Le commerce électronique est en ‘’nette’’ progression sur le continent africain et pourrait, d’ici à 10 ans, constituer 10% des ventes au détail des plus grandes économies africaines, informe l’étude « Global e-Commerce Logistics 2015″.
« La naissance du commerce électronique révolutionne les pratiques logistiques locales et les réseaux physiques de distribution « , note l’étude dont copie est parvenue à APA.
Selon le document, grâce à ce type de commerce et de sa logistique, les consommateurs ont désormais accès à toute une série de produits qu’ils peuvent acheter sur un simple clic.
« Ils sont par ailleurs de plus en plus nombreux à s’attendre à une livraison immédiate, ce qui accroît l’importance de la logistique », selon le document, qui souligne par ailleurs que cette situation encourage à son tour les détaillants et les fournisseurs de logistique à rechercher de nouvelles initiatives pour améliorer les services de livraison et offrir des avantages compétitifs.
L’audace a fait de Yapi N’Cho Didier avec ses inventions un signal fort pour l’Afrique et pour le monde entier, Mais hélas, ce Bill Gates ivoirien s’est éteint dans la nuit du dimanche au Lundi de Pâques à 2 Heures du matin du 6 Avril 2015 à Abidjan.
‘‘La Souris Mystère 7’, ‘Le DVD Dead Cryptor’, ‘DCE (Dead Cryptor Email)’, ‘Mezo Web Cam’, ‘CN.lov’… des outils révolutionnaires inventés par Yapi Didier, un ivoirien passionné d’informatique ne verront peut être pas les chemins des cybers, des bureaux ou des domiciles des passionnés en informatique de Côte d’Ivoire.
YAPI DIDIER débuta sa carrière depuis son enfance. Dans la région du « Gôh Djiboua » communément appelée GAGNOA, une localité du sud-ouest de la république de Côte d’Ivoire d’où est originaire le footballeur international DIDIER DROGBA. Il bricolait depuis le primaire les appareils électroniques (radio, montre électronique, calculatrice, jouets et autres gadgets électroniques). En 1992, il fût saisi d’un mal de dos qui le poussa à fabriquer un appareil électronique de contrôle de la position verticale assise, lequel déclenchait automatiquement un signal d’alerte sonore en cas de mauvaise posture.
L’ancien président américain Bill Clinton le surnomme « Bill Gates africain », maispour CNN, cet informaticien nigérian de 54 ans est le père de l’Internet. Lauréat du prix Gordon Bell en 1989 (la plus haute distinction dans la recherche en informatique), Philip Emeagwali œuvre depuis des décennies pour l’industrialisation de l’Afrique car selon lui : « L’Afrique périra si elle continue à consommer ce qu’elle ne produit pas et à produire ce qu’elle ne consomme pas. ».
Lors d’une conférence devant la communauté africaine à Valence en Mai 2008 il déclare que si rien n’est fait, au moment de célébrer les 100ans de la création de Organisation de l’Unité Africaine (devenue Union Africaine) un article de journal se libellera ainsi : « Les dernières parties de la forêt équatoriale vont bientôt disparaître, traversées par des pipelines et des plateformes de forage des usines de raffinage de gaz naturel. La pollution globale sera le legs des générations futures. Les réserves pétrolières offshore de l’Afrique sont taries. Les installations pétrolières abandonnées deviendront alors un objet d’attraction pour les touristes. Les constructions qui accueillaient les bureaux et les usines des compagnies pétrolières se transformeront en villes fantômes. Dans un monde sans pétrole, le transport aérien va disparaître, et les hommes recommenceront à traverser les mers avec des navires à vapeur. Les fermiers utiliseront des chevaux à la place des tracteurs. La faux remplacera la moissonneuse batteuse. A mesure que les cultures diminueront, la famine envahira le globe. Sans moyens de faire rouler leurs véhicules, les parents resteront chez eux, sans boulot et les enfants marcheront pour aller à l’école ».
Pour Philip Emeagwali, il est certain comme la mort que les réserve actuelles ne conduisent pas l’humanité à plus de 40 ans, et qu’au lieu de se demander quand l’Afrique sera à bout de ses ressources naturelles, l’on peut se demander que fait l’Afrique de son pétrole et de ses matières premières
L’affaire opposant l’ancien étudiant Keba Diop et la Société Générale vient de prendre fin à Toulouse. En effet, après un pourvoi en cassation auprès de la Haute juridiction, la Société Générale perd le procès et a été condamnée le 31 mars 2015 à payer 80 000 euros de dommages et intérêts à cet ancien étudiant de l’ESC. Ce dernier a été satisfait de cette décision malgré une compensation qui semble dérisoire, l’essentiel dit-il, est que cet arrêt devienne désormais une référence pour ceux qui, comme lui, veulent se protéger de ces sociétés malveillantes.
LETTRE OUVERTE à Monsieur Macky Sall Président de la République du Sénégal
Monsieur le Président de la République
Nous sommes un Collectif de fait « DOYNA STOP à la Mendicité des Enfants au Sénégal », composé de simples citoyens et d’associations de défense et de protection des enfants mendiants du Sénégal, associations sincères qui œuvrent depuis longtemps pour cette cause et qui sont fatiguées d’essayer d’arrêter la mer avec leur bras.
Ce collectif a pour unique but l’interdiction de la mendicité des enfants et afin de bien marquer notre différence avec certaines mauvaises pratiques qui perdurent autour des enfants mendiants, nous disons d’emblée que nous n’acceptons aucun financement d’où qu’il vienne, nous cotisons et nous dépensons plus d’énergie que d’argent pour essayer de sensibiliser et changer les consciences.
Cela fait un an maintenant que nous faisons des manifestations pacifiques à des dates symboliques comme le 16 Juin (Journée internationale de l’Enfant Africain) et le 20 novembre (Journée Internationale des Droits de l’Enfant), pour sensibiliser l’État et le peuple sénégalais sur la situation dramatique de ces enfants, véritables rebuts de la société sénégalaise ; nous avons participé au Forum Social Africain en octobre dernier à Dakar et notre stand a connu une grande fréquentation, car ce sujet préoccupe la plupart des Sénégalais et des Africains, même s’ils n’ont pas forcément de cadre approprié pour pouvoir exprimer cette préoccupation. Nous avons également participé récemment à la marche de commémoration de la mort des 9 jeunes talibés dans un incendie à la Médina.
Aujourd’hui, 20 avril, il parait que c’est la « journée nationale du talibé », bien que ce mot n’englobe pas tous les enfants mendiants dont nous nous préoccupons, nous saisissons cette occasion symbolique pour vous exprimer notre désespoir au sein du Collectif, le désarroi des associations de plus en plus dépassées par l’ampleur de la tache de soutien et de réinsertion, le malaise grandissant de la Société Civile Sénégalaise qui n’en peut plus de ravaler sa honte tous les jours devant l’horrible spectacle de ces enfants déguenillés, couverts de plaies et de maladies, sales, affamés, souvent enrôlés par les bandits des rues, à la merci de toutes les prédations notamment des pervers …
Ce dramatique spectacle est aussi un facteur important d’incompréhension et de dénigrement de notre pays par tous les touristes et étrangers foulant notre sol, il est vraiment temps de trouver une solution durable et digne pour notre pays, pour ces enfants qui sont le devenir de notre pays, notre avenir est hypothéqué, car comment autant d’enfants pourront-ils sortir indemnes de cette vie que le mauvais sort et la négligence de notre société leur a offerte comme un cadeau empoisonné et devenir des adultes responsables…
Nous nous permettons de vous interpeller sur la loi 2005-06 qui n’est pas appliquée ou si peu, alors qu’elle stipule clairement l’interdiction de mendier et la criminalisation de la traite des personnes mineures…
Les enfants sont des êtres vulnérables qui ont besoin de la protection de l’État, et de la même façon qu’un voleur est puni par la loi, arrêté et enfermé, de la même façon, un maltraiteur, exploiteur ou violeur d’enfant devrait l’être encore plus, car c’est bien plus grave que de voler, et tous doivent être égaux devant la loi, et la loi existe bel et bien…
Elle aurait été certainement mieux appliquée si l’interdiction de mendier ne visait que les enfants, au moins dans un premier temps…
Et les personnes désireuses de donner leurs oboles aux enfants pourraient bien se rendre dans les daaras non loin de chez eux, afin de le leur donner directement dans l’enceinte sécurisée de leur lieu de vie et d’études… Les Sénégalais peuvent bien faire cet effort… Donc il n’est nullement question d’interdire de donner l’aumône, mais plutôt d’interdire la mendicité qui est clairement une sorte de racolage dans la rue, surtout concernant des enfants.
Cette loi qui, si elle était strictement appliquée, permettrait déjà aujourd’hui même, de protéger un grand nombre d’enfants, car des criminels traversent nos frontières, se prétendant à tort maitre coranique et viennent réduire des enfants en esclavage sous nos yeux.
Afin de résoudre tous ces problèmes, nous savons que vous travaillez à un projet de loi de modernisation des daaras depuis un certain temps, et que vos prédécesseurs y travaillaient aussi, mais nous trouvons juste ce temps vraiment long, très long, car cela fait des années que ce sujet est d’actualité…
Nous sommes conscients que ce projet de loi, lorsqu’il sera adopté, pourra résoudre beaucoup des difficultés évoquées dans cette lettre.
Monsieur le président, nous vous demandons respectueusement d’accélérer la cadence si cela est possible, car en attendant des dizaines de milliers d’enfants souffrent mille martyres tous les jours et ce n’est pas digne de notre pays.
Voici un extrait de notre manifeste du 16 Juin :
Nous, Collectif de Citoyens Sénégalais et d’Associations de défense des droits des enfants, déclarons solennellement en ce jour du 16 Juin 2014 Journée de l’Enfant Africain
– Que nous ne voulons plus voir d’enfants mendiants dans les rues du Sénégal, nous ne voulons plus être les témoins impuissants de leur terrible souffrance
– Que l’État du Sénégal en tant que garant de la Cohésion Sociale et de l’ordre public, ne PEUT plus fermer les yeux sur ce fléau qui gangrène notre société, nos rues, nos cœurs et nos enfants.
– Que l’État du Sénégal en tant que responsable de la protection des plus faibles et en tant que signataire de nombreux traités internationaux de protection de l’enfance doit remplir sa mission et TOUTE sa mission.
– Que l’État du Sénégal est en infraction par rapport à tous ces traités et qu’il est coupable de NON-ASSISTANCE à enfants en danger
ü Que ces enfants sont l’AVENIR de notre pays, c’est donc notre avenir que nous hypothéquons !
– Que la mendicité des enfants doit être purement et simplement INTERDITE ! La loi de 2005-06 doit être appliquée et si nécessaire renforcée.
– Que l’état du Sénégal doit financer TOUTES les solutions à mettre en œuvre pour l’après-interdiction, quelle que soit leur nature, politique, culturelle, religieuse, éducative, familiale, etc…
Nous refusons d’entrer dans des débats complexes culturels ou religieux ou de tout autre nature, nous disons juste :
DOYNA STOP A LA MENDICITÉ DES ENFANTS !
DOYNA STOP A LA SOUFFRANCE DES ENFANTS MENDIANTS
LA PLACE D’UN ENFANT N’EST PAS DANS LA RUE !
LA PROTECTION DE L’ENFANT EST UN DROIT !
Nous espérons de tout cœur que cette lettre sera entendue et comprise comme étant notre contribution citoyenne à la bonne marche de notre cher pays, nous espérons que très bientôt, ces visions traumatisantes d’enfants, errant dans nos rues avec leur horrible souffrance en bandoulière, ne seront plus que mauvais souvenirs.
Nous comptons sur vous, Monsieur le Président, le Collectif vous remercie par avance pour toute action allant dans le sens de notre requête légitime…
Veuillez agréer Monsieur le Président de la République, nos très respectueuses salutations.
LES MEMBRES DU COLLECTIF DOYNA STOP À LA MENDICITÉ DES ENFANTS
Quiconque est habitué à regarder les chaînes de télévision occidentales, finit par croire que la misère est une normalité en Afrique. Une ribambelle de gamins crasseux au coin d’une rue implorant la pitié du dieu dollar ; des cadavres jonchant les trottoirs des cités désertes en Somalie ; des caniveaux remplis d’ordures ménagères ; des malades du sida agonisant dans des hospices mal éclairés et tutti quanti. C’est ce genre de reportages qui fait exploser l’audimat en Occident. Voir des Nègres languir, conforte certains Occidentaux dans leurs fantasmes. L’émission Envoyé spécial est spécialiste en la matière. Au lieu de parcourir autant de kilomètres pour chercher le désastre en Afrique, les équipes de reporters feraient mieux d’aller filmer dans les Balkans, mais aussi les oubliés de l’Europe. Il suffirait de se rendre à Groznyï ou dans n’importe quelle cité tchétchène pour trouver des enfants squelettiques ou des populations sous alimentées. En Albanie, Roumanie, Moldavie (pour ne citer que ces trois pays), les mendiants professionnels se comptent par milliers. A Chisinau, des jeunes filles se prostituent pour le prix d’une bouteille de coca-cola ; à Constanza, la mendicité infantile est flagrante. En Albanie, des familles sillonnent les campagnes pour trouver de quoi se mettre sous la dent. La signalisation routière à Tirana n’a rien à envier à celle d’un village. Pour les trafiquants d’organe, ces pays européens sont des grandes surfaces bon marché, où chacun s’approvisionne en reins, foie, poumons, bras, jambes, cœur… Prélever des organes sur des vivants ou des cadavres, les chirurgiens s’en donnent à cœur joie. Apparemment, ce commerce est très juteux dans une région du monde dit civilisé. La vente du corps humain en pièce détachée au cœur de l’Europe, ne semble pas émouvoir grand monde. Tout cela est bien triste. Et pourtant, les mêmes chaînes de télévision s’abstiennent de montrer cette réalité et se focalisent uniquement sur celle des pays africains. Pour quelles raisons ? Inciter les Africains à se renier, et ça marche !
L’Europe se préoccupe de cacher ses lambeaux, mais n’hésite pas à exhiber ceux des autres. L’objectivité voudrait qu’elle montre toute sa garde robe. L’Afrique coquette existe. Pourquoi est-elle occultée ? Les taudis de Lisbonne, Naples, Athènes, Nicosie… n’apparaîtront jamais sur les écrans en Afrique. Chypre se vide de sa population à cause de la misère. Celle-ci émigre en masse au Royaume-Uni sans que cela ne fasse grand bruit dans les médias. Les téléspectateurs africains auront toujours droit aux images de la Tour Effel, la Cathédrale de la Sagrada familia, Tower bridge ou la verte pelouse de Black Heath. Toutes ces images ont un impact considérable sur les téléspectateurs incultes. Elles provoquent un afro-pessimisme obsessionnel. « Oh ! L’Afrique, c’est la fille aînée de la pauvreté », clament les cassandres.
Pour se démarquer de leurs congénères et échapper au mépris, de nombreux Africains vivant dans l’Hexagone se désafricanisent en se faisant appeler Afropéens, une identité artificielle reconnue nulle part. Les plus « raffinés » se considèrent comme des métis culturels, malgré leur fort accent et leur goût prononcé pour la sauce gombo. Ces derniers se bousculent lors des meetings politiques pour être au premier rang. Sourire forcé aux lèvres, ils applaudissent des négrophobes patentés dans l’optique d’obtenir un strapontin. Conseiller municipal dans un hameau, voilà une fonction qui ferait la fierté d’un Afropéen, même s’il méritait mieux. Curieusement, ce sont ces mêmes cancres qui se plaignent de l’arrivée massive des Chinois en Afrique. Les Chinois sont très clairvoyants. Ils savent que derrière chaque calamité en Afrique se cache un gisement de diamant ou de coltan. Ils ne se laissent pas décourager par des propagandistes bien rémunérés. Ce peuple a compris, qu’avec les médias occidentaux, il faut tout le temps réinterpréter l’actualité, surtout celle concernant les pays du Tiers-monde. Contrairement aux Afropéens, les Chinois sont hermétiques à toute propagande. En Chine, une mauvaise actualité sur l’Afrique fait grimper la bourse. Les demandes de visa dans les consulats africains en Chine sont des indices révélateurs. Le chinois ordinaire n’espère qu’une chose, s’installer en Afrique pour devenir grand. Une fois le visa accordé, Mr Li Shen Chang rassemblera quelques babioles fabriquées à Shangaï ou Guangzhou et débarquera en « Enfer » pour concurrencer ceux qui y font la pluie et le beau temps, c’est-à-dire les mastodontes occidentaux.
Marquons une pause pour suivre Envoyé spécial :
« Mesdames et messieurs, après des années de recherches approfondies, l’Institut d’Epidémiologie de Fatalité en Brie vient d’annoncer que d’ici 5 ans, le Swaziland va être rayé de la carte à cause du H.I.V ».
A l’annonce de cette nouvelle catastrophique, les Afropéens seront les premiers à mordre à l’hameçon. Un lavage de cerveau qui dure depuis des siècles ne laisse pas de place aux doutes. Il favorise la crédulité et la naïveté chez celui ou celle qui le subit. De ce fait, la victime s’approprie systématiquement le paradigme du nettoyeur à sec. Il hypothèque deux de ses sens (la vue et l’ouïe) parce que ses yeux et ses oreilles ne lui servent plus à rien. Tout observateur serein sait pertinement que les médias n’informent pas, ils intoxiquent les auditeurs et téléspectateurs à longueur de journée. L’Afrique est le continent le plus convoité, le plus courtisé, le plus pillé et le plus dénigré au monde. C’est celui qui détient également le taux de suicide le plus faible, malgré son appauvrissement. Sa vitalité (40% d’Africains ont moins de 15 ans) et ses immenses réserves de minerais sont comme des aimants qui attirent les chasseurs de trésor. Qui aurait intérêt à en dire du bien ? Même les soldats de la M.O.N.U.C (Mission de l’Organisation des Nations Unies au Congo) se sont livrés au viol des femmes et braconnage d’éléphants dans la province de l’Ituri. En 2008, des dizaines de tonnes d’ivoire ont été découvertes dans l’une de leurs casernes. Cette nouvelle n’a suscité aucun commentaire dans les médias. Pendant ce temps, les Afropéens étaient entrain de papoter sur leur sujet favori (l’intégration). Pauvres aliénés !
A force de s’abreuver à la télévision, les Afropéens se sont vulnérabilisés. Ils succombent facilement au poison. Un poste téléviseur ou radio en panne, serait une bénédiction pour des êtres aussi candides. L’Irak et l’Afghanistan ont été les plus grosses arnaques de ce début du 21e siècle. Les chaînes de télévision occidentales ont vendu les peaux de Saddam Hussein et du Mollah Omar à un prix exorbitant. Kofi Annan a été mis sur écoute par les services secrets de Bush et Blair, pour avoir décelé leur plan macabre. Plus de 100 000 morts pour faire main basse sur les gisements de pétrole irakiens. En Irak, la laïcité a pris fin et en Afghanistan, les Talibans n’ont jamais été aussi forts. Malgré tout, les Afropéens n’ont pas tiré de leçon. Ils sont toujours aussi accrocs aux journaux télévisés.
Dociles et naïfs, les Afropéens ont cru religieusement en la devise républicaine « Liberté, Egalité, Fraternité ». Mais depuis que Sarko a décidé de retirer la nationalité aux citoyens de seconde zone qui oseraient ferrailler avec des lampistes, les Afropéens se sont soudainement souvenus de leurs origines. Ils auraient dû s’inspirer de l’oncle Koffi Yamgnane, qui a changé son fusil d’épaule pour participer à la chasse aux électeurs au Togo.
Celui ou celle qui osera me reprocher d’être trop africain, je lui dis « M-E-R-D-E ! ».
Devinette : Après les Roms, ce sera les ?
Ngombulu Ya Sangui Ya Mina Bantu LASCONY Ecrivain, documentariste, historiographe Institut Cercle-Congo
Les caméras de « Réussite », magazine économique co-produit par « Jeune Afrique », vous font découvrir l’incubateur iHub et la maquette de la future Sillicon Valley africaine. Deux preuves du succès des nouvelles technologies au Kenya.
Depuis quelques années, les multinationales des nouvelles technologies choisissent Nairobi pour se développer au sud du Sahara.
Dans la capitale kényane, les startups trouvent également les moyens de se développer, notamment au sein de I-Hub. Cet incubateur reproduit en Afrique l’esprit de la silicon-valley : travail, espace détente, lieu d’échanges. Tout est fait pour faire émerger des nouvelles sociétés qui vont réussir.
Le 21e prix de la meilleure baguette de Paris a été remporté jeudi par Djibril Bodian, boulanger au Grenier à Pain, dans le 18e arrondissement. Cet artisan avait déjà reçu cette distinction enviée en 2010. Il risque d’y avoir du monde ce week-end devant le Grenier à Pain, au 38 rue des Abbesses (18e) . Mais le boulanger Djibril Bodian à l’habitude.
Pour la deuxième fois, jeudi soir, sa baguette a été élue meilleure baguette de Paris. Une confirmation pour cet artisan de 37 ans, d’origine sénégalaise, formé au centre de formation de Pantin, qui avait déjà été honoré en 2010. « La première fois, on se dit que c’est extraordinaire, que c’est peut-être un coup de chance. Mais là, je crois vraiment que le travail paie. J’ai persévéré pour retenter ma chance. C’est une immense joie », a réagi à chaud l’heureux gagnant, contacté par Dakar-echo à l’annonce des résultats.
Cinq critères pour déterminer la meilleure baguette
Outre la notoriété, Djibril Bodian remporte un prix de 4 000 euros et le prestige de devenir pendant un an le fournisseur officiel de l’Elysée. Il faut dire que sa baguette s’est distinguée parmi celles de 230 autres artisans-boulangers venus concourir jeudi à la Chambre Professionnelle des Artisans Boulangers-Pâtissier, dans le splendide hôtel particulier du 7 quai d’Anjou (4e).
La diaspora africaine correspond à l’ensemble formé par les Africains vivant ailleurs qu’en Afrique – ayant émigré volontairement – et aux descendants d’Africains déportés et mis en esclavage (qui constituent le groupe le plus nombreux, principalement concentré sur le continent américain).
Estimations chiffrées.
La présence des Africains hors d’Afrique et des Afro-descendants sur 4 continents représente probablement 200 millions de personnes.
On peut estimer qu’au moins 162 millions d’Afro-descendants vivent en Amérique et aux Antilles et au moins 12 millions en Europe. le reste sur les autres continents.