http://www.youtube.com/watch?feature=player_detailpage&v=s4nfd9XZ9Ew

 

Imaginez toutes ces richesses de l’Afrique revenant vraiment aux africains, gérées par eux et bien gérées !!!

Imaginez tout le bien-être qui pourrait en découler pour tous les africains sans exception !

Ce rêve est possible…  Bientôt, il se réalisera… Car malgré les apparences, le 3e millénaire sera africain, le saviez-vous ?

 

Le Brigadier Général Dr. Otu Oviemo Ovadje est médecin militaire dans l’armée du Nigéria et il travaille à l’hôpital militaire de Ikoyi à Lagos. Déclaré meilleur scientifique africain de l’année 1995, il a inventé l’EATSET (emergency autotransfusion set) en 1989. Il s’agit d’un système d’autotransfusion après filtration afin d’éviter les risques de contamination de maladies possible lors d’une transfusion classique. Le risque d’incompatibilité de sang avec un donneur est ainsi écarté et la pression de la demande vers les banques de sang diminue aussi sensiblement. L’EATSET est principalement utilisé dans les cas d’hémorragie interne.

Site web: http://www.eatset.com

L’histoire n’a guère retenu leurs noms. Et pourtant, beaucoup de Noirs sont à l’origine ou ont participé à des découvertes scientifiques et techniques fondamentales aux XIXe et XXe siècles.

De nos jours, l’apport des Noirs à la technique ou à la science actuelles ne devrait surprendre personne car ces inventeurs, ces génies qui, avec des découvertes parfois simples,
facilitent la vie de millions de personnes. Il n’en reste pas moins que les grands medias n’en parlent jamais.

La réalité de leur contribution à la modernité contemporaine, bien qu’encore paradoxalement occultée dans
les mass-médias, est incontestable et restera impérissable.
Ils méritent eux aussi d’être enseignés dans les collèges, les lycées, les universités des territoires et départements d’outre-mer ainsi que dans les pays francophones…


S’il est un homme de science que la Guadeloupe ne devrait pas oublier et lui rendre les honneurs, et la reconnaissance qu’il mérite pour la plupart de ses travaux, c’est bien Monsieur Georges NICOLO

Granville T. WOODS
1856-1910

Four de chaudière à vapeur.

Chemin de fer électrique.
Frein automatique à air.
Emetteur de téléphone.
Frein électromécanique.
Télégraphie ferroviaire.
Système de télégraphe à induction.
Système de conduite aérien pour chemin de fer électrique.
Construction de tunnel pour voie ferrée électrique.
Pile électrisante

L’association ARCHIVE, présente « Noirs dans la Science », une exposition plastifiée (format 40X60), d’une quarantaine d’affiches représentant quelques inventeurs noirs ayant marqué nos habitudes journalières par leurs célèbres inventions.
Cette exposition s’adresse aux écoles, collèges, lycées, collectivités ou particuliers.

Le Professeur Omar Sankharé a été admis à l’agrégation en grammaire, hier à Paris. Il est le 2e agrégé en grammaire en Afrique francophone après Léopold Sédar Senghor, en 1935.

Le Sénégal compte un 2e agrégé en grammaire. Le professeur Omar Sankharé, de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar, est reçu au concours d’agrégation en grammaire, hier à Paris. L’information a été publiée par la radio dakaroise Rfm.

C’est un enseignant de grammaire française et un enseignant de littérature », témoigne le Professeur Moussa Daff, du département des Lettres modernes de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar (Ucad).

Le Professeur Sankharé est un passionné de littérature. Cette passion apparaît dans ses romans « Le jour et la nuit », « Youssou Ndour ». « C’est quelqu’un qui aime la belle langue et le beau style. Dans l’ouvrage sur « Youssou Ndour », il cherchait à étudier la richesse des rimes dans les chansons », s’exprime le professeur Moussa Daff.

Membre actif de l’Association des écrivains du Sénégal, le Professeur Sankharé milite pour la vulgarisation de la littérature africaine. L’universitaire s’est beaucoup intéressé à l’étude des oeuvres de Léopold Sédar Senghor.

« Le Professeur Sankharé est un senghorien. Lui et le professeur Alioune Diané ont beaucoup travaillé sur les Å »uvres de Senghor », ajoute Moussa Daff. Le nouvel agrégé enseigne aussi la grammaire à l’Université de Gaston Berger de Saint-Louis.

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30 ANS APRES SA MORT : Mariama Bâ renaît à travers ses écrits

Il y a maintenant 30 ans que la grande écrivaine sénégalaise, Mariama Bâ a disparu, suite à une longue maladie. 30 ans après, ses œuvres ont pris le relais dans sa lutte en faveur des droits de la femme et de l’éducation. Le monde de la littérature sénégalaise se souvient toujours d’elle grâce à ses écrits.

«Les morts ne sont pas morts», a écrit Birago Diop, de par ses écrits, Mariama Bâ, sans doute l’une des plus belles plumes de la littérature sénégalaise, cette féministe, enseignante et écrivaine engagée, demeure. Décédée d’un cancer le lundi 17 août 1981, après que son roman «Une si longue lettre» eut remporté le prix Noma de littérature en 1980, le monde de la littérature sénégalaise se souvient toujours d’elle et de ses écrits.
Figure marquante des lettres sénégalaises, Mariama Bâ a laissé des œuvres d’une grande portée : «Une si longue lettre» (1979), «La fonction politique des littératures africaines écrites» (1981) et «Un chant écarlate» (1981), qui sont les témoignages des combats qu’elle a menés, durant ces 52 années d’existence. D’habitude, ce sont les personnes qui font vivre leurs ouvrages, mais dans ce cas-ci, se sont ses productions qui ont fait vivre Mariama Bâ. Pour dire qu’elle fait partie de ceux qui ne meurent pas, elle restera vivante dans le cœur des Sénégalais pour lesquels elle demeure un modèle. Ses ouvrages restant toujours des modèles.«Une si longue lettre traduit en 17 langues»
Première romancière africaine à parler du rôle de la femme dans la société avec son roman «Si longue lettre», Mariama Bâ a fait la promotion de l’enseignement. Elle s’est ainsi battue durant toute sa vie, pour le droit des femmes. D’ailleurs, avec ce roman, Mariama Bâ est devenue une pionnière de la littérature féministe sénégalaise. Son livre courageux demeure une étape essentielle dans la prise de parole féminine et reste l’un des romans africains les plus lus sur le continent.
Traduit en plus 17 langues, «Une si longue lettre» est un livre témoignage sur le comportement masculin, le rôle de la famille et le poids de la religion islamique dans la vie du couple et, tout particulièrement, dans celle de la mère et de l’épouse. Cet ouvrage est une peinture de la société sénégalaise. Ce roman est considéré par les critiques comme la référence classique en ce qui concerne la condition féminine en Afrique. Il a fait l’objet d’études littéraires et sociologiques sur le rôle de la femme dans la société africaine contemporaine et sur la réalité des choix auxquels elle est confrontée par devoir social.
Elle a laissé une importante œuvre bibliographie non pas en quantité mais en qualité sur les thèmes abordés. Elle a laissé des traces indélébiles dans l’histoire de la littérature sénégalaise. La force de cette écrivaine demeure sa manière d’aborder les thèmes jadis tabous liés aux femmes dans la société sénégalaise. Elle était une grande figure du mouvement féministe sénégalais. Elle a toujours lutté pour les droits des femmes.

Lu sur Mouvement – MLA (Le Moment de se Lever pour l’Afrique)

Cette fracture numérique devrait cependant se résorber en 2012; c’est ce qu’indique en tout l’article «Internet en Afrique: la fin du désert numérique?» publié sur le site du Monde en février dernier.

En effet, des câbles qui doivent permettre l’accès à la fibre optique sont en train d’être installés en Afrique de l’Ouest. Il y a le West African Cable System (Wacs, en violet sur la carte ci-dessous) et surtout, concernant la Sierra Leone, l’Africa Coast To Europe (ACE, en orange). Un projet de 530 millions d’euros, financé en grande partie par France Télécom Orange, et qui devrait permettre de baisser l’accès au Net haut débit.

Cable fibre optique Afrique 2013

Câbles sous-marins prévus d’ici 2013 en Afrique subsaharienne, by Steve Song via Flickr CC, sourcemanypossibilities.net.

Lu sur The EconomistLeMonde.fr

 

  

La contrefaçon de médicaments est devenu un véritable fléau en Afrique. Mais le blog américain CNN Global Public Square signalait le 9 septembre qu’une entreprise avait mis au point un système permettant de lutter efficacement contre cette plaie.

Sproxil, une société américaine spécialisée dans la protection des marques a donc mis au point un procédé pour contrecarrer les faussaires. Pour chaque médicament, le patient dispose d’une carte à gratter, qui lui permet d’obtenir un code à envoyer à Sproxil par le biais d’un SMS. Reste plus qu’à attendre la réponse indiquant si le produit est ou non authentique.

Lire l’article sur http://www.slateafrique.com/39441/telephones-portables-pour-endiguer-la-contrefacon-de-medicaments

Pour savoir qui est intellectuel, qui ne l’est pas, il faut au préalable cerner l’incontournable définition de ce mot. Sur ce point, je rejoins l’avis de Rachid Mimouni qui disait qu’un intellectuel est un producteur d’idées.

A cet effet, hautement diplômé est une condition nécessaire mais pas suffisante pour mériter le qualificatif d’intellectuel. Sans diplômes nos ancêtres, dont les expressions proverbiales, si pleines d’intellectualité, nous servent de référence aujourd’hui, géraient leurs sociétés mieux que nous.

Un intellectuel ne doit pas se contenter du rôle de transmission d’idées récoltées, mais, pour mériter son qualificatif, il doit en produire aussi. Et, producteurs d’idées qu’il est, l’intellectuel est mieux placé pour explorer les idées d’autrui, d’où qu’elles viennent. De ce fait, pour que la multitude d’opinions exprimées par les citoyens à travers les médias ne soit pas vaine, il appartient aux intellectuels de les analyser et en tirer une synthèse pouvant refléter la pensée générale de l’Algérien. C’est pour combattre l’arrogance tout en privilégiant la connaissance que Mouloud Mammeri passait des heures à écouter les vieux illettrés dans les champs et sous les aléas du temps.

Parler de l’intellectuel sans penser à la culture, c’est vouloir une naissance sans fécondation. C’est justement le manque de cette fécondation entre l’intellectuel et la culture qui, au lieu de donner naissance à tout le bien qui peut lier notre population, est la cause du matérialisme, au point où l’âme de toute discussion est : « COMBIEN ? ».

Le respect que devait avoir l’argent s’est transformé en égoïsme séparateur de la société et briseur de la culture culturelle. A l’heure actuelle, la responsabilité de tout intellectuel est engagée pour re- sauver notre pays qu’ont déjà sauvé nos martyrs d’une façon la plus intellectuelle.

Il est urgent que la machine à penser de tout intellectuel se mette à fonctionner pour réparer la fissure séparant notre Algérie de celle de nos ancêtres, car le temps travaille pour son élargissement, peut-être, pour son irréversibilité. Unissons les deux parties séparées par cette fissure pour en faire une, avant qu’elles ne se multiplient en se divisant. Je ne termine pas mon texte avant de préciser que ce n’est pas en tant qu’intellectuel que je vous ai sollicités, mais en tant qu’Algérien sensible. A moins que si le sensible est intellectuel aussi qu’un intellectuel est sensible… Parlant justement de sensibilité, je pense qu’il est du devoir de tout intellectuel d’exploiter la sienne pour consolider et faire durer l’amour du pays qu’a provoqué notre équipe nationale de football. Et pourtant,  les footballeurs ne portent pas le titre d’intellectuels. Mais, ils ont su réveiller la fibre patriotique de tous leurs compatriotes. Tout âge, tout sexe, toute couche sociale, toute région et toute tendance politique confondus.

L’intellectualité peut-elle cohabiter avec les vices suivants : l’arrogance, le mépris, la malhonnêteté, l’ingratitude, l’infidélité, l’incivilité, l’égoïsme… ? Moi, je ne pense pas.

Un cerveau sans cœur, aveugle plus qu’il illumine.

ANNARIS AREZKI

 

 

En 1961, Youri Gagarine entre dans l’histoire en devenant le premier homme à effectuer un vol dans l’espace. Cinquante ans plus tard, la conquête spatiale fait toujours autant rêver, et même l’Afrique s’y est mise, à l’image de l’Ouganda. Au moment où l’exploration spatiale n’apparaît plus comme une priorité pour les Etats-Unis (l’année dernière, Obama a annulé le programme Constellation de la Nasa), un Ougandais semble décidé à se lancer dans la conquête de l’espace.

Ainsi, le 28 août, io9 nous apprend que Chris Nsamba, ingénieur aéronautique indépendant et fondateur du Programme de Recherche Spatial Africain, envisage de construire une navette spatiale. Ce dernier a déjà entrepris la construction d’un avion dans son jardin. Une fois terminé, il entamera les travaux de la navette. Nsamba est un précurseur en Afrique. Néanmoins, avant lui, d’autres ont essayé de s’envoler avec leurs propres machines. Le 13 octobre 2010, io9 évoquait quelques réalisations.

Lire l’article sur http://www.slateafrique.com/32971/ouganda-vers-l-infini-et-au-dela-navette-spatiale