C’est inédit. Le premier avion conçu et pensé par une entreprise africaine a été dévoilé mardi 27 septembre à Pretoria, enAfrique du Sud. Très léger, l’appareil militaire ressemble à un gros hélicoptère.

L’Advanced High Performance Reconnaissance Light Aircraft (AHRLAC) est le fruit d’une collaboration entre la compagnie aéronautique Aérosud et le groupe d’armement et de défense Paramount, précise The Washington Times.

L’avion, qui permet d’accueillir un pilote et un copilote, sera utilisé pour des missions de paix et de reconnaissance, et est armé pour se défendre. Il pourrait notamment être utilisé pour lutter contre la piraterie ou le braconnage.

Lire l’article sur http://africaboyebi.com/le-premier-avion-made-in-africa/ 

Ce long métrage documentaire suit la quête d’un pionnier du hip-hop africain, Didier Awadi, dans la réalisation d’un album en hommage aux leaders de la conscience noire qui se sont battus pour l’idéal d’une Afrique unie et indépendante. Une épopée musicale et politique qui le fait voyager à travers une quarantaine de pays et collaborer avec des artistes hip-hop engagés, tels que Smockey (Burkina Faso), M1 du groupe Dead Prez (États-Unis) et ZuluBoy (Afrique du Sud).

 

http://www.youtube.com/watch?feature=player_detailpage&v=xQyqrliNEdw

Voiture électrique, Une jeune congolaise invente une voiture électrique aux Etats-Unis [11/2008]

Par Africamaat.com / LNA | Découverte

Un jeune génie de la République démocratique du Congo (RDC) vivant aux Etats-Unis d’Amérique fait des merveilles scientifiques. Sandrine Ngalula Mubenga déjà admirée au pays de l’Oncle Sam pour ses inventions scientifiques montre des prouesses dignes d’être encouragées.

Une jeune savante de la RDC, Sandrine Ngalula Mubenga, épate le public américain par les prouesses de ses inventions scientifiques aux Etats Unis. Après avoir vécu dans plusieurs pays (RD Congo, France, Belgique, Sénégal), à l’âge de 12 ans Ngalula Sandrine Mubenga se retrouve à Kikwit au Bandundu. La cité de Kikwit n’avait à cette époque ni eau ni électricité. Ceux qui avaient les moyens financiers pouvaient acheter un groupe électrogène pour avoir de l’électricité. Et voilà qu’à l’âge de 17 ans, Mubenga tombe gravement malade et devait être opérée d’urgence. Malheureusement, l’hôpital général de Kikwit n’avait pas de carburant pour démarrer le groupe électrogène et opérer la malade. Pendant trois jours d’attente, la vie de Mubenga dépendait du courant électrique. Sandrine Mubenga considère son opération comme une chance et une bénédiction car, d’autres personnes meurent à cause de ce manque d’électricité. C’est à ce moment-là qu’elle réalisa la nécessite de l’électricité et décida de faire quelque chose pour changer la situation. Au 21ème siècle, il est inadmissible de mourir à cause du manque d’électricité. Mubenga décidera donc de devenir ingénieure. Elle est effectivement devenue ingénieur en électricité. En 2005, elle obtient avec brio sa licence en génie électrique de l’Université de Toledo de l’Etat de Ohio. Sa persévérance au travail académique lui fera remporter plusieurs bourses et prix en plus de quelques apparitions dans les journaux américains tels « Toledo Blade », « UT News ». En dernière année de Licence elle se fera remarquer par l’invention qu’elle réalisera d’un system solaire portable qui procure de l’électricité à partir d’un panneau solaire. Passionnée par les énergies alternatives et renouvelables, elle poursuit une formation pour créer et intégrer les systèmes solaires photovoltaïques. En travaillant pour Advanced Distributed Generation, le plus grand installeur de système solaire dans le Midwest Américain, elle a l’occasion de faire le design et installer plusieurs systèmes solaire dans la ville de Toledo à Ohio. Après sa licence, Mubenga travaille à la compagnie d’électricité First Energy dans le système de distribution où elle est ingénieure dans le groupe de planification pendant un an.
Une voiture qui ne pollue pas et dont le seul déchet est l’eau pure !
Toujours passionnée par les énergies alternatives, Mubenga rentre aux études pour poursuivre une Maîtrise en génie électrique dans la spécialisation de Puissance, sous l’aile de Dr Stuart, un professeur connu dans le domaine et qui détient plusieurs inventions reconnues à son actif. A côté de cet éminent scientifique et pour sa recherche, Mubenga fait une démonstration sur les technologies d’énergie alternative. Elle rend une voiture électrique hybride en intégrant une pile à combustible à hydrogène. La voiture créée roule en utilisant l’hydrogène comme carburant et le courant direct. Il s’agit d’une voiture qui ne pollue pas et dont le seul déchet est l’eau pure. En effet, la pile à combustible utilise le gaz hydrogène et l’air pour produire du courant direct. Ce courant est ensuite utilisé par un moteur électrique qui fait tourner les roues d’une voiture. Dès lors que cette voiture roule à partir d’hydrogène, la deuxième partie du projet consiste à générer cet hydrogène. Mubenga fait le design d’une station génératrice d’hydrogène avec pompe à hydrogène. La station est constituée d’une machine à électrolyse qui prend de l’eau et la décompose en hydrogène et oxygène. La station est alimentée par un système solaire qui produit de l’électricité. La voiture peut donc rouler jusqu’à la station et faire le plein d’hydrogène. Tout le système – des panneaux solaire jusqu’à la voiture – ne produit pas de pollution, pas de gaz carbonique. Il est silencieux et utilise les énergies renouvelables, notamment le soleil et l’hydrogène. Cette recherche est financée par le Département d’Energie Américain et le Département de Développement de l’Etat de l’Ohio. Sandrine Mubenga a déjà réalisé dans le même cadre un plan pour électrifier tous les villages de la RD Congo par l’énergie alternative. La jeune inventrice a, par ailleurs, réussi le test de certification national pour l’Etat de Ohio où elle est officiellement inscrite comme Ingénieur. Le Sénateur de l’Ohio et le Gouverneur de l’Etat ont même eu l’occasion de féliciter la jeune congolaise pour ses prouesses. Ngalula Sandrine Mubenga est marié à Fidèle Lufungulo. Ensemble, ils ont deux enfants de deux et d’une année. Le cas de cette inventrice mérite de retenir l’attention. Ce ne sont pas les talents qui manquent à la RD Congo, mais simplement la volonté politique !!

Lu sur Le Nouvel Afrique

Séverin Kezeu est Camerounais. Ingénieur et docteur en sciences informatiques industrielles, il est l’inventeur d’un système anticollision appelé Navigator. Un concept révolutionnaire.

Interview donnée au journal du Cameroun

Source : journalducameroun.com

Par Idriss Linge – 27/05/2010

L’expertise et l’expérience de ce Camerounais d’origine sont un atout pour les nombreux jeunes de la diaspora en quête d’exemple. Il a réussi à imposer son intelligence et sa persévérance

Pour ceux qui ne vous connaissent pas, qui est Séverin Kezeu

Je suis docteur ingénieur en sciences informatiques industrielles et expert en technologie embarquée et robotique, inventeur du système Navigator, système Anti-collision universel pour tout type de d’engin mobile : avion, car, bateau, train, grue, robot … Je suis le fondateur et président de SK Group, société française depuis 1998 dont la direction internationale et stratégique est maintenant à Dubaï Internet City. Nous sommes le leader mondial en matière de logiciel anti-collision 3D pour tout type de mobile.

Beaucoup dans l’univers des technologies vous considèrent comme l’inventeur du système anti-collision, au-delà de la controverse qu’il y a eu autour, comment a germé une telle idée en vous ? Mes travaux de thèse au sein de l’INRIA (Institut national de recherche en informatique et en automatique) en 1990 consistaient à développer un système anti-collision afin d’envoyer des robots pour des opérations de soudure à 200 mètres sous terre au cœur d’un réacteur nucléaire. J’ai donc pu constater que bien qu’il existait de nombreux systèmes anti-collision, ils étaient tous conçu par une approche verticale, c’est-à-dire de façon heuristique par des spécialistes de chaque domaine. Ainsi les professionnels de la grue par exemple vont développer un système pour les grues, ceux de l’automobile un pour les voitures. L’inconvénient de cette approche métier basé sur l’expérience est que l’on obtient des systèmes qui ne s’adaptent qu’à un type donné de mobile d’une part et surtout non optimums : présence de fausses alertes, certains cas de risque non traités.

Ainsi, il n’est pas possible d’éviter une collision entre un train sur un passage à niveau et une voiture, ou une grue à tour de chantier et un camion, ou encore un avion et un véhicule utilitaire sur le tarmac d’aéroport. J’ai donc compris que pour résoudre la problématique de collision dans la globalité et de façon optimale, il fallait s’intéresser au mobile en tant qu’objet intrinsèque et quelconque. J’ai ainsi développé une théorie mathématique qui permet de calculer de façon formelle le risque de collision entre un nombre illimité de mobiles de nature hétérogène.

Au début des années 90, grâce à l’avènement des technologies informatiques dites « orientées objets », à « l’intelligence artificielle » et aux « architectures de réseaux distribués de type client/serveur », ma nouvelle théorie m’a permis d’inventer le système Navigator, système anti-collision universel s’adaptant à tout type de mobiles mêmes lorsqu’ils sont de natures hétérogènes. Ce système m’a valu en 1991 le premier prix national français de l’invention et de l’innovation. En résumé, tous les systèmes concurrents sont électromécaniques et donc « limités » tandis que Navigator est le seul système « universel et intelligent » basé sur l’informatique embarquée par un ordinateur de bord.

Parlez-nous de ce système anti-collusion en trois dimensions qui connait aujourd’hui un tel grand succès

Mon invention s’est élargie à un nouveau concept global de sécurité et de productivité intégrés au sein d’une plateforme technologique logicielle appelée Navigator : « Global Safety Mobile Management ». Cette technologie consiste à doter un mobile d’une certaine forme d’intelligence artificielle lui permettant d’éviter automatiquement tout risque de collision, d’accident et d’intrusion avec son environnement composé de mobiles hétérogènes, d’obstacles en mouvement et de zones interdites programmables et d’optimiser sa productivité et sa maintenance.

vous êtes longtemps resté en France et aujourd’hui le SK group s’est installé à Dubaï, dans les Émirats, pourquoi ce choix de délocalisation ?

Il ne s’agit pas d’une délocalisation mais d’une internationalisation de nos activités. Il faut savoir que le premier domaine d’application de ma technologie fut les grues de chantiers. Dubaï avec 25% des grues de la planète était incontournable pour notre développement. C’est ainsi qu’en 2007, j’ai pris la décision de nommer un directeur SK Group France et de m’expatrier avec ma famille à Dubaï afin de conquérir ce marché colossal.

Le succès a été immédiat car nous sommes aujourd’hui numéro un dans le Golfe avec une part de marché de plus de 90%, et sommes désormais présents sur plusieurs continents : SK Solutions Dubaï, SK Abu Dhabi, SK Saudi Arabia, SK China, SK USA, SK UK, SK France. Valorisation totale du groupe : 100 millions de dollars.

En qualité d’inventeur camerounais mais dont l’invention est brevetée en France, est-ce-que vous vous considérez comme une des composantes de la fuite des cerveaux dont est victime le Cameroun ? Oui et non. Je suis un pur produit du système scolaire primaire et secondaire du Cameroun que j’ai excellemment validé par un baccalauréat C. Après avoir demandé en vain une bourse d’étude à mon pays le Cameroun, j’ai été obligé de perdre une année scolaire en m’inscrivant en première année d’université à Yaoundé en filière Mathématiques Informatique que j’ai validé brillamment en tant que major de promotion.

N’ayant toujours pas pu obtenir de bourse d’étude à l’étranger, mes parents ont réussi à m’envoyer poursuivre mes études en France à l’âge de 19 ans, où j’ai effectué toutes mes études supérieures : classes préparatoires, école polytechniques et doctorat.

Suite à l’obtention du premier prix national français de l’invention et de l’innovation, la France me propose la nationalité Française que j’accepte. J’obtiens alors la double nationalité camerounaise et française. Après plusieurs années de parcours du combattant dans les méandres de l’entrepreneuriat, ma technologie est aujourd’hui labellisée technologie clé française N°43 par le ministère français de l’industrie et adoptée par le ministère de la défense pour les applications militaires en particulier par la marine française. Aujourd’hui à 42 ans, j’en ai passé 19 ans au Cameroun et 23 en France. Vous comprendrez aisément qu’avec mon parcours je ne me sente pas totalement comme une composante de la fuite des cerveaux dont est victime le Cameroun.

On se souvient qu’en 2006, dans le cadre d’une interview, vous avez émis l’hypothèse de développer une de vos activités au Cameroun, notament dans la téléphonie, visiblement vous y avez renoncé, pourquoi ?

Notre projet d’implantation au Cameroun a tout simplement été différé. Nous sommes actuellement en cours d’élaboration d’un projet d’implantation au Cameroun. Ce projet permettra la valorisation à l’échelle mondiale du génie créatif camerounais.

Que pensez-vous du nouvel environnement des affaires au Cameroun, vu que vous pouvez en profiter en qualité d’investisseur étranger. Pour rappel l’état expérimente un système de création d’entreprise en trois jours, et est presque passé sur le régime de la déclaration ? J’observe avec beaucoup d’attention cette évolution. Dans le cadre de notre expansion à l’échelle internationale, nous sommes très attentifs au contexte politique, socioéconomique et fiscal du pays dans lequel nous investissons. Bien que mon cœur soit à Yaoundé, ma ville natale, je reste très pragmatique dans ma démarche.

On sait que vous aimez beaucoup le Cameroun, envisagez-vous de vous y installer un jour définitivement ?

Bien évidemment mon cœur est au Cameroun. Par contre dans ce contexte de mondialisation, je me sens citoyen du monde et suis prêt à m’expatrier chaque fois que c’est nécessaire afin d’être au cœur des régions du globe à forte croissance et à fort besoin de mon invention.

Source : Africamaat

Lyonel Trouillot grand prix du Roman Métis 2011

Le Grand Prix du Roman Métis 2011 a été décerné ce mardi au poète et romancier haïtien Lyonel Trouillot pour « La belle amour humaine » qui met en scène un Haïtien (Thomas) et une jeune occidentale (Anaïse).
Le Grand Prix du Roman Métis 2011 a été décerné ce mardi au poète et romancier haïtien Lyonel Trouillot pour « La belle amour humaine » qui met en scène un Haïtien (Thomas) et une jeune occidentale (Anaïse).L’auteur engage un dialogue décalé entre les deux personnages. Thomas décrit à la jeune femme les pouvoirs complexes des vivants et des morts dans son pays. Anaïse veut retrouver les traces d’un père qu’elle a à peine connu et éclaircir l’énigme qui fonde son roman familial.
Le Grand Prix du Roman Métis 2011 [créé en 2010], est organisé par la ville de Saint-Denis de la Réunion et l’association « la Réunion des Livres ».


Le Nègre ignore que ses ancêtres, qui se sont adaptés aux conditions matérielles de la vallée du Nil, sont les plus anciens guides de l’humanité dans la voie de la civilisation ; que ce sont eux qui ont crée les Arts, la religion (en particulier le monothéisme), la littérature, les premiers systèmes philosophiques, l’écriture, les sciences exactes (physique, mathématiques, mécanique, astronomie, calendrier…), la médecine, l’architecture, l’agriculture, etc. à une époque où le reste de la Terre (Asie, Europe : Grèce, Rome…) était plongé dans la barbarie.
Cheikh Anta Diop
Alerte sous les tropiques, Présence Africaine 2006, p. 48

La Conférence de Niamey (1984)

VIDÉO DURÉE :  3 H 21 minutes

 

Dr. cheik anta diop  les origines de l’humanité (en français et en anglais)

La falsification de l’Histoire

 

La méthodologie de Cheikh Anta Diop

 

Cheikh Anta Diop African Origin of Civilization (c) 2010  (in english)

Les mensonges sur Thalès, Pythagore, et Archimède

publié par Uhem Mesut, le renouvellement des naissances: http://uhem-mesut.com/

L’égypte antique nègre

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