[Vidéo] Femmes tisserandes de sacs plastiques recyclés au Burkina Faso | Magali An Berthon
Femmes tisserandes de sacs plastiques au Burkina Faso from Magali An Berthon on Vimeo.
[Vidéo] Femmes tisserandes de sacs plastiques recyclés au Burkina Faso | Magali An Berthon
Femmes tisserandes de sacs plastiques au Burkina Faso from Magali An Berthon on Vimeo.
Si on devait citer quelques noms, tous secteurs confondus, des jeunes qui participeront au rayonnement de la Mauritanie de demain, assurément Aïssata Lam en ferait partie. Portrait d’une ambitieuse pour son pays et pour le continent-mère, dans le bon sens du terme.
C’est une frimousse altière, pleine et entière qui accueille la cinquantaine de jeunes mauritaniens, dynamiques, cadres ou chefs d’entreprise dans un hôtel de Nouakchott, dans le cadre d’une présentation de la jeune chambre de commerce de Mauritanie (JCCM), dont elle est l’une des initiatrices.L’échange dure un peu plus d’une heure pour convaincre de l’opportunité d’une telle structure. Et le public est sous le charme de la détermination et du dynamisme de la jeune femme.
« La JCCM est pour moi un véhicule de transmission de messages, et une bonne vitrine pour augmenter la visibilité internationale de la Mauritanie; une bonne fondation pour toute idée que l’on aurait et qui viserait à améliorer l’implication et l’épanouissement des jeunes mauritaniens. Ce réseau peut être le réseau relationnel par excellence pour tout jeune, qu’il soit à Boghé, Nouakchott, Paris ou Shanghai » s’enthousiasme Aissata Lam.
L’idée a germé dans la tête de la jeune originaire de Boghé durant ses années universitaires à Montréal. « Je faisais partie de l’équipe des compétitions internationales. Avec trois autres étudiants de HEC nous représentions notre école dans des débats oratoires et études de cas contre d’autres universités: au Canada, aux Etats-Unis, en Espagne, à Hong Kong entre autres ». Au final, elle est récipiendaire du 1er Prix à la Compétition sur l’innovation et l’entrepreneuriat à l’école Polytechnique de Hong-Kong en 2010.
La dernière d’une série de consécrations : 1er prix « Procter&Gamble » pour la conception d’une stratégie Marketing pour Lacoste en France en 2007; finaliste aux jeux du Commerce au Canada en 2008; Demi-finaliste au « John Molson Undergraduate Case Competition », en 2009; chef de fil de HEC pour la compétition de cas de l’Université de Navarre en Espagne en 2009. »Au-delà de ce parcours, en en voyant le tunnel, je me suis dit que nous devions avoir quelque chose de ces genres en Mauritanie. Avec cette idée en tête, il me fallait un concept original au travers duquel je pourrais organiser ce type d’activités mais aussi d’autres du même genre, ayant pour public-cible les jeunes (professionnels et étudiants). J’ai été introduite à la jeune chambre de commerce de Montreal, lors d’une activité de réseautage avec des collègues; et là je me suis dit Bingo! C’est ce que je veux » explique la jeune femme.
Lire l’article sur http://www.noorinfo.com/Parcours-Un-tramway-d-espoir-nomme-Aissata-Lam_a3212.html
Une application mobile pour envoyer des messages, tchatter, ou passer des appels via une connexion internet on en connait un lot : Viber,Hangout, WhatsApp(si on ne compte pas les appels) etc… Alors, on se demande pourquoi se fatiguer à en prendre, à en télécharger une autre.
Eh bien parce que celle-ci, Ginger Messenger, est une application locale. Il faut bien faire la promotion du peu de contenu local qu’on a.
Ginger Messenger présente les fonctionnalités basiques des applications citées plus haut : appels par VoIP, envoi de messages avec la possibilité de créer des groupes de discussion. La différence est que Ginger “la seule application de chat qui met en valeur nos expressions locales” nous dit-on. En effet, il s’agit de la première application à proposer des emoticônes africains et des stickers avec des expressions locales. On a par exemple:
– un jeune qui vous dit “yafooy”
– un mouton qui bêle “begguee”
– un vieux qui fait du “waaxoone waxeet” et qui me rappelle bizarrement quelqu’un …
L’autre fonctionnalité innovante est la VIP Zone qui vous permet d’échanger avec nos stars locales.
Lire l’article sur http://www.sengeek.com/ginger-messenger-une-application-de-messagerie-a-la-sauce-africaine/
Avec sa célèbre poupée Barbie, la société Mattel a conquis la quasi-totalité de la planète, excepté l’Afrique, où elle ne propose qu’une offre très limitée. Au Nigeria, Taofick Okoya occupe avec intelligence (et succès) ce vide en commercialisant ses « Queens of Africa », poupées noires plus en accord avec l’identité et la culture des petites filles du continent. Interview.
Indétrônable figurine blonde et svelte, la poupée Barbie de la société Mattel accompagne depuis plus de cinquante ans les petites filles de tous les continents. Chaque minute, 152 Barbie sont vendues dans le monde. Un succès, excepté en Afrique, où l’offre du leader mondial des jouets est très limitée. Profitant de ce vide, en 2007, le Nigérian Taofick Okoya a lancé sa propre marque de « baby dolls », « Queens of Africa », les reines de l’Afrique. Son objectif ? Permettre aux petites filles de son pays de mieux accepter leur culture africaine.
Jeune Afrique : pourquoi avez-vous décidé de créer votre propre marque de poupées, « Queens of Africa » ?
Nigérian Taofick Okoya : Je souhaitais faire un cadeau à ma nièce et lui offrir une poupée noire mais je n’en ai trouvé aucune dans les magasins. Il n’y avait que des poupées blanches très onéreuses. C’est l’une des raisons pour lesquelles j’ai voulu créer « Queens of Africa ».
D’autre part, j’avais souvent été interpelé par les questions de ma fille sur sa couleur de peau. Un jour, elle m’a demandé si elle était blanche et m’a confié que ses personnages préférés, notamment à la télévision, étaient de couleur blanche et qu’elles étaient plus jolies. Je voulais prouver aux petites filles que les poupées noires sont belles, qu’elles leur ressemblent, portent les mêmes habits et qu’elles peuvent s’identifier à ces figurines. J’avais vraiment envie d’aider les enfants à développer et apprécier leur culture africaine.
Je voulais prouver aux petites filles que les poupées noires sont belles, qu’elles leur ressemblent.
Lire l’article sur Jeuneafrique.com : Nigeria | Nigeria : les poupées « Queens of Africa » font de l’ombre à Barbie | Jeuneafrique.com – le premier site d’information et d’actualité sur l’Afrique
Follow us: @jeune_afrique on Twitter | jeuneafrique1 on Facebook
11 systèmes d’écriture africains antiques qui démolissent le mythe que les noirs étaient illettrés (Traduction Google)
Écriture égyptienne
Peut-être le plus célèbre système d’écriture du continent africain est l’ancienne (Khémite) les hiéroglyphes égyptiens.
Ce que beaucoup de gens ne savent pas, c’est que les Egyptiens ont inventé trois scripts: hiéroglyphes, hiératique et démotique. Ces scripts ont été utilisés par les Egyptiens depuis des milliers d’années.
Hiéroglyphique (4000 BC – 600 AD)
Les anciens Egyptiens appelaient leur écriture hiéroglyphique « NTR mdwt » ou « neter de medu » (les mots de Dieu). Le mot «hiéroglyphe» vient du grec «hieros » (sacré) et « Glypho » (inscriptions) et a été utilisé la première fois par Clément d’Alexandrie (c. 200 AD) L’écriture hiéroglyphique se limitait principalement aux inscriptions formelles sur les murs des temples et des tombes.
Hiératique (3200 BC – 600 AD)
Écriture hiératique égyptienne antique était une forme simplifiée des hiéroglyphes, utilisé pour les affaires et les documents administratifs et scientifiques au jour le jour tout au long de l’histoire dynastique de deux Kemet et Kush (3200 BC – 600 AD). Certains linguistes ont également montré des similitudes entre hiératique et l’écriture proto-saharienne alphabétique.
Lire l’article sur http://atlantablackstar.com/2014/08/08/11-ancient-african-writing-systems-demolish-myth-black-people-illiterate/3/
Cet appel vient du fond des entrailles
Du fond des âges, de l’éternité
Du fond des temps tourmentés
Du fond de siècles meurtris, ensanglantés
Et de toutes ces années de souveraineté violée…
L’Afrique VOUS appelle, oui VOUS, VOUS et VOUS encore…
NOUS TOUS
Venez dit-elle
VOUS mes enfants, venez me délivrer
Ne me laissez plus maltraiter, piller, plier
Ne me laissez plus violer, violenter
Ne me laissez plus broyer, soudoyer
A moi, a moi mes enfants chéris
Ceux qui sont tout prés de moi
Ceux qui sont loin mais prés de mon âme
Ceux qui sont perdus dans les froides méandres ennemies
Ceux qui sont justes, ceux qui sont traîtres, ceux qui sont vils
Ceux qui sont fatigués, hagards, exsangues et ne veulent que dormir…
Réveillez-vous, Réveillez-vous
Reprenez-vous
DEBOUT mes enfants DEBOUT !
Venez à la source de mon Humanité
Venez vous ressourcer dans mes racines profondes
Venez vous régénérer dans ma spiritualité ancestrale
Venez vous asseoir au coin de mon feu sacré
Venez à l’ombre de ma généreuse nature
Je suis la Terre nourricière et je suis l’abondance
Mes seins sont toujours jeunes et mon lait succulent
Mes cascades jaillissent rafraîchissantes et enivrantes
Mes pierres précieuses brillent au fond de toutes mes cavités
Tout cela sera enfin à vous car j’en ai gardé pour vous
Ma richesse est sans limites malgré tous les pillages
Ma richesse est votre grande force malgré les esclavages
Ma richesse est votre sourire malgré toutes les épreuves
Ma richesse est votre belle âme malgré les perditions
Vous êtes des ÊTRES IMMENSES
Revêtez enfin votre magnificence
Reprenez votre puissance
Je VOUS attends, je NOUS espère…
DEBOUT mes enfants DEBOUT !!!
Texte de Mame Hulo Directrice de Diasporas Noires Éditions
Chers Visiteurs,
Pour cette année 2015
Que je vous souhaite excellente et libre de toutes chaines
AMORCEZ LA RENAISSANCE AFRICAINE, CHACUN, TOUS, ENSEMBLE, UBUNTU, UNIS, ENFIN !!!
Mes voeux les plus sincères à notre Afrique, qui doit faire face avec courage à tant de combats, de défis, de travail, de sacrifices, d’efforts de compréhension des mécanismes de prédation dont elle fait l’objet sans arrêt depuis si longtemps,…
2015 L’ANNÉE DE L’EVEIL DES CONSCIENCES EN AFRIQUE
Santé – Le foyer d’épidémie du virus Ebola a été éteint au Mali qui ne connaît actuellement aucun malade atteint par le virus Ebola et tous les contacts sous surveillance médicale sont sortis de la période d’observation. En d’autres termes, l’épidémie de fièvre hémorragique à virus Ebola est sous contrôle, mais la vigilance reste de mise pour éviter la ré contamination du pays.
C’est la principale information livrée mercredi par le ministre malien de la Santé et de l’Hygiène publique, Ousmane Koné, lors d’un point de presse en présence du coordinateur du Centre opérationnel d’Urgence (Cou) et conseiller spécial du chef de l’Etat malien, Pr Samba Sow et le représentant-résident de l’Organisation mondiale de la Santé (Oms) au Mali et représentant spécial du Secrétaire général des Nations unies dans la lutte contre Ebola au Mali, Dr Ibrahima Socé Fall.
Lire l’Article sur http://www.afriquejet.com/afrique-ouest/14541-ebola-au-mali-le-foyer-d-epidemie-du-virus-eteint-au-mali.html
Marthe Montcho est une jeune béninoise, diplômée, elle a à son actif une Maitrise professionnelle en socio-anthropologie. Titulaire d’un Master en Sciences Animales/Élevage des animaux, elle est actuellement en formation à l’École doctorale de la Faculté des Sciences Agronomiques de l’Université d’Abomey-Calavi au Bénin.
Sa particularité à la différence de ce qu’on peut voir chez beaucoup des jeunes de son âge, elle est plutôt passionnée de l’agriculture, de l’élevage. Optimiste, elle dit « voir le verre à moitié plein et non à moitié vide ». C’est précisément cet optimisme qui la maintient dans la ferme conviction qu’il est toujours possible en Afrique d’atteindre le développement agricole, d’éliminer la faim.
Je la connaissais déjà personnellement en 2013 à grâce à son blog célèbre l’agriculture au féminin. Nous participions alors tous au concours YoBloCo, le prix du meilleur blog en agriculture organisé par le CTA, qu’elle a remporté. Mais pour moi tout cela se limitait seulement sur Internet. Et mon regard l’a croisé la semaine dernière àInnovAfrica 2014 à Lomé au Togo, ce fut une grande satisfaction.
Lire l’article sur http://vertogo.mondoblog.org/2014/12/03/innovafrica-2014-marthe-montcho-les-femmes-les-tics-soutiennent-developpement-agricole/
Qui est le nouveau champion de la croissance économique en Afrique subsaharienne en 2012?
Non, ce n’est pas la Côte d’Ivoire, ni le Sénégal ou le Gabon. Il faut sortir du jardin francophone pour rencontrer l’Afrique qui marche.
Le champion de la croissance au sud du Sahara, c’est une ancienne colonie britannique, sortie il y a dix ans d’une terrible guerre civile, la Sierra Leone, avec une hausse fulgurante de 32% de son PIB grâce à son minerai de fer et son pétrole.
Le pays fait peu parler de lui et est quasi-absent des médias francophones couvrant l’Afrique.
Et pourtant, cet élève un peu timide du fond de la classe, encore classé parmi les pays les plus pauvres de la planète, vient de décrocher les félicitations du jury et succède à un autre «lion africain», le Ghana, anglophone lui aussi, boosté par le pétrole, qui passe de 13,6% en 2011 à un confortable 8,8% en 2012, selon le FMI.
En 2011, la croissance économique de la Sierra Leone était déjà honnête (+5,1%) et devrait rester très élevée en 2013 (+9,1%). Le sous-sol regorge de diamants, or et bauxite et du pétrole off-shore devrait également aider au décollage du pays.
Lire l’article sur http://www.slateafrique.com/101049/economie-croissance-pays-africain-anglophones-meilleurs-que-les-francophones
Au Brésil, les prisonniers peuvent sortir plus tôt de prison s’ils… lisent des livres, rapporte Reuters.
Le Brésil vient en effet de créer une nouvelle sorte de remise de peine. Les détenus des prisons fédérales pourront réduire la longueur de leur peine grâce à la lecture. La décision du gouvernement prévoit quatre jours par livre lu.
Les 473.627 prisonniers du pays pourront ainsi lire jusqu’à 12 œuvres de littérature, de philosophie ou de science par an, gagnant ainsi jusqu’à 48 jours de détention en moins sur une année.
Le gouvernement brésilien explique que les prisonniers auront quatre semaines pour lire un livre et ensuite rédiger une dissertation sur le sujet. Un panel décidera ensuite si le prisonnier peut obtenir sa remise de peine.
Lire l’article sur http://www.slate.fr/lien/58533/bresil-livres-prison