L’Afrique francophone est en pleine tourmente au moment où les Lions d’Afrique anglophone rugissent, avec des croissances économiques spectaculaires.

Qui est le nouveau champion de la croissance économique en Afrique subsaharienne en 2012?

Non, ce n’est pas la Côte d’Ivoire, ni le Sénégal ou le Gabon. Il faut sortir du jardin francophone pour rencontrer l’Afrique qui marche.

Le champion de la croissance au sud du Sahara, c’est une ancienne colonie britannique, sortie il y a dix ans d’une terrible guerre civile, la Sierra Leone, avec une hausse fulgurante de 32% de son PIB grâce à son minerai de fer et son pétrole.

Le pays fait peu parler de lui et est quasi-absent des médias francophones couvrant l’Afrique.

Et pourtant, cet élève un peu timide du fond de la classe, encore classé parmi les pays les plus pauvres de la planète, vient de décrocher les félicitations du jury et succède à un autre «lion africain», le Ghana, anglophone lui aussi, boosté par le pétrole, qui passe de 13,6% en 2011 à un confortable 8,8% en 2012, selon le FMI.

En 2011, la croissance économique de la Sierra Leone était déjà honnête (+5,1%) et devrait rester très élevée en 2013 (+9,1%). Le sous-sol regorge de diamants, or et bauxite et du pétrole off-shore devrait également aider au décollage du pays.

Lire l’article sur http://www.slateafrique.com/101049/economie-croissance-pays-africain-anglophones-meilleurs-que-les-francophones

 

Au Brésil, les prisonniers peuvent sortir plus tôt de prison s’ils… lisent des livres, rapporte Reuters.

Le Brésil vient en effet de créer une nouvelle sorte de remise de peine. Les détenus des prisons fédérales pourront réduire la longueur de leur peine grâce à la lecture. La décision du gouvernement prévoit quatre jours par livre lu.

Les 473.627 prisonniers du pays pourront ainsi lire jusqu’à 12 œuvres de littérature, de philosophie ou de science par an, gagnant ainsi jusqu’à 48 jours de détention en moins sur une année.

Le gouvernement brésilien explique que les prisonniers auront quatre semaines pour lire un livre et ensuite rédiger une dissertation sur le sujet. Un panel décidera ensuite si le prisonnier peut obtenir sa remise de peine.

Lire l’article sur http://www.slate.fr/lien/58533/bresil-livres-prison

Elle est nigériane et elle est née la même année que l’OPEP en 1960. Diezani Alison-Madueke, 54 ans, est la première femme à prendre les rênes du très masculin cartel des pays exportateurs de brut. Sur les douze états membres, elle est en effet la seule femme de la délégation.

Ancienne architecte

Issue de la famille royale, elle a débuté ses études au Nigéria avant de les poursuivre au Royaume-Uni puis aux Etats-Unis. Cette architecte de formation a entamé sa carrière dans un cabinet d’urbanisme avant de rejoindre en 1992 la Shell Petroleum Development Company (SPDC) relate le site nigérian CWCN Oil and Gas, en prenant la tête du département Corporate et Management.

Pionnière, elle ne l’est pas seulement par son accession à la présidence de l’Opep. Déjà en 2006, elle devenait la première femme présidente du directoire de SPDC. Un poste qui la propulsera ensuite vers des responsabilités gouvernementales. D’abord ministre des Transports de 2007 à 2008, puis ministre des Mines et de l’Acier, elle prend ensuite en charge le portefeuille des Ressources pétrolières en 2010. Là encore, l’accession d’une femme à ces responsabilités était jusqu’alors inédit au Nigéria.

Lire l’article http://www.msn.com/fr-ca/finances/international/une-femme-pour-la-premi%C3%A8re-fois-%C3%A0-la-t%C3%AAte-de-lopep/ar-BBg5yXG 

Militante passée au monde des affaires, Daphne Mashile-Nkosi est la première femme à diriger une compagnie minière en Afrique du Sud.

À 55 ans, Daphne Mashile-Nkosi reste une exception en Afrique du Sud, à plus d’un titre. Non seulement elle fait partie des rares femmes noires chefs d’entreprise, mais elle est même la seule à ce niveau de responsabilité dans le secteur minier. Kalagadi Manganese, la société qu’elle dirige, exploite trois gisements de manganèse autour de Hotazel, dans la province du Cap-Nord. Leurs réserves sont évaluées à 102 millions de tonnes.

En novembre 2013, la femme d’affaires a reçu les félicitations du ministre du Développement économique Ebrahim Patel lors de l’inauguration de l’usine construite pour exploiter ce complexe minier. Le président Zuma l’a même présentée comme une héroïne. Car Daphne Nkosi entend incarner un nouveau modèle de développement. « Il n’est pas normal que la région du Cap-Nord soit l’une des plus riches et que le taux de pauvreté y soit aussi élevé », déclarait-elle en décembre à The Africa Report.

Lire l’Article sur http://economie.jeuneafrique.com/dossiers-2/550-les-miniers-de-si-mauvais-voisins-/21258-daphne-mashile-nkosi-au-nom-des-siennes.html

 

Avec ses 11 millions d’habitants, Cuba parvient à être une « superpuissance médicale ». L’île des Caraïbes envoie un très important contingent de personnel soignant dans les pays d’Afrique de l’Ouest frappés par Ebola, ce qui suscite même l’admiration des journaux américains.
« Ce n’est pas la Sierre Leone, qui a besoin de nous », déclare Yosvany Vera, une doctoresse cubaine de 36 ans en se frayant un chemin vers son petit hôtel, une assiette de riz et de viande pleine de gras à la main, « c’est le monde, qui a besoin de nous.

Ces dernières semaines, des journaux américains de référence comme The Washington Post et The Wall Streetn’ont guère tari d’éloges sur l’engagement de Cuba contre Ebola. Le fait que ces journaux osent écrire des choses absolument positives sur Cuba est proprement inédit. Le message implicite et à usage intérieur est en fait une critique à l’encontre d’Obama : « Voyez donc ce que cette petite île de 11 millions d’habitants est capable de faire, alors que la Maison-Blanche intervient trop peu et trop tard. »

Lire l’article sur http://m3m.be/news/cuba-leader-mondial-absolu-dans-la-lutte-contre-la-crise-ebola#.VFQnEmvsifh.facebook

La pilote Kenyane  Irene Koki Mutungi n’a rien à envier  à ses collègues hommes. Commandante de bord, elle est la première femme africaine capitaine dans l’histoire du transport aérien. Fille d’un père pilote, Kiko a depuis son enfance nourri l’ambition de succéder à son père. Elle est aujourd’hui capitaine et vole sur un Boeing 787 pour la compagnie aérienne Kenya Airways.

Le ciel n’a pas de secret pour elle. Toute petite, Irene Koki Mutungi regardait son père piloter des Boeings.  Sa passion pour le ciel l’a amenée à opter pour la carrière de son père.

« J’ai commencé à voler en 1993 Lors de mes premiers cours de pilotage. Je me souviens avoir volé avec mon père à Londres quand j’avais huit ans et je me suis assis avec lui dans l’habitacle durant tout le trajet. Depuis, je savais que c’était ce que je voulais faire », a-t-elle indiqué.

Pour atteindre son objectif, la Kenyane a bénéficié du soutien de son père qui est aujourd’hui fière d’elle.

Lire l’article sur http://www.africatopsuccess.com/2014/04/17/irene-koki-mutungi-1ere-africaine-capitaine-au-commande-dun-boeing-737-300/ 

La ghanéenne Winnifred Selby (19 ans) était, avec la sudafricaine Amy De Castro et la nigériane Achenoy Ichadaba, les 3 finalistes pour l’Afrique subsaharienne du prix Cartier Women’s Initiative 2014.

Des vélos en bambous : une source de développement

La ghanéenne Winnifred Selby (19 ans) était, avec la sudafricaine Amy De Castro et la nigériane Achenoy Ichadaba, les 3 finalistes pour l’Afrique subsaharienne du prix Cartier Women’s Initiative 2014, dont la remise des récompenses a eu lieu le 16 octobre à Deauville, en France. L’Égyptienne Mariam Hazem, qui compétit dans la catégorie Afrique du Nord et Moyen-Orient complétait le quator d’Africaines participant à cette édition. C’est avec une assurance et un aplomb désarmants qu’elle se présente.

Winnifred Selby, surnommée « Winnie », 19 ans, dirige depuis 2 ans l’entreprise Afrocentric Bamboo.

Lire l’article sur  http://www.africanouvelles.com/africains-de-la-diaspora/immigres-en-italie/9374-winnie-selby-finaliste-ghaneenne-du-prix-cartier-womens-initiative-awards-2014.html 

Un collectif de citoyens et d’associations de défense 

des enfants mendiants « STOP à la Mendicité des enfants »

organise une marche à DAKAR

20 NOVEMBRE 2014 – 25e ANNÉE DE LA CONVENTION DES DROITS DE L’ENFANT
À 16 H à l’Obélisque A DAKAR
MOBILISONS-NOUS !!!

C’est la deuxième marche à DAKAR en faveur de ces enfants après celle du 16 Juin 2014 journée de l’Enfant Africain !!!

Chaque manifestant pourra arborer un petit carré de tissu rouge sur la poitrine en signe de protestation…

ENGAGEZ-VOUS !!!
Partagez cette information le plus largement possible !!!

Merci d’aimer la page https://www.facebook.com/pages/S-T-O-P-à-la-Mendicité-des-Enfants/1418341431757884?ref=hl

 

LE MANIFESTE DU 16 JUIN :

Nous, Collectif de Citoyens Sénégalais et d’Associations de défense des droits des enfants, déclarons solennellement en ce jour du 16 Juin 2014 Journée de l’Enfant Africain :

  • Que nous ne voulons plus voir d’enfants mendiants dans les rues du Sénégal, nous ne voulons plus être les témoins impuissants de leur terrible souffrance
  • Que l’Etat du Sénégal en tant que garant de la Cohésion Sociale et de l’ordre public, ne PEUT plus fermer les yeux sur ce fléau qui gangrène notre société, nos rues, nos cœurs et nos enfants.
  • Que l’Etat du Sénégal en tant que responsable de la protection des plus faibles et en tant que signataire de nombreux traités internationaux de protection de l’enfance doit remplir sa mission et TOUTE sa mission.
  • Que l’Etat du Sénégal est en infraction par rapport à tous ces traités et qu’il est coupable de NON-ASSISTANCE à enfants en danger
  • Que ces enfants sont l’AVENIR de notre pays, c’est donc notre avenir que nous hypothéquons !
  • Que la mendicité des enfants doit être purement et simplement INTERDITE ! La loi de 2005-06 doit être appliquée et si nécessaire renforcée.
  • Que l’état du Sénégal doit financer TOUTES les solutions à mettre en œuvre pour l’après-interdiction, quelle que soit leur nature, politique, culturelle, religieuse, éducative, familiale, etc…

 

Nous refusons d’entrer dans des débats complexes culturels ou religieux ou de tout autre nature, nous disons juste :

  • DOYNA STOP A LA MENDICITE DES ENFANTS !
  • DOYNA STOP A LA SOUFFRANCE DES ENFANTS MENDIANTS
  • LA PLACE D’UN ENFANT N’EST PAS DANS LA RUE !
  • LA PROTECTION DE L’ENFANT EST UN DROIT !

Et nous voulons également sensibiliser le Peuple sénégalais :

  • Disons TOUS : DOYNA STOP !!!
  • Donner de l’argent, c’est CAUTIONNER leur calvaire !!!
  • Ne donnons plus d’argent à ces enfants, mais de la nourriture ou de la tendresse ou juste de l’attention…
  • Ils ont besoin que nous leur rendions leur dignité
Nous demandons à toutes les personnes dans tout le Sénégal, qui se sentent concernées par ce problème de la mendicité de porter un carré rouge sur son vêtement en signe de protestation et d’adhésion au manifeste le 16 juin et au delà de cette date.

L’Haïtienne Yanick Lahens est lauréate du prestigieux prix littéraire français Femina pour son roman « Bain de lune ». 

Le prestigieux prix littéraire français, le Femina, a été attribué à Yanick Lahens, pour son roman Bain de lune (Sabine Wespieser).

La romancière haïtienne raconte l’histoire d’un pêcheur qui découvre, échouée sur la grève, une jeune fille qui semble avoir été agressée. Lorsqu’elle se met à invoquer ses ancêtres, l’homme découvre un lourd passé familial. Les Lafleur et les Mésidor qui vivent dans un petit village d’Haïti. Les deux clans se détestent et pourtant, lorsque Tertulien Mésidor rencontre Olmène Dorival, petite-fille d’un Lafleur, l’attirance est réciproque.

Lire l’article sur http://www.afrik.com/l-haitienne-yanick-lahens-laureate-du-prix-litteraire-femina

Dakaroise depuis combien de temps?

Je suis dakaroise depuis le mois de mars 2014, mais je suis rentrée définitivement au Sénégal il y a 2 ans et demi. Avant Dakar, j’étais à Saint Louis au nord de Dakar et à M’Bour sur la petite côte.

Comment êtes vous arrivé à créer NUBI ARTS?

J’ai crée le Nubi-Arts pour allier plusieurs thèmes qui me tenaient a cœur: La culture en général et l’Art avec un grand A : la littérature, la peinture, la musique, (after-work acoustiques, librairie, tableaux, artisanat, etc…). Ensuite, la gastronomie africaine (Plats typiques sénégalais, africains, réunionnais, caribéens, etc…) et celle de la diaspora à travers le monde dans un lieu convivial et ouvert à tous (chambre d’hôtes). Et enfin, l’engagement citoyen et le débat d’idées au service de l’Afrique (Salle de conférence, diners débats, présentations de livres, etc…).

www-visiterlafrique-com-dakar-senegal-hulo-guilabert-4

www-visiterlafrique-com-dakar-senegal-hulo-guilabert-4

La cour intérieure du Nubi Arts

Le restaurant du Nubi Arts

Le restaurant du Nubi Arts

Le restaurant du Nubi Arts

Dakar en un mot c’est ?

Bouillonnant culturellement parlant. Il y a beaucoup de choses qui se passent dans le domaine culturel, notamment au niveau de la musique, avec le rap et le slam… Je suis toujours étonnée des projets qui naissent et de cette jeunesse qui bouge et se bouge.

La Galerie du Nubi arts: littérature, artisanat...

La Galerie du Nubi arts: littérature, artisanat...

La Galerie du Nubi arts: littérature, artisanat…

Votre top 3 des plats à absolument goûter?

Ce que j’aime par-dessous tout c’est le Beuguej, ce n’est pas vraiment un plat, mais plutôt un accompagnement. C’est la sauce Bissap, à base des feuilles d’oseilles africaines avec du citron et des épices. Peu importe le plat qu’il accompagne je suis ravie.

Mais, si je dois parler de top 3, je place en tête de liste forcément le Thieboudienne (surtout celui fait à Saint Louis)… oui je sais on parle de Dakar, mais je suis originaire de Saint Louis donc c’est meilleur là-bas), rires. En deuxième position, il y a le Yassa, plat de poulet mariné au citron, grillé puis mijoté dans sa sauce oignons accompagné de riz. Dans un bon yassa on retrouve les saveurs du poulet braisé, il y a aussi du Yassa au poisson, avec la même recette.

En dernier, je dirai le Mboum Nébédaye, moins connu que les deux autres. On n’en mange pas tant que ça finalement, mais je l’ai mis en vedette dans mon restaurant. En fait c’est du couscous de mil avec une sauce s’apparentant à du Ndolé (plat camerounais), fait à base de feuilles de Moringa. Le moringa, est une plante qui a énormément de propriétés bénéfiques pour la santé. Maintenant on la trouve même en pharmacie en poudre comme complément alimentaire.

Le Thieboudienne

Le Thieboudienne

Le Thieboudienne

Se loger à Dakar? Quels sont les bons plans ?

Je pense qu’il faut vraiment découvrir Dakar en logeant chez l’habitant, donc il faut essayer les chambres d’hôtes, il y a en a pas mal, nous en avons d’ailleurs une au Nubi-Arts qui est quasiment tout le temps occupée… Je pense que c’est une belle manière de découvrir un pays, car on est conseillé et couvé par un vrai Dakarois qui se met en quatre durant tout le séjour pour faire découvrir sa ville et ses bons plans…

Les endroits emblématiques à découvrir?

Bien évidemment, l’île de Gorée, pour l’atmosphère qu’elle dégage de par son histoire… Gorée c’est un tout : la mer, les paysages sont magnifiques, c’est un bel ensemble à visiter. Ensuite, l’île de N’Gor pour ses magnifiques plages et ses petits restaurants qui vous servent carrément sous votre parasol…

Enfin, le monument de la renaissance. Bien qu’il ait été mis en place sur fond de polémique, je trouve dommage qu’il ne soit pas valorisé comme il le devrait. Je l’ai visité il y a à peine un mois, et je l’ai trouvé super. Il y a des expositions à l’intérieur sur toute l’histoire des noirs. C’est dommage que ce monument n’est pas plus d’audience auprès des sénégalais eux-mêmes, on peut le trouver de mauvais goût mais structurellement il est pas mal, avec une magnifique vue ,panoramique sur tout Dakar. Maintenant qu’il est là, je pense qu’il est de notre devoir de le faire vivre et rentabiliser les milliards investis et l’argent que l’État continue à mettre pour son entretien et son exploitation.

L'île de Gorée - la maison des esclaves

L’île de Gorée – la maison des esclaves

Gorée

Gorée

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Des activités qui sortent des sentiers battus à faire à Dakar?

Il y a des endroits assez typiques et qui sortent de l’ordinaire. C’est le cas de certaines plages qui ont un côté roots où on peut manger du poisson grillé sur la plage, telle que celle de « Yoff ». On est entouré de femmes qui font le poisson, on est au milieu de la population et on profite de la plage en même temps.

La meilleure plage de Dakar?

Je dirai, celle de N’Gor. Même quand j’étais en Europe à chaque fois que je rentrais, j’allais à N’Gor. On prend la pirogue depuis Dakar pour atteindre l’île. On n’est pas dans de grandes vagues, donc la baignade est sécurisée. Il y a un restaurant dans lequel j’aime aller, c’est « chez Seck » parce qu’il est tenu depuis des années par une personne aimable et chaleureuse, les plats sont délicieux et copieux, le thiof grillé est frais et succulent.

L'île de Ng'or

L’île de Ng’or

N'Gor

N’Gor

La journée type d’une dakaroise?

Je vais vous donner le programme typique d’une dakaroise qui a idéalement le temps . Quand j’avais le temps, le matin je faisais soit de la gymnastique ou j’allais me baigner dans les petites plages. Ensuite, départ pour le marché et il y a en a plein à Dakar, en particulier le marché de Sandaga et le marché Kermel . Pour le midi un bon petit plat forcément, suivi d’une petite sieste. Le soir je retrouve des amis pour aller boire un verre dans un bar lounge. Il y a énormément de lounge au centre ville de Dakar, aux Almadies. Le must c’est aussi aller prendre un verre devant le coucher du soleil à la piscine du Radisson. Féérique !!! Mais bon, ce programme n’est plus d’actualité, je suis trop occupée a présent…

Pourquoi Dakar et pas une autre ville ?

Parce que c’est la capitale du Sénégal. Quand je suis revenue de l’île de la Réunion où j’ai vécu pendant 8 ans, je voulais absolument vivre dans un endroit proche de la mer. Arrivée au Sénégal, j’ai habité tout d’abord à M’bour et finalement je passais beaucoup de temps à Dakar, parce que culturellement c’est à Dakar que tout ça se passe. Par ailleurs, Dakar parce que c’est une ville cosmopolite, grouillante, dynamique, où on trouve TOUT, il suffit juste de chercher, par exemple, il y a un supermarché avec des produits indiens, épices et autres… J’étais trop contente quand j’ai découvert cela… Il y a toutes sortes de restaurants bon marchés ou chics, avec des spécialités sénégalaises ou libanaises, ou de tous pays, des sushis ou Fajitas…

 

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