Bientôt, dépister le virus du sida sera aussi simple, rapide et économique que faire un test de grossesse. Plus besoin de se rendre dans un laboratoire d’analyses et d’attendre (au moins) 24h les résultats.

Dans un article sur son site Internet, RFI annonce la mise au point d’un nouveau testeur portatif grâce auquel les dépistages peuvent s’effectuer dans les zones reculées et sans infrastructure particulière. Le procédé n’en est qu’au stade du prototype, mais ses résultats sont très prometteurs.

Déjà testé sur des centaines de patients au Rwanda, il a montré un taux de détection des maladies frisant les 100%. Une fiabilité supérieure à celle obtenue avec le système desbandelettes qui peut donner lieu à des erreurs d’interprétation, rappelle RFI.

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Les flux migratoires entre l’Afrique et les autres continents sont le plus souvent évoqués à travers les migrations Sud-Nord, c’est-à-dire l’expatriation des Africains vers l’Occident. Mais aujourd’hui, certains de ces émigrés finissent par revenir au bercail. C’est la nouvelle «génération des rapatriés» africains, dont le magazine américain Time dresse un portrait.

Papa Madiaw Ndiaye, 45 ans et Patrice Backer, 44 ans, incarnent ce retour des «cerveaux». Après des études à l’université américaine d’Harvard et un passage par la banque d’investissement J.P. Morgan, ils ont décidé de revenir s’installer en Afrique et surtout d’y investir. Une décision qu’ils ne regrettent pas:

«Il n’y a pas de concurrence. Si vous savez ce que vous faites, c’est le gros lot», explique Ndiaye.

 

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Google ne s’y est pas trompé en investissant l’Afrique. L’utilisation d’Internet via la téléphonie mobile, l’engouement pour les blogs, celui pour les applications «anti-crise», ou encore l’émergence d’une communauté de geeks made in Africa… Autant de raisons pour persuader un peu plus le géant américain que l’Afrique est la terre promise qui lui permettra d’étendre encore un peu plus son monopole.

«En moyenne, il y a 94 noms de domaines pour 10.000 internautes à travers le monde. En revanche, il n’y en a qu’un pour 10.000 en Afrique», explique The Next Web, un blog dédié aux projets d’avenir sur la Toile.

Dans un article du 17 juillet 2011, il s’arrête sur la stratégie du leader de la Silicon Valley pour sortir le continent de son statut de cinquième roue du carrosse de l’Internet mondial.

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En Egypte, après la chute de Moubarak, place désormais aux entrepreneurs de la révolution. Une nouvelle génération de diplômés égyptiens aspirent à créer leur propre startup, et leur initiatives pourraient bien être la clé du regain économique du pays.

Un article publié sur le site du New York Times le 16 juillet 2011 raconte l’ambition de ces jeunes entrepreneurs qui se disent optimistes quant à leur avenir économique et professionnel, malgré un chômage qui gangrène le pays etattise les tensions.

«La révolution a redonné de la confiance à toute une génération. Si les Egyptiens ont pu faire tomber Moubarak, qui sait ce qu’ils peuvent accomplir?», affirme Yasmine el-Mehairy, 30 ans.

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Jusqu’à présent, les jeux vidéo portaient sur des thèmes s’inspirant de la culture et des légendes occidentales ou asiatiques. Désormais, l’imaginaire africain s’introduit dans les consoles de jeux, peut-on lire sur le site de la radio néerlandaise RNW.

La radio est allée à la rencontre de Yannick Sabzé, un développeur camerounais âgé de 31 ans et basé à Yaoundé, la capitale du Cameroun. Le jeune informaticien vient de mettre au point deux jeux vidéo aux couleurs et sonorités entièrement africaines. Le premier, Maskanoid, est un jeu d’agilité. RNW décrit ainsi l’objectif du jeu:

«Faire tomber, à l’aide d’un cauris, des masques alignés sur un mur. Seulement, le cauris qui sert de balle a tendance à s’écraser sur le sol et il faut le faire ricocher à l’aide d’une barre qui est en fait un bouclier de guerrier.»

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SAT-2, SAT-X. Ces étranges initiales ne sont pas des virus informatiques ou des médicaments à l’essai, mais les noms des deux nouveaux satellites que le Nigeria va mettre en orbite le 7 juillet 2011, rapporte le Nigerian Pilot.

Les engins spatiaux vont décoller depuis le cosmodrome deDombarovsky, en Russie. Ils s’envoleront en direct à la télévision, simultanément, depuis le lanceur spatial Dnepr, qui compte à son actif l’envoi de 55 satellites du monde entier. «Canada, Allemagne, France, Malaysie, Arabie Saoudite», a égrené fièrement le directeur général de l’Agence de recherche spatiale nigériane (NASRDA), Saidu Mohammed.

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