Un conseil de révision de la Constitution a été mis en place et les conclusions de ses travaux seront transmises au gouvernement et au parlement du Liberia.
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C’est le ministre libérien de l’Information, Louis Brown qui a révélé mercredi lors d’une intervention, l’intention de la présidente Johnson-Sirleaf d’accepter une réduction des mandats du chef de l’Etat et des membres du Parlement.

Selon le ministre, la première femme chef d’Etat sur le continent, plaide pour une réduction du mandat présidentiel qui doit être ramené à 4 ans alors qu’il est actuellement de 6 ans.

Le mandat sera renouvelable une fois, précise le ministre.

S’agissant des autres organes, la présidente du Liberia souhaite que le mandat des membres de la chambre des représentants soit ramené également de 6 à 4 ans et celui des sénateurs passe de 9 à 6 ans.

Lire l’article sur http://www.senegal7.com/Liberia-reduction-des-mandats-presidentiels_a12041.html

 

promsol-four-soaire-energies-renouvelablesL’accès à l’électricité est un problème majeur en Afrique. Au Tchad, par exemple, seulement 5% de la population a accès à l’électricité. Les réseaux de distribution du gaz sont presque inexistants. Face à la désertification qui menace tout le pays, le gouvernement tchadien a interdit, en 2008, l’utilisation du bois de chauffe et du charbon de bois, principales sources énergétiques des ménages tchadiens. Résultat : flambée des prix du bois de chauffe. Un problème majeur auquel, il fallait trouver une solution immédiate : le four solaire.

Lire l’article sur http://revue-afrique.com/tchad-promosol-four-solaire-energie-renouvelables/

 

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C´est officiel, du primaire au secondaire, les enfants de Julius Nyerere (tout premier président tanzanien de 1964-1985) recevront désormais leurs cours en swahili. Leur scolarisation se fera également sans payement de frais et ils ne passeront un examen officielle que 11 ans après les début de leur formation primaire et secondaire.

Cette information que nous relate la revue “panafricain Tv” dans un article publié le 16 décembre tombe comme un véritable coup de massue face aux efforts incessants des anciens colonisateurs à maintenir leur hégémonie dans cette région du globe non seulement à travers les langues, mais aussi à travers le système de scolarisation. Il faut dire que du Commonwealth à la francophonie, le colon a su créer un cadre satisfaisant de promotion et de valorisation de sa langue en Afrique. Initiative qui a porté ses fruits puisqu´aujourd´hui bon nombre d´États africains utilisent leurs langues comme langue d´enseignement au détriments des langues locales le plus souvent utilisées comme moyen de communication sociale.Certains pays comme le Burkinafaso d´ailleurs ont du sacrifier les langues les plus répandues dans leurs pays tels le Mooré et le foufouldé au profit du français qui n´est parlé que par les 10% de la population. Il était donc grand temps que le gouvernement de John Magufuli prenne une telle disposition car dans un pays d´environ 34 millions d´habitants où les 95% de la population s´expriment couramment en swahili pendant que seulement 1,5 millions peuvent écrire une correspondance en anglais, le choix ne s´imposait pas.Avancée considérableCette résolution aura pour conséquence visible, la rapide scolarisation des élèves qui n´auront plus à terminer un cursus primaire sans maîtriser la langue d´enseignement à laquelle ils sont soumis. Elle permettra également une avancée considérable en terme de croissance économique car le pays ne sera plus seulement géré par la minorité anglophone qui peut jusqu´aujourd´hui définir et voter les lois en anglais sans que la population ne soit capable de s´exprimer pour donner son avis. La recherche d´une main d´œuvre bien formée et qualifiée pour relever l´économie du pays ne sera plus un problème car les ressources humaines présentes pourront aisément après une telle formation participer à la production économique. Ce sera enfin un moyen de coordination sociale dans laquelle toutes les souches sociales se sentiront concerner par la promotion de leur propre culture et la construction de leur avenir.

Lire l’article sur http://camersenat.info/la-tanzanie-abandonne-langlais-comme-langue-denseignement-au-profit-du-kiswahili/

Le ministère angolais des Télécommunications et de l’Information a procédé ce samedi 30 août, au lancement du projet « Angola online », destiné à équiper les espaces publics de la capitale Luanda d’un accès Internet gratuit. Un bon moyen de participer pleinement au « défi digital » face à la globalisation et à la concurrence économique mondiale.

 

Le Bénin en rêve, le Sénégal s’y attèle, l’Angola l’a fait. L’implantation de zones wifi gratuites dans les centres névralgiques de Luanda (parcs et places publiques), était l’un des projets phares du Centre des technologies de l’information (CNTI). Ce Samedi 30 août, à la Place de l’indépendance de la capitale angolaise, a eu lieu le lancement de ce projet baptisé « Angola online », en présence du Ministre des Télécommunications et de l’Information, José da Rocha et du Gouverneur de Luanda, Bento Francisco Bento. D’après le communiqué de presse du Ministère des Télécommunications, la première phase du plan consiste à garantir un accès gratuit à Internet à la place historique de Cazenga, à la place de l’Indépendance, à la maison de la Jeunesse de Viana, au parc Samba, à la place FAPA, la place des écoles, à l’école supérieure des télécommunications, à la place de l’église São Domingos, au campus de l’université et à la place de la Famille. Chaque point Internet pourra garantir 60 accès simultanés soit près de 30.000 personnes connectées par jour à raison de 2 heures maximum de navigation par connexion.

 

Lire l’article sur http://oeildafrique.com/angola-reseau-wifi-desormais-disponible-gratuitement-luanda/

Au Nigéria, Segun Oyeyiola souhaitait participer à l’effort collectif pour sauver la planète. Alors, il a transformé sa Volkswagen Beetle, plus connue dans l’espace francophone sous le nom de ‘Coccinelle’ en une voiture fonctionnant à l’énergie verte. Dans la journée, le véhicule utilise l’énergie captée par un panneau solaire fixé sur son toit. A la tombée de la nuit, trois éoliennes placées sous son capot servent à recharger la batterie en prenant le relais du panneau solaire.
Lire l’article sur http://ecceafrica.com/coccinelle-vue-reinventee-nigerian/#.VnrtirbhDEY

???????????????????????????????Si vous allez un jour  au Mali et que vous voyez un ordinateur avec un écran HDMI (High-Definition Multimedia Interface ) , une  carte PC d’une capacité d’un giga de Ram ( Random-access memory  ), d’une vitesse de processeur de 1,4 giga-hertz , une souris et un clavier , le tout fonctionnant sous « Ubuntu » et que celui-ci porte la marque de « Limmorgal » ne soyez pas surpris .  Rassurez vous, ce n’est pas l’un des ces nombreux ordinateurs bon marché et de mauvaise qualité qui inondent le marché africain.

« Limmorgal » , qui signifie calculateur, en langue nationale peule, est l’œuvre des sociétés de droit malien Internet society Mali (ISOC Mali) et Intelec 3. Fait avec du matériel simple, cet ordinateur possède, juste à l’arrière de l’écran,   un boitier qui  contient tous les accessoires et terminaux de commande.

 

Lire l’article sur http://afrikhepri.org/le-premier-ordinateur-made-in-mali/

 

Les Rendez-vous de l’Afrique consciente » a accueilli un débat sur « L’Afrique fédérale », samedi dernier au Monument de la Renaissance. Diverses questions liées à la sécurité, l’éducation, la migration dans le continent, en vue d’encourager une Afrique fédérale, ont été abordées.

Dans son mot de bienvenue, Cheikh Mbengue Coly, administrateur adjoint du Monument de la Renaissance africaine, a placé l’importance de l’activité dans le sens qu’« elle permet que la voix de l’Afrique soit entendue ». Revenant sur l’appel du Comité d’initiative pour les Etats Africains Unis, le sociologue Mamadou Mignane Diouf, coordinateur du comité d’initiative, a insisté qu’il y a un malaise total en Afrique dans un contexte de pauvreté.

Au-delà, et eu égard à la question de la sécurité et de la paix dans une Afrique fédérale, le général Mouhamadou Mansour Seck a estimé qu’on doit être prêt en permanence car on ne parle plus de guerre classique mais de guerre asymétrique. Pour les nouvelles menaces qui pèsent sur nous, « l’arme principale c’est la terreur. Ils ont une arme beaucoup plus subtile. Ils tapent au moment où on ne s’attend pas », a-t-il indiqué. Mais il reste convaincu que « le terrorisme peut être vaincu. Il faut le partage de l’information, faire de l’anticipation.

Le citoyen doit désormais participer à la bataille du renseignement qui est fondamental et que nos services de renseignements et de politique soient modernisés », a défendu le général Seck.  Pour le Pr Bouba Diop qui a axé sa communication sur le rôle et la place de l’éducation dans le projet fédéral, l’éducation et la formation restent la clé pour réaliser la paix, la solidarité panafricaine. « Elle permet le développement durable, l’innovation… Il nous faut changer notre manière de voir les choses, décoloniser la pensée et éduquer nos citoyens dans la diversité. Grâce à l‘éducation, les Africains comprendront l’importance de leur unité », a-t-il complété. Mamadou Wone qui se prononçait, lui, sur la problématique de la protection des enfants , a invité à une solution politique.

Selon M. Wone, seul un projet politique d’unification du continent peut nous aider à résoudre ce problème.  Abordant la thématique « l’Afrique fédérale pour stopper la migration des jeunes vers l’Occident », Anthoumani Moussa des Comores, a soutenu que la jeunesse africaine est en déperdition du fait de la pauvreté, de la mal gouvernance, du manque d’opportunités, à la recherche de vie meilleure.  « L’Afrique fédérale unie peut sauver la jeunesse africaine. Il faut la libre circulation des personnes et de leurs biens en Afrique. Une Afrique réunie est une Afrique forte économiquement » a-t-il prétexté.

Lu dans le site du journal le Soleil du lundi 23 novembre 2015

 

L’Afrique de l’Est est une des rares régions du monde, avec l’Islande, où les mécanismes telluriques affectant la planète amènent le manteau terrestre (à une température de 1300°C) à remonter à faible profondeur du fait de la dynamique des plaques. De ce phénomène d’extension résulte un flux de chaleur qui peut être jusqu’à dix fois supérieur à la moyenne terrestre : il peut atteindre de l’ordre de 1 MW par Km2. En conséquence, des températures de 250°C peuvent être atteintes à 1.500 ou 2.000m de profondeur. De ce fait, une électricité renouvelable peut y être produite par forages exploitant de la vapeur directement envoyée en turbine. De très nombreux sites favorables à de tels développements ont été identifiés tout le long de la vallée du rift, depuis l’Erythrée au nord jusqu’à la Tanzanie au sud, et le Kenya a pris le leadership de ce développement avec plusieurs centaines de MWe installés sur le site d’Olkaria et l’objectif d’atteindre 4.000Mwe en 2030.

La géothermie pourrait transformer les économies d’Afrique de l’Est. Accroître la production d’électricité est essentiel dans cette région où la majorité de la population n’a pas accès à l’électricité. La Vallée du Grand Rift possède un potentiel de 20.000 MW d’énergie géothermique. Le Kenya fut le premier pays du continent africain (et reste aujourd’hui le seul) à avoir mis en exploitation cette énergie renouvelable non intermittente, avec l’ouverture de la centrale d’Olkaria au début des années 80. Depuis, de nouvelles tranches sont venues accroître la puissance totale de la centrale, dont une nouvelle de 140 MW inaugurée récemment. Avec un total de 280 MW, c’est désormais l’un des plus grandes centrales géothermiques du monde : elle alimente 500.000 foyers et produit plus de la moitié de l’électricité Kényane.

 

Lire l’article sur http://afrikhepri.org/le-kenya-inaugure-la-premiere-centrale-geothermique-dafrique/

 

 

C’est à un classique du patrimoine littéraire africain que la cinéaste Angèle Diabang a décidé de s’attaquer, pour ses premiers pas dans la fiction. Son projet est l’un des dix projets sélectionnés par la Fabrique Les cinémas du monde de l’Institut français, et présenté en mai dernier durant le Festival de Cannes.

Elle voulait être ambassadrice « comme (la cantatrice américaine) Barbara Hendricks. « Quand j’ai quitté le droit pour aller faire du cinéma, je me suis dit que je pouvais toujours être ambassadrice… grâce à l’art », confie la cinéaste sénégalaise Angèle Diabang. Elle se formera dans son pays, en Allemagne et en France, notamment à la Femis. Elle réalise son premier court métrage documentaire, « Mon beau sourire« , en 2005. Pour ses projets suivants, elle décide de créer sa propre maison de production Karoninka, échaudée par ses déboires avec un producteur. « Quand on réalise, on est fragile. Je me sens plus en sécurité dans la production », explique la cinéaste. Elle réalisera ainsi deux autres documentaires : « Sénégalaises et islam » en 2007 et « Yandé Codou, la griotte de Senghor » en 2008.

Sa maison a produit une dizaine de projets. « Un si longue lettre« , adapté du livre éponyme de sa célèbre compatriote Mariama Bâ, sera sa première fiction. Il est l’un des 10 projets sélectionnés cette année à La Fabrique Les cinémas du Monde, programme conçu par l’Institut français avec l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF), le Festival de Cannes et Le Marché du film. Le programme invite sur la Croisette des cinéastes et leurs producteurs qui travaillent sur un premier ou deuxième long métrage afin de les aider à le concrétiser.

 

Lire l’article sur http://www.afrik.com/angele-diabang-adaptera-une-si-longue-lettre-au-cinema

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Il s’appelle Logou Minsob Jules, jeune électrotechnicien de son état il est le concepteur du tout premier robot de cuisine africaine dénommé le « Foufoumix ». À 38 ans seulement, cet inventeur très apprécié par ses clients compte à son actif une demi-douzaine d’inventions protégées par des brevets.

Parmi ces inventions, figure en bonne place le Foufoumix qui fait aujourd’hui le bonheur des ménages et restaurants du Togo qui proposent cette pâte élastique obtenue à base d’ignames ou d’autres tubercules, à leur menu.

Présentation du Foufoumix

Cette invention, selon son auteur, est imaginée pour répondre à un problème local à propos de la préparation du foufou. C’est en voyant, notamment chez sa mère, les efforts et la fatigue qu’engendre la préparation du foufou que M. Logou s’est mis en tête de trouver une solution alors qu’il était en classe de 4e. Il met au point un prototype lorsqu’il arrive en classe de 2de, une machine directement inspirée du système de pilon traditionnel qui est de nature à plus fatiguer les ménagères avec beaucoup d’insécurités autour.

 

Lire l’article sur http://www.afrokanlife.com/le-premier-robot-de-cuisine-africaine-le-foufoumix/