcourue, distance restante, temps à l’arrêt, altitude par rapport au niveau de la mer, etc.
‘’En outre, pendant le guidage, des alertes de limitation de vitesse, de dangers divers, de route en travaux, etc. sont affichées en temps réel ou annoncées à haute voix en français, wolof, anglais, etc.’’
Selon la présentation faite de cette invention, les solutions GPS routières n’existent que dans moins de 5 pays sur le continent africain et constituent, de ce point de vue, ’’une innovation majeure pour le marché sénégalais’’.
‘’Il n’est pas besoin de connexion Internet ou de frais de télécommunications à payer pour utiliser le service, sauf dans certains cas, ou l’usager veut envoyer des SMS ou bénéficier de services supplémentaires non essentiels, ou dans le cas où il veut avoir en temps réel l’état des embouteillages et pouvoir les éviter’’, indique le document de présentation.
Ainsi, JOOW ’’répond à un besoin de repérage et de guidage de précision dans l’adressage, et même dans la banlieue avec une identification de toutes les rues’’, indique la même source source selon qui ‘’la presque totalité des services officiels sont repérés avec leur adresse exacte, sans compter toutes les adresses utiles, jusqu’aux vulcanisateurs !’’.
De plus, le système ’’s’adresse à tous les automobilistes, à l’administration, aux citoyens sénégalais et aux étrangers, aux chauffeurs de taxi, aux agences de location de voitures, aux services publics, aux services de distribution de courrier, aux services de livraison, aux entreprises concessionnaires de services publics (eau, électricité, téléphone) etc.’’
Président du réseau des Associations de consommateurs de l’UEMOA. RAC-UEMOA et de la Commission de la santé et des affaires sociales du Conseil économique et social du Sénégal, Momar Ndao est un ingénieur commercial spécialisé en TIC. Il est également titulaire d’un master II en droit de la régulation.
http://www.joow.biz/
Jeune Afrique a sélectionné 25 projets d’avenir pour le continent.© J.A
Le continent tel qu’on le rêve, puissant, moderne et doté d’infrastructures performantes… De la science-fiction ? Non, si l’on en juge par les nombreux chantiers censés le projeter dans une nouvelle ère.
Faisons un rêve. Un certain Joseph, Congolais, rend visite à son grand ami sud-africain, Jacob, qui réside à Pretoria. Il part de Kinshasa, dispose d’un peu de temps et souhaite profiter des paysages de savane, comme du temps de sa jeunesse lorsqu’il accompagnait son père parti à la chasse. Mais le train express climatisé en service depuis une quinzaine de jours est déjà victime de son succès. Heureusement, Joseph dispose d’un service VIP. On lui trouve une place pour une centaine d’africas, la toute nouvelle monnaie unique.
Depuis leurs domiciles d’Abidjan et Dakar, Alassane et Macky s’envoient des chats pour échanger sur leur nouveau job. Les journées sont chargées, mais c’est bien payé. Nos deux camarades sont ravis et se donnent rendez-vous le lendemain pour poursuivre la conversation. De toute façon, ils ne risquent plus une satanée coupure d’électricité depuis que la centrale ghanéenne de Tema, tournant au gaz nigérian, approvisionne toute la région.
À Alger, Abdelaziz, quoiqu’un peu fatigué, a finalement décidé d’aller à Abuja pour régler un léger différend avec le Bamakois Dioncounda. Là-bas, ils retrouveront le bien nommé Goodluck. Pour économiser un peu d’argent, ils ont opté pour le covoiturage sur la transsaharienne. Un souvenir inoubliable ! L’aire d’autoroute de Tombouctou est de toute beauté avec ses lieux saints.
Lire l’article sur http://www.jeuneafrique.com/Articles/Dossier/JA2692p024-039.xml0/paix-agriculture-investissement-consommationdeveloppement-a-la-conquete-de-l-afrique-ideale.html
Le prestigieux prix de l’Union Africaine du programme scientifique, dénommé «Kwame Nkrumah», du nom du père de l’indépendance du Ghana, a été attribué à la Professeure Francine Ntoumi. Pour ses nombreuses actions et ses efforts consentis dans le domaine de la santé publique. Ce prix scientifique, cuvée 2012, honore la lauréate congolaise, la fondation qu’elle dirige depuis 2008, ainsi que ses membres. A travers ses diverses actions et sa participation aux grandes réunions, la Professeure Francine Ntoumi a su imprimer son nom sur l’échiquier international.
La cérémonie de remise de ce prix scientifique a eu lieu, lundi 17 décembre 2012, à Addis-Abeba, en Ethiopie, siège de l’U.a (Union africaine). En présence de l’ambassadeur du Ghana en Ethiopie, de M. Sidibé Michel, directeur exécutif de l’Onusida, et de plusieurs personnalités œuvrant dans le domaine scientifique.
Depuis le lancement de ce prix, le 9 septembre 2008, grâce au soutien des partenaires au développement, comme la Commission Européenne, la commission de l’Union africaine et Total E & P, en vue d’encourager les chercheurs à aller de l’avant, c’est pour la première fois que la République du Congo a été honorée. A travers la Professeure Francine Ntoumi.
L’objectif du Prix scientifique «Kwame Nkrumah» de l’Union africaine est de donner des récompenses aux éminents scientifiques africains, pour leurs réalisations scientifiques, leurs découvertes importantes, ainsi que pour divers résultats obtenus. Ses objectifs peuvent être résumés en trois points essentiels, à savoir: rehausser le profil du secteur des sciences et de la technologie pour un développement durable; promouvoir en Afrique le développement scientifique; élever les ambitions des jeunes chercheurs et encourager les femmes à persévérer dans la recherche.
C’est en juillet 2010 que les chefs d’Etat et de Gouvernement de l’Union Africaine avaient pris la résolution de renommer ce programme, Prix scientifique «Kwame Nkrumah» de l’Union africaine. Cette résolution reflète bien la thématique de la réussite et souligne le rôle combien critique des sciences et technologie dans le développement et l’intégration de l’Afrique.
Ce prix est décerné par un jury international, après analyse des curriculums vitae des candidats, leurs réalisations et l’impact sur leur travail dans la sous-région et en Afrique. C’est après un travail rigoureux abattu par le jury, que la Professeure Francine Ntoumi a été sacrée lauréate.
Outre le prix «Kwame Nkrumah», la Professeure Francine Ntoumi a reçu, le 7 décembre dernier, à Paris, en France, le Prix Rice (Réseau international des Congolais de l’extérieur), pour son parcours individuel et exceptionnel.
A n’en point douter, la Fondation congolaise pour la recherche médicale est un appui de plus pour les secteurs de la recherche scientifique, de santé publique au Congo.
Fondée en 2008, la Fondation congolaise pour la recherche médicale a pour buts principaux: le renforcement des capacités de recherche en santé au Congo et en Afrique sub-saharienne; faire la promotion des collaborateurs scientifiques entre les institutions de recherche au Congo et celles des autres Etats dans les domaines des sciences de la santé et de ses applications.
Depuis sa création, la Fondation congolaise pour la recherche médicale a mené plusieurs activités, parmi lesquelles, l’octroi de bourses Cantam à quatre étudiants congolais; la participation des étudiants à l’atelier de virologie moléculaire tenu à Yaoundé, au Cameroun; l’organisation de la première réunion régionale sur le développement de la recherche clinique pour la tuberculose.
Pascal BIOZI KIMINOU
Lu sur http://www.lasemaineafricaine.com
Arc en rêve, centre d’architecture à Bordeaux, porte bien son nom avec l’exposition “Bridging the gap“ des œuvres réalisées par l’architecte du Burkinabé, Diébédo Francis Kéré. (http://www.kerearchitecture.com )
En conférence le jeudi 13 Décembre 2012 à Bordeaux, il fut longuement applaudi par un public bordelais venu très nombreux.L’homme a le sens du théâtre, n’a pas son pareil pour émouvoir son public et conter l’histoire de son village Gando, aujourd’hui mondialement connue des revues d’architecture.
80% de la population du Burkina Faso est analphabète, explique-il. Né en 1965, fils d’un chef de village, il aura le privilège d’aller à l’école, En fait d’école, des cabanons avec des toits en tôle ondulée ou il fait très chaud l’été, les classes sont surpeuplées, il explique y avoir trouvé sa vocation de construire une école digne de ce nom pour son village. La bas règne l’autosuffisance, on copie inlassablement ce qui a déjà été fait, même si la saison des pluies ruine en quelques heures un travail mille fois répétés. Sans argent pas question d’entretenir, ni le temps d’imaginer autre chose. Les rêves s’arrêtent alors à vouloir imiter ce que fait l’occident.
Il fait des études de charpentier, puis est recruté par une ONG allemande BMZ, ce qui lui permet d’obtenir une bourse pour poursuivre des études secondaires en Allemagne, puis s’inscrire en architecture. Il y apprend les principes d’éco-construction, et fonde une association pour récolter des fonds. Rentré au Burkina Faso, il doit d’abord gagner la confiance de son propre village, bousculer les certitudes. Sans argent mais pas sans bonne volonté, une fois qu’un projet est accepté par le chef du village, tous le village vient y participer.
Ici pratiquement pas d’argent pour acheter des matériaux, pas de moyen de transport, tous les matériaux doivent provenir de moins de 600 mètres du lieu de construction. Alors cela sera la terre, matériau jugé archaïque, localement, au profit de ce qui se fait en Europe et particulièrement en France. L’homme est un conteur et saura encore convaincre son village, mais pas n’importe quelle terre, la saison des pluies ravine le sol laissant découvrir la latérite, terre stérile mais facilement modulable doté d’une machine manuelle à fabriquer des briques de terre, l’ouvrage peut commencer avec ce matériau ici inépuisable et gratuit, mais fastidieux à préparer.
Un large toit protège les murs de terre, et surtout, surélevé des murs, par une fine ossature en fer à béton soudé, permet la circulation de l’air et ainsi ventile naturellement les volumes intérieurs. La première école prend forme, et tient parfaitement debout, mais à cela s’ajoute une justesse formelle, particulièrement émouvante ici, avec si peu de moyens.
« Il n’y a pas d’innovation si vous faites ce que l’on vous dit de faire. », D. Francis Kéré
Une fois finie cette première école, s’ensuit des logements pour les enseignants, puis une extension, puis les commandes s’enchaînent. Diébédo Francis Kéré ne reste cependant pas dans son village mais installe son agence à Berlin, et se retrouve aujourd’hui entouré de neuf personnes.
Remarqué, il va enchainer les reconnaissances internationales dont ; l’aga Khan Award for architecture en 2004, le Global Award for sustainable architecture en 2009, le Global Holcim Award 2012 Gold, et d’autres. Il enseigne à Harvard et passe son temps dans les avions comme une star de l’architecture mais sans en avoir les moyens.
Les besoins sont immenses, Il n’est qu’une goutte d’eau dans un océan d’urgences insatisfaites, d’où le titre de l’exposition “ Bridging the Gap “, jeter un pont. Il a ouvert le champ des possibles, mais son rêve maintenant c’est que la transmission de ce savoir-faire qu’il a inventé, aille aux futurs architectes du Burkina Faso. Mais ici, pas d’écoles d’architecture, c’est un mirage encore inaccessible. La tâche qu’il a réalisé est immense, mais celle qui reste à faire l’est encore plus. Emouvant !
Source : archicool.com – Photos © archicool & F.kéré
Lu sur http://afrikarchi.com
Le Mali et la Mauritanie ont adopté cette semaine l’interdiction de produire et d’utiliser des sacs plastique, considérés comme nocifs pour l’environnement. Une mesure déjà prise par différents pays.
Pour 2013, la Mauritanie et le Mali ont pris une résolution. Depuis le 1er janvier, la production, la commercialisation et l’usage de sachets plastique sont désormais interdits.
Lire l’article sur http://www.france24.com/fr/20130104-sac-plastique-afrique-mauritanie-mali-environnement/
Malgré les circonstances actuelles, nous croyons de toutes nos forces qu’en 2013 une nouvelle ère s’ouvre pour l’humanité…
L’ère de l’Éveil des consciences, de la Fraternité des peuples, de la Paix,
du retour en force de l’Énergie féminine, de la Compassion et de l’Amour sur la Terre
Que 2013 apporte un profond changement dans le système qui régit le monde et dans nos vies !
Cette nouvelle ère est aussi celle de l’Afrique qui prend son essor, enfin libérée de ses pilleurs et de ses pires dirigeants.
Célébrons l’ère de la Jeunesse Africaine pleine de créativité, de projets et d’audace.
A tous nos Visiteurs, Lecteurs de la Revue des Bonnes Nouvelles d’Afrique ou Amateurs de littérature, Diasporas Noires souhaite une magnifique NOUVELLE ÈRE !!!
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l’Africain-américain inventeur Henry Sampson est brillant et chevronné. Physicien nucléaire il a Co-inventé le « gamma-électric cells » (Cellules gamma électriques), le 6 Juillet 1971, qui a reçu le brevet n ° 3.591.860 ce procédé émet un stable courant électrique à haute tension capable de détecter les radiations dans le sol.
Henry Sampson est né à Jackson, Mississippi. Il a obtenu une licence ès sciences de l’Université de Purdue en 1956. Et une maîtrise en ingénierie de l’Université de Californie, Los Angeles en 1961. Sampson est aussi titulaire d’une maîtrise en génie nucléaire obtenu à l’Université de l’Illinois à Urbana-Champaign, en 1965, ainsi que d’un doctorat obtenu en 1967 dans la même école. Henry T. Sampson a travaillé comme ingénieur chimiste de recherche au Centre des États-Unis d’armes navales, China Lake, en Californie. Il a aussi dirigé la mission du Développement et des Opérations du programme de test spatiale à l’Aerospace Corporation à El Segundo, en Californie.
Le Résumé du brevet d’invention américain # 3.591.860 pour « les cellules Gamma-électrique » a été publié par Henry Sampson et George H. Miley. Dans le document original les inventeurs apportent des éclairages pour décrire leur invention et expliquer comment ça marche.
Il est noté que: « La présente invention concerne un téléphone cellulaire gamma électrique pour produire une tension de sortie élevée à partir d’une source de production dans laquelle, les cellules gamma électrique disposent d’un collecteur central constitué d’un bout de métal dense dont le collecteur central est encapsulé dans une couche extérieure de matériau électrique. Une couche conductrice supplémentaire est ensuite disposé sur ou dans le matériau diélectrique de façon à fournir une sortie à haute tension, entre la couche conductrice et le collecteur central lors de la réception du rayonnement gamma par pile électrique. L’invention comprend également l’utilisation d’une pluralité de collecteurs de rayonnement du collecteur central à travers le matériau diélectrique de manière à augmenter l’aire de collecte, et augmenter ainsi la tension du courant et ou de sortie. Les autres aspects de l’invention sont dirigés vers le procédé de production de haute tension de sortie des cellules gamma-électriques par l’encapsulation, en utilisant un matériau diélectrique, qui peut être coulé ou coupé de manière à pouvoir fournir un contact intime entre les collecteurs et le matériau diélectrique qui entoure et encapsule les collecteurs. Les autres aspects de la méthode d’encapsulation de la présente invention comprennent l’utilisation d’un matériau diélectrique spécifique et également l’élimination des gaz piégés dans le matériau diélectrique. »
Henry Sampson a également reçu des brevets pour un « système de liaison pour les propulseurs et les explosifs » et celui du « système de liaison en fonte pour propergols composites. « Les deux inventions sont liées à des moteurs à propergol solide.
Il est intéressant de noter qu’Henry Sampson est aussi un écrivain et historien du cinéma qui a écrit un livre intitulé, « Blacks in Black and White: A Source Book on Black Films. »(Les Noirs en noir et blanc: un livre de référence sur les films noirs).
Membre du conseil d’administration du Los Angeles Southwest College Foundation, et consultant technique pour les collèges noirs historiques et des programmes d’Universités.
Il a reçu de nombreux prix et honneurs tels que:
* Fellow de la Marine américaine, 1962-1964
* Commission de l’énergie atomique, 1964-1967
* Black image awards de l’Aerospace Corp, 1982
* Le prix pour les Noirs en ingénierie, en sciences appliquées de l’éducation, à Los Angeles par le Conseil des ingénieurs professionnels noirs, 1983.
Cette technologie très usuelle dans notre vie quotidienne est très importante car elle vous
permet de rester en contact même lorsque vous êtes sur la route. Vous pouvez consulter votre courrier électronique, surfer sur le net, prendre des photos, écouter de la musique, jouer à des jeux, stocker des données, être au courant des dernières nouvelles et beaucoup plus. Aussi en cas d’urgence, avoir un téléphone cellulaire peut permettre de vous joindre rapidement et pourrait éventuellement sauver des vies. Il est très commode à utiliser, facile à manipuler. En outre, en outre il peut vous permettre de faire des transactions avec votre banque et très utiles si vous voulez acheter quelque chose sur l’internet. Les utilisateurs de téléphones cellulaires peuvent envoyer instantanément des données à la maison ou au bureau en utilisant leur téléphone cellulaire comme PDA ou calendrier, et stocker des photos qui peuvent être facilement transférées vers un PC ou ordinateur portable. Les téléphones cellulaires d’aujourd’hui sont comme des ordinateurs portables dans la paume de votre main. Certains esprits intelligents ont trouvé le moyen de l’utiliser comme une télécommande pour voiture c’est le cas de Peterson Mwangi un inventeur du Kenya qui a conçu un dispositif qui peut allumer et éteindre un moteur de voiture à partir d’une commande SMS via son téléphone portable. Le dispositif offre un autre avantage car il peut déplacer la voiture d’avant et en arrière. Une caractéristique importante de ce dispositif est que la couverture réseau n’est pas une condition préalable pour que la voiture soit contrôlée à distance par le téléphone mobile.
Lu sur http://www.flashmagonline.net
Au Sénégal, le samedi 22 décembre, le Forum civil et le Mouvement du 23-Juin organisaient une campagne contre l’impunité, la corruption et pour le rapatriement des biens mal acquis. L’idée, à travers ces actions populaires, était de rendre accessible l’information aux Sénégalais.
C’est un podium installé sur la place de l’Obélisque à Dakar. De jeunes rappeurs scandent toute une série de slogans contre la corruption. Leur mot d’ordre : il faut lutter contre les biens mal acquis. Et ces mots semblent toucher le public.
Donatien s’est déplacé de Zinguinchor en Casamance pour suivre cet événement : « Le problème de la corruption m’intéresse énormément parce que je suis confronté à des gens qui souffrent, des gens qui ne mangent ni le matin ni le soir et je sais que l’argent de la corruption ou l’argent détourné peut servir à relever beaucoup de défis, à aider ces gens-là à améliorer leurs conditions de vie. »
Lire l’article sur http://www.rfi.fr/afrique/20121223-senegal-associations-sensibilisent-population-corruption-generalisee-biens-mal-acquis/