Ancien joueur de LNB, Zeb Cop est devenu chirurgien

On ne le dira jamais assez comment il est important pour tout sportif professionnel de bien préparer sa reconversion.

Si de nombreux joueurs restent dans le domaine du sport à l’issue de leur carrière, d’autres suivent des chemins bien différents. C’est le cas de Zeb Cope (2,05 m, 33 ans). Vu sous les tuniques d’Orléans et Dijon en Pro A ainsi que Nanterre en Pro B entre 2006 et 2010, le pivot anglo-américain valait 8,4 d’évaluation de moyenne en 93 matchs dans l’élite française ainsi que 9,6 d’évaluation en 33 matchs dans l’antichambre de la Pro A.

C’est d’ailleurs à la fin de son contrat dans les Hauts-de-Seine que le natif de Fort Hood (Texas) a raccroché définitivement les baskets à l’âge de 28 ans.

 

Lire l’article sur http://www.bebasket.fr/championnat-a-l-etranger/ancien-joueur-de-lnb–zeb-cope-est-devenu-chirurgien.html

Il s’appelle Kushiator Newlove Kwaku dit Providence. Il est le directeur général du Bureau de recherche et de transfert de technologie (BRTT) créé en 2009 et installé au quartier Tanghin de Ouagadougou. Kushiator travaille seul mais fait recours très souvent à d’autres personnes notamment des soudeurs. Au cours d’un entretien accordé à Burkina24, Providence donne des détails sur son ambition d’exploiter toutes les ressources naturelles aussi minimes soient-elles.

Kushiator Newlove Kwaku est né au Ghana. Il dit arriver au Burkina vers 1992 et travaille sur les énergies renouvelables depuis 2004.

 

Lire l’article sur https://burkina24.com/2015/03/18/invention-tech-zoom-sur-un-createur-de-feux-tricolores-solaires-a-ouaga/

Deux « gamers» ont testé pour Jeune Afrique « Aurion : l’héritage des Kori-Odan », le nouveau jeu vidéo 100% camerounais lancé officiellement il y a une semaine.

Le jeu vidéo du studio camerounais Kiro’o Games « Aurion : L’Héritage des Kori-Odan » est sorti le 14 avril sur la plate-forme américaine Steam. C’est le premier jeu de rôle accessible sur PC développé sur le continent africain. Également inspiré de la mythologie africaine, The True Ananse, lancé en 2012 par le studio ghanéen Leti Arts n’était accessible que sur mobile.

 

Lire l’article sur http://www.jeuneafrique.com/319324/culture/jeu-video-ont-teste-aurion-lheritage-kori-odan-quen-ont-pense/

 

Pluton Magazine est allé à la rencontre de l’une d’entre elle : Mame Hulo, consultante internationale, activiste panafricaine, directrice des Editions Diasporas Noires et de la revue Bonnes Nouvelles d’Afrique et aussi auteure, elle croit en l’Afrique et personne ne pourra la faire changer de position.

12193646_422714154586486_1253509034728009166_n-1En Afrique,  la femme veut sortir des sentiers battus, s’émanciper à sa façon en bousculant les traditions, mais aussi les avis individuels et personnels fondés sur l’influence de ses détracteur. Vivre sa foi et assumer sa tenue vestimentaire. Elle a son mot à dire sans chercher aucune rivalité avec l’homme. Elle veut simplement montrer qu’elle est capable de bonnes choses dans le sens du bon progrès. Chanter, jouer d’un instrument de musique, les femmes savent le faire aussi bien que tenir la maison ou une échoppe et bien heureusement, quelques hommes ouverts d’esprits encouragent leur entreprenariat. On a tout à apprendre de ce vaste continent et de sa diversité culturelle qui marque ce XXI° siècle d’une empreinte différente car le talent y bourgeonne depuis la radicule.

PM : Que pensez-vous de la position de la femme africaine aujourd’hui et pourquoi doit-elle faire bouger les rangs ?

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Les femmes sont aujourd’hui reléguées aux seconds rôles partout sur la planète, quasiment, et particulièrement en Afrique… Mais c’est un second rôle de façade car si on gratte un peu, on se rend compte que beaucoup de choses concernant la bonne marche de notre société reposent sur elles, non seulement dans le domaine familial, éducatif et social, mais aussi dans le domaine professionnel ou politique, par exemple, les assistantes sont les piliers des entreprises, rien n’y marche sans elles, mais ca, personne n’en parle !

Il faudrait  vraiment que notre société phallocratique reconnaisse leur immense apport (et pas que le 8 mars), et leur permette d’exprimer plus leur créativité qui est aujourd’hui brimée par de multiples carcans !

C’est dommage, car ce sont les sociétés et les nations qui sont perdantes, et Thomas Sankara le disait déjà dans son célèbre discours sur les femmes !

Les femmes doivent s’investir et être investies en masse dans toutes les instances décisionnelles en Afrique car elles ont un regard unique, pragmatique, empathique, et elles sont plus enclines à se sacrifier pour l’intérêt général, elles ont ça dans leur ADN en tant que mères de leurs enfants et mères de l’humanité.

Pour provoquer, je dis souvent que si la volonté et le travail étaient payés à leur juste valeur, les femmes africaines seraient toutes milliardaires et les hommes smicards (rires)…

Les femmes étaient puissantes, reines, ministres, conseillères, prêtresses, militaires (les fameuses Amazones) dans la société antique africaine, pourquoi plus maintenant ?

PM : Vous avez aussi un grand cœur pour les enfants, quel rôle jouez-vous au sein de la lutte contre la mendicité ?

En fait, je ne suis pas de ceux qui leur viennent en aide au quotidien pour les nourrir et les vêtir, notamment au sein d’une association !

Mon Collectif Doyna Stop à la mendicité des enfants et moi, nous nous battons surtout au niveau politique pour arrêter cette barbarie, car laisser mendier des enfants très jeunes, déguenillés, couverts de plaies et de maladies, sales, affamés, à la merci de toutes les prédations, notamment des pervers, souvent enrôlés par les bandits dans les rues, c’est une ignominie, un scandale !

Cette exploitation de leur vulnérabilité par des adultes sous des prétextes soi-disant religieux est une indignité, j’ai honte et j’ai mal !

Quand je les croise, ces enfants-là, j’essaie de leur donner de l’amour, de l’affection, c’est aussi de ca qu’ils manquent le plus, ils sont si petits parfois !

Ces enfants sont pourtant notre avenir… Nous hypothéquons notre avenir !

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PM : Quelles sont vos relations à l’Afrique ?

Certains me surnomment Mama Africa (rires).

En fait, l’Afrique c’est comme une soupe et j’en suis le sel, et impossible d’extraire le sel de la soupe, n’est-ce pas ?  Je préfère l’appeler Kama (son vrai nom) ! Je pense Kama tout le temps, partout, pour tout…

Je suis persuadée que nous avons tous les outils en nous pour nous en sortir, il suffit de chercher à nous connaître mieux, à nous faire confiance !

Je lis beaucoup sur nos valeurs ancestrales dont je découvre chaque jour des pans entiers d’une magnificence extraordinaire… Il nous faut déconstruire tous les mensonges dont ces valeurs ont été l’objet pour mieux nous dominer, et remonter assez loin afin de les retrouver immuables dans leur rectitude inégalée pour les offrir au monde.

PM : Vous êtes engagée sur de nombreux fronts, comment voyez-vous l’Afrique de demain ?

Je suis très préoccupée par son avenir, son devenir, je suis parfois fatiguée, mais la plupart du temps, je suis dans un optimisme presque serein, je sais que nous sommes en train de nous éveiller d’un long sommeil, je participe tous azimuts à cet éveil et nous sommes de plus en plus nombreux à participer à cela…

Je sais que l’Afrique est en train de renaître de ses cendres et que plus rien ne sera plus comme avant ! Malgré les apparences actuelles, l’avenir est lumineux, c’est sous le capot, j’y crois fermement !

PM : Êtes-vous toujours comprise par vos pairs ?

J’avoue que cette question ne me préoccupe pas, j’ai toujours été un peu hermétique à ce qu’on pense de moi, sinon je ne serais pas moi-même en toutes circonstances, peu importent les conséquences… Paradoxalement, je suis quelqu’un de très sociable aussi, avec une bonne éducation de base mais un peu comme une autiste affectueuse et empathique envers les autres et en même temps, libre,  trop libre, défendant ses propres valeurs et son authenticité.

Je réalise aussi parfois que je fais peur aux hommes à cause de cette liberté farouche, incontrôlable, si c’est cela votre question…

PM : Comment vivez-vous cette iniquité face au pillage des biens (minerais, terres rares, pierres précieuses…) sans un retour sur le terrain dans le quotidien du peuple, et avec le reflux des migrants ?

Je le vis très mal, je le dénonce constamment, j’essaie d’éveiller les consciences à ce propos, notamment au niveau de la jeunesse africaine, sur les réseaux sociaux, dans mes conférences, dans mon dernier livre qui s’appelle Prenez le pouvoir – Message aux jeunes  (éd. Diasporas Noires), je leur donne beaucoup d’informations géostratégiques et des conseils pour se défendre face à ces pillages organisés par les occidentaux, et maintenant, la Chine s’y met aussi. L’Afrique est un gâteau appétissant pour le monde entier, sauf pour nous-mêmes ! J’essaie aussi de les éveiller pour ne plus qu’ils aient envie de tenter l’aventure de la migration.

PM : Votre maison d’édition n’est pas un hasard, voulez-vous raconter à nos lecteurs la raison et l’objectif qu’elle poursuit ?

Je suis devenue éditrice suite à un fait qui m’a profondément marquée : Sylvia Serbin, une Martiniquaise auteure du livre  Reines et héroïnes d’Afrique,  a vu son livre massacré et falsifié par une maison d’édition allemande qui l’a traduit en y insérer une vision raciste de l’Afrique. Elle a porté plainte, mais n’a pas obtenu gain de cause. Vous imaginez, son livre circule avec son nom et des idées qui ne sont pas les siennes. Au regard de ces faits, j’ai pensé que les Africains devaient arrêter de se faire éditer par les Occidentaux, car nos intérêts sont divergents. Eux, leurs intérêts, c’est de prolonger leurs propres visions des Africains et de l’Afrique, le misérabilisme, notre soi-disant incapacité à nous en sortir sans eux… Je dis souvent : écrivons nous-mêmes notre histoire et nos histoires, donnons notre propre version des faits sans les dénaturer par le miroir que nous tendent les autres… Nous avons déjà entendu la version de la chasse donnée par les chasseurs, écoutons la version des lions à présent, il est temps !

Donc, l’objectif qu’elle poursuit est illustré par cette histoire qui est son ADN et sa mission est aussi illustrée par ce nom  Diasporas noires, car nous voulons mettre en avant la littérature africaine et afro-descendante, en Afrique et à travers le monde. Et ce n’est pas une question de couleur de peau, mais une affaire de se sentir appartenir à la soupe africaine, d’en être le sel.

PM : Selon vous, quelle est la responsabilité de l’auteur africain de nos jours, car la littérature africaine est toute jeune ?

Je pense que la responsabilité de l’auteur africain de nos jours est en priorité l’éveil de conscience du peuple africain en Afrique et du peuple afro-descendant partout dans le monde, dans tous les domaines, politique, spirituel, éducatif, social,… afin que ce peuple puisse se libérer de toutes ses nombreuses chaînes visibles et invisibles, qu’il retrouve son estime de soi malmenée par des siècles de domination en tout genre et en tout lieu, qu’il redécouvre son héritage vilipendé, sa véritable histoire et qu’il relève la tête…

PM : Quel message voulez-vous délivrer au peuple africain ?

Mon message au peuple africain c’est « LÈVE TOI ET MARCHE ! ».

Extrait de son discours sur l’Unité de l’Afrique, que vous pouvez lire en intégralité ci-dessous.

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Mame Hulo « Africaine du Sénégal », promotrice culturelle, conférencière, éditrice, écrivain et activiste du panafricanisme. Elle est née au Sénégal et a vécu en France où elle a occupé des postes de responsabilité au sein de grandes entreprises, comme consultante. Après des dizaines d’années passées à Paris, à l’Île de la Réunion et à Montréal, elle rentre au bercail et abandonne sa carrière de consultante afin de s’engager pour l’Afrique. Elle crée la maison d’édition numérique Diasporas Noires, 100 % africaine et militante ainsi que la Revue des bonnes nouvelles d’Afrique. Elle est l’initiatrice des conférences mensuelles « Les Rendez-vous de l’Afrique Consciente ». Infatigable, elle fonde également en 2014 le Collectif DOYNA STOP à la mendicité des enfants.

 

Discours de Mame Hulo sur « L’Unité de l’Afrique»

Pluton Magazine remercie Mame Hulo et toutes les femmes comme elle, qui sont prêtes à enfanter un monde nouveau pour un meilleur demain. Ses quatre derniers mots pour clore  cette interview dénotent sa foi et sa conviction profonde dans le combat qu’elle mène. « Je plaide, dit-elle, pour que les femmes soient reconnues dans toutes leurs dimensions, car elles sont des actrices incroyablement dynamiques, énergiques, volontaires, bienveillantes, pragmatiques, efficaces pour nos sociétés, pour nos nations… Elles ont le droit à tous les égards, car sans elles, pas de développement ! »

Propos recueillis par Georges Cocks

Secrétariat rédaction: Colette Fournier

Pluton-Magazine/2017

Notes:

Autres pages suggérées

Édition – Librairie numérique équitable : découvrez de nouveaux auteurs

http://www.diasporas-noires.com/

Lisez la Revue des bonnes nouvelles d’Afrique

http://diasporas-noires.com/bonnes-nouvelle-dafrique

Ne ratez pas les Rendez-vous de l’Afrique Consciente

au Monument de la Renaissance le 3éme samedi de chaque mois, à 15H30

Demandez votre carte d’identité africaine et du citoyen panafricain

http://www.carte-identite-africaine.org/

Signez la pétition pour une Afrique Fédérale et les Etats Africains Unis

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SOURCE DE L’ARTICLE https://pluton-magazine.com

 

L’Afrique n’est pas que guerres et désolation, quoi qu’en montrent les médias occidentaux. L’Afrique vit, l’Afrique rêve, l’Afrique invente. Et des inventeurs géniaux sur le continent, il y en a en pagaille.

le site AFRIK.com  a exhumé pour vous de leurs archives des remarquables exemples de l’intelligence africaine.

L’Afrique apporte une innovation à la chimie analytique

Une invention qui pourrait bouleverser le monde de la téléphonie

Les Américains traquent les génies algériens sur le web

Ces inventeurs venus d’Afrique

Un Nigérian conçoit aux Etats-Unis une voiture révolutionnaire

RapeX, premier préservatif anti-viol

Enfin des pansements pour les peaux mates, noires et métissées !

Cameroun : de la farine de manioc pour faire des biscuits et du pain

Une couveuse en or

Khafel : innovation couscous

Lire la suite de l’article et les autres articles de cette liste http://www.afrik.com/inventeurs-d-afrique#.U_g0aVwfLCp.facebook

Un micro barrage hydroélectrique pour alimenter l’exploitation familiale et l’éclairage public

Macenta- Un jeune de 26 ans vient de réaliser un micro barrage hydroélectrique de 3KVa dans la sous-préfecture de Orémaï, rapporte le correspondant de l’AGP dans la préfecture de Macenta en Guinée Forestière.

Ce micro barrage hydroélectrique, situé à Néridou à 12Km de la ville de Macenta et à 10m de la Route nationale, Macenta-N’zérékoré, est l’œuvre de Jean Akoï Dopavogui, étudiant de la 2ème année du Département du Génie Mécanique de l’Université de Gamal Abdel Nasser de Conakry (UGANC).

Lire l’article sur http://guinee7.com/2016/10/09/un-jeune-etudiant-construit-un-micro-barrage-hydroelectrique-pour-alimenter-lexploitation-familiale-et-leclairage-public/

 

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Mandaté par le gouvernement Rwandais en 2014, Clément Uwajeneza, PDG de la société Rwanda Online, a créé Irembo, une plateforme qui a permis de digitaliser la totalité des services publics de l’Etat. Elle permet de réaliser en ligne les opérations courantes pour lesquelles les citoyens rwandais devaient se rendre sur les sites physiques de l’administration.
Dans des propos recueillis par Le monde, Clément Uwajeneza donne quelques éclaircissements sur Irembo. « Dans la langue kinyarwanda, Irembo signifie porte ou portail. Nous avons rendu possible un accès direct et permanent entre les citoyens rwandais et toutes les administrations locales et nationales. Les Rwandais peuvent, par exemple, renouveler leur passeport, demander une nouvelle carte d’identité, obtenir une copie de leur casier judiciaire, d’un certificat de mariage… », le tout en ligne, via un ordinateur ou tout autre terminal mobile. Irembo permet également de réaliser des opérations telles que les transferts de titres de propriété, le tout depuis un téléphone mobile.

Lire l’article sur https://ecceafrica.com/irembo-rwanda-administration-2-0/#.WDdwc9LJx6o

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(Agence Ecofin) – Le Fonds monétaire international (FMI) a annoncé le 20 octobre que le Zimbabwe, qui était en arriérés de paiement à son égard depuis 2001, a remboursé toutes ses dettes, ce qui pourrait permettre à ce pays d’Afrique australe de redevenir éligible pour un nouveau programme d’aide financière.

« Le Zimbabwe est maintenant à jour sur toutes ses obligations financières envers le FMI », a déclaré le porte-parole de l’institution, Gerry Rice (photo), dans un communiqué.

Le FMI a également précisé dans son communiqué que le Zimbabwe a soldé le 20 octobre ses dettes restantes, qui se chiffraient à 107,9 millions de dollars.

Lire l’article sur http://www.agenceecofin.com/gestion-publique/2110-41878-le-zimbabwe-a-regle-toutes-ses-dettes-envers-le-fmi

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Après le Burundi, l’Afrique du Sud et la Gambie, le Kenya vient de s’engager dans la procédure de retrait de la Cpi, à la suite de la Namibie qui avait manifesté la même intention dès mars 2016. D’autres retraits de pays africains sont attendus, surtout depuis la notification de sa décision à l’ONU, par l’Afrique du sud, dont l’influence diplomatique en Afrique est certaine et l’appel de la présidence soudanaise aux «leaders africains et les peuples d’Afrique qui sont encore membres à se retirer collectivement de la CPI». Comment le Congo (Brazzaville) pourrait-il s’y maintenir, après l’adoption par referendum, en octobre 2015, de sa nouvelle constitution qui dispose qu’“aucun citoyen congolais ne peut être ni extradé, ni livré à une puissance ou organisation étrangère”?

La question que bien d’observateurs n’osent pas poser publiquement est de savoir combien d’Etats africains pourraient s’engager dans cette procédure. La cascade de retraits pourrait-elle concerner les 34 Etats africains membres de la juridiction criminelle internationale qui compte, à ce jour, 124 Etats parties ?

Lire l’article sur  http://www.connectionivoirienne.net/121795/afrique-cpi-une-page-se-tourne

C’est à Abidjan dans la commune de Yopougon, non loin du lycée Offoumou Yapo, au quartier Toit rouge, que nous avons rencontré Maman Clotilde. A l’état civil, c’est Mambo Clotilde, naturothérapeute et servante de Dieu. Cette mère de 3 enfants est également, la présidente d’une ONG appelée« bon secours international ». Maman Mambo Clotilde, affirme en effet, avoir le remède du cancer du col de l’utérus. Elle soigne la maladie avec des écorces naturelles, et ce, en quatre mois maximum.

« Bon secours », un nom évocateur qui traduit les aptitudes salvatrices de Maman Clotilde qui a le remède idéal  contre le cancer du col de l’utérus. Une pathologie  hydre qui touche et affecte 7 femmes sur 10. Le cancer du col de l’utérus disons-le tout net est à la base du mal qui ronge plusieurs foyers. Mais tout ne semble pas perdu car Maman Clotilde arrive avec la grâce de Dieu à donner de l’espoir. Oui, en effet, cette servante de Dieu et naturothérapeute, guéri le cancer du col de l’utérus. Avec elle, ce cancer a une durée de vie de quatre mois maximum.

Lire l’article sur http://www.imatin.net/article/actualites/cote-d-rsquo-ivoire-une-naturotherapeute-qui-guerit-le-cancer-du-col-de-l-rsquo-uterus-en-peu-de-temps-decouvrez-la_42169_1471448447.html