La tablette Qelasy, « made in Côte d’Ivoire », inventée par l’Ivoirien Thierry N’douffou, 36 ans, a été officiellement lancée, vendredi soir, à Abidjan en présence du ministre ivoirien de la Poste, des technologies de l’information et de la communication, Bruno Nabagné Koné et de nombreux étudiants rassemblés dans un Amphi de l’Université Félix Houphouët-Boigny, a constaté APA sur place.
Lire la suite de l’article sur http://news.abidjan.net/h/510629.html
Aucune recherche spécifique n’a encore été faite sur ce phénomène. Et pourtant, au nord du pays, un peuple « les Palaka » affirme détenir le remède permettant de redonner à un enfant né albinos, une apparence normale. Mythe ou réalité ? Les scientifiques émettent, pour leur part, d’importantes réserves, même s’ils n’excluent pas la possibilité d’examiner cette piste.
EBOLA – EXPLICATIONS
Les contacts fortuits, dans les lieux publics, avec des personnes ne paraissant pas être malades ne peuvent PAS transmettre le virus Ebola.
Vous ne pouvez PAS être contaminé en manipulant de l’argent ou des provisions ou en nageant dans une piscine. Les moustiques ne transmettent PAS le virus Ebola.
Par ailleurs, ce dernier, contrairement au virus de la grippe, NE SE TRANSMET PAS DANS L’AIR
Le virus Ebola est facilement détruit par le savon, l’eau de Javel, la lumière du soleil ou des températures élevées, ou bien encore par séchage. Laver à la machine des vêtements contaminés par des fluides permet de détruire le virus. Le virus Ebola ne survit que très peu de temps sur des surfaces exposées au soleil ou desséchées.
Il peut survivre plus longtemps sur des vêtements ou des matières tachés de sang ou d’autres fluides corporels..; IL NE SE PROPAGE DONC QUE PAR CONTACT DIRECT ET CONTINU AVEC UNE PERSONNE INFECTEE
Dissocier le cas de la personne infectée par le virus EBOLA, de celui qui a la fièvre hémorragique EBOLA.
La personne infectée par le virus, l’incubateur est de 3 a 21 jours, avant de tomber malade. Au cours de cette période, elle ne transmet pas la maladie car il n’est pas encore malade. Il faut néanmoins, une fois qu’elle est identifiée, la mettre en quarantaine et la traiter, pour qu’elle n’entre pas dans la phase contagieuse.
La personne qui a la fièvre EBOLA a une importante transpiration, vomit du sang, à la diarrhée. Elle devient en ce moment la extrêmement contagieuse et tout contact avec l’une de ses sécrétions transmet le virus.
NE PAS CREER DE PSCHYCOSE
NE PAS PANIQUER
NE PAS DIFFUSER DE FAUSSES NOUVELLES
NE PAS TOMBER DANS LA XENOPHOBIE
FAIRE DE LA PREVENTION INDIVIDUELLE ET CiTOYENNE
Pierre Djibril Coulibaly a été récompensé du prix International Star Award for Quality (ISAQ) en recevant à Genève, le 29 Septembre 2013, le Prix » Convention » dans la catégorie Or pour le logiciel NexPro UBS qu’il a conçu. Cet inventeur fait la fierté de la Côte d’Ivoire, et de l’Afrique de façon générale.
Pour en savoir plus : www.nexproubs.com
Lire la suite de l’article sur http://www.kumatoo.com/french/pierre_djibril_coulibaly.html
Incroyable ! Un nigérian développe un vaccin contre le virus Ebola (les détails…)
Un Nigérian vivant en diaspora a mis au point un médicament expérimental appelé Nano Silver pour traiter le virus Ebola.
Le ministre de la Santé du Nigéria, Onyebuchi Chukwu, a déclaré qu’un médicament expérimental devrait arriver au Nigeria hier jeudi 14 août 2014.
Le vaccin est considéré comme approuvé par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), compte tenu de la déclaration initiale de l’organisation que des traitements expérimentaux sont d’ordre éthique dans le cas de la pandémie du virus Ebola.
Le gouvernement nigérian mercredi a autorisé l’utilisation de médicaments expérimentaux pour le traitement du virus Ebola.
Lire l’article sur http://africeleb.com/incroyable-nigerian-developpe-vaccin-contre-virus-ebola-les-details/
11:04 15/08/2014
Les médecins nigérians ont mis au point un médicament contre la fièvre hémorragique à virus Ebola, annonce vendredi l’agence NAN se référant au ministre nigérian de la Santé Onyebuchi Chukwu.
Ce dernier a annoncé lors d’une conférence de presse que le médicament mis au point par un chercheur nigérian portait le nom de Nano-Silver (Nano-argent).
Lire l’article sur http://fr.ria.ru/world/20140815/202153061.html
DERNIERE INFO
Et voilà les criminels de l’industrie pharmaceutique mondiale à l’oeuvre, aidés de nos dirigeants corrompus… Et pourtant ils refusaient de donner leur sérum aux africains, et maintenant que nous avons le notre, comme par hasard, ils veulent bien. C’était prévisible !
Mais ils ne gagneront pas, ils ne gagneront plus…
Nigeria: Abandon du médicament local Nano Silver au profit du Zmapp pour traiter Ebola
– Nigeria, le 17 août 2014 © koaci.com– Le médicament localNano Silver Rechercher Nano Silver conçu par un nigérian et qui devrait être testé de façon expérimentale àLagos Rechercher Lagos sur les patients infectés par le virus Ebola Rechercher Ebola est retiré dans les traitements visant à lutter contre la maladie.
Lire l’article sur http://koaci.com/nigeria-abandon-medicament-local-nano-silver-profit-zmapp-pour-traiter-ebola-93903.html
Talibi est un mot wolof qui peut signifier la route, une route goudronnée où circulent taxis, mini cars, bus…, sans oublier les bons vieux cars rapides bien spécifiques au Sénégal. Talibi, c’est également le nom d’une application web à la pointe de l’innovation. Une application développée par nos amis de Carrapide.com, une jeune startup sénégalaise dirigée par ‘‘deux passionnés de la technologie’’ comme ils se définissent. Le blogueur Arouna Ba a testé l »application et a fait une interview avec les initiateurs. Social Net Link vous libre une partie de son article que vous pouvez lire en entier ici .
C’est quoi l’application Talibi et quel est son objectif ?
C’est un projet offrant la possibilité aux usagers des transports en communs de se déplacer plus facilement par le calcul d’itinéraire optimal. Nous avons grandi à Dakar avec un système traditionnel de direction basé sur l’oral où il fallait demander au plus sage de nous guider …
Les sénégalais étant de nature assez ouverts, on pouvait compter sur le prochain inconnu que l’on rencontrera dans la rue pour nous guider dans nos déplacements.
A cette époque il y avait seulement Dakar Dem Dikk (ou SOTRAC) et assez peu de lignes pour que la carte des transports en commun puisse tenir dans une tête. Avec le temps, le réseau des transports en commun s’est densifié, de nouveaux opérateurs sont arrivés dont les lignes de mini bus Tata.
Aujourd’hui il est très difficile de se repérer à Dakar dès qu’on quitte sa ligne de prédilection. De nouvelles lignes de bus sont ajoutées à une cadence que la mémoire ne peut pas suivre. C’est dans ce contexte que nous avons identifié la nécessité d’une solution technologique à ce problème.
Et d’où vous est venue l’inspiration ?
A Paris, la Régie autonome des transports parisiens (RATP) propose à ses usagers un ensemble d’outils leur permettant de déterminer un itinéraire entre deux lieux. Transport For London (TFL) fait la même chose à Londres. Ce problème est résolu dans toutes grandes villes du Monde. Pourquoi pas à Dakar ?
Comment fonctionne l’application ?
Je veux me déplacer sur Dakar. Je connais mon adresse de départ et mon adresse d’arrivée. Je vais sur www.talibi.carrapide.com, j’indique ces deux adresses et l’application me donne le chemin le
plus rapide ou celui avec le moins de changement qui sera probablement le chemin le moins coûteux.
Les dakarois peuvent également participer au projet en nous aidant à cartographier l’ensemble des arrêts de bus Dakar Dem Dikk et AFTU (ou Tata) de la ville. Pour cela, allez vite sur cette page :http://talibi.carrapide.com/ugc
Du point du vue technique, comment s’est passé la conception ?
Nous avons utilisés des outils mathématiques basiques que n’importe qui peut trouver dans les livres ou sur le net : la trigonométrie (sinus, cosinus, arccosinus …), la recherche opérationnelle, la théorie des graphes… Ce sont des maths qu’on apprend dans les universités et écoles d’ingénieurs du monde
entier. Nous avons complété avec nos propres algorithmes.
Nous recueillons les données sur le terrain parce que pour chaque ligne, il nous faut connaitre exactement l’itinéraire du début à la fin en passant par les arrêts. Nous utilisons pour cela des technologies GPS.
Est-ce que l’application est accessible sur tous les terminaux : ordinateurs, iPhones, tablettes… ?
Le site est accessible et utilisable à partir de n’importe quel terminal mobile. Les applications Android et iphone seront développées dans un avenir proche.
Mais, pensez vous vraiment que la population pourra profiter d’un tel outil ? Au Sénégal, la plupart de ceux qui ont un Smartphone connecté à internet ont leurs propres véhicules ou se déplacent en taxi.
C’est vrai que beaucoup n’ont pas encore accès à l’internet mobile. Mais, avec la rapidité à laquelle le mobile progresse en Afrique, nous sommes optimistes. Observez la progression du nombre de smartphones connectés à internet sur les deux dernières années au Sénégal ! Il sera aussi possible de recevoir les itinéraires par SMS bientôt.
Comment un investisseur intéressé ou un partenaire potentiel pourrait-il vous contacter ?
Via notre adresse e-mail contact_at_carrapide.com
Lu sur http://www.socialnetlink.org
Frederick McKinley JONES
17 mai 1893 – 1961
Frederick McKinley JONES naît en 1892, à Corvington, dans le Kentucky. Il ne fréquente pas très longtemps l’école, ce qui ne l’empêchera pas, plus tard, d’être une autorité en matière de réfrigération.
Frederick M. JONES a obtenu plus de 60 brevets dans des domaines variés, mais la réfrigération demeurera sa spécialité.
En 1935, Frederick M. JONES invente le premier système de réfrigération pour des semi-remorques qui se déplacent sur de longues distances.
Plus tard, le système sera adapté à d’autres moyens de transport, tels que des bateaux et des wagons de chemin de fer.
La première unité opérationnelle de réfrigération de Frederick M. JONES change complètement le transport d’alimentation industrielle. Ce système permet d’éliminer les problèmes de nourriture avariée, et change les habitudes alimentaires de l’Amérique.
En outre, Frederick M. JONES développe :
un dispositif de conditionnement d’air pour les hôpitaux militaires de campagne (très utile pour conserver, à une température juste, le sérum nécessaire aux transfusions de sang ainsi que les médicaments),
une machine portable à rayons-X,
un réfrigérateur pour les cuisines militaires de campagne.
Frederick M. JONES est enrôlé, pendant la Première Guerre mondiale, en France. Après la guerre, il devient mécanicien.
De ses connaissances, acquises de cette première expérience, il développe un moteur à essence à auto-démarrage.
A la fin de l’année 1920, Frederick M. JONES dessine toute une série de dispositifs pour l’industrie du cinéma qui est, alors, en train de prendre de l’essor; Il procède à des adaptations sur les projecteurs de films silencieux pour y loger, à la place, des films parlants. Il développe, également, un équipement de guichets qui délivre des tickets et rend la monnaie.
En 1949, la US Thermo Control Company, qu’il a fondée avec son ancien patron, J. A. NUMERO, atteint un chiffre d’affaires annuel de 3.000.000 dollars. Ils y fabriquent des climatiseurs automatiques, pour les trains, les bateaux et les avions, qui permettront la conservation, en bon état de fraîcheur pendant de longues heures, des denrées alimentaires. Frederick M. JONES est derrière tout cela.
Au cours de l’année 1950, on appelle Frederick M. JONES à Washington pour qu’il puisse donner son avis en matière de réfrigération. Il devient consultant au ministère de la Défense et à l’Office des normes des Etats-Unis.
Frederick M. JONES, perpétuellement insatisfait, ne sera jamais content des améliorations qu’il apportera aux équipements de refroidissement d’air.
Il développe des moyens de conservation de l’air ambiant des aliments à une température constante.
Frederick M. JONES crée d’autres dispositifs qui produisent des conditions atmosphériques spéciales pour préserver, du dessèchement, les fraises, ainsi que d’autres fruits, ou ralentir leur maturité avant qu’ils n’arrivent dans les rayons des supermarchés.
Il travaille au développement d’autres procédés de contrôle de l’humidité de l’air ainsi que celui de la circulation de l’air.
Frederick M. JONES a rendu possible, pour la première fois, des inventions qui ont permis le transport de viandes, de fruits, de légumes, d’½ufs, de beurre, ainsi que d’autres produits qui nécessitaient leur réfrigération au cours de transports sur de longues distances, en toute saison.
Lorsque, en 1961, Frederick M. JONES meurt à Minneapolis, ses inventions sont utiles à tous, dans le monde entier. Il a contribué, à l’arrière-scène, à de nombreux conforts de vie, luxueux.
Et donc, lorsque vous vous rendrez, la prochaine fois, dans un établissement à restauration rapide, ou que vous verrez l’une de ces grosses plates-formes avec des unités de réfrigération à l’avant des semi-remorques, pensez à l’homme qui a rendu cela possible : Frederick McKinley JONES.
Lu sur http://www.associationarchive.com
Lauréats de la deuxième édition du Prix de l’entrepreneur africain. DR
La cérémonie de remise du Prix de l’entrepreneur africain de France 2014 a eu lieu le 19 juin à Paris. Cinq lauréats ont été récompensés durant la deuxième édition de cet événement lancé en 2011 par l’association AfricAngels.
Cette année, le prix d’honneur a été remis à Paul Derreumaux, fondateur du groupe Bank of Africa.La deuxième édition du Prix de l’entrepreneur africain de France, lancé en 2011 par l’association AfricAngels, a eu lieu le 19 juin. L’événement, organisé en partenariat avec le cabinet de conseil Mazars et en collaboration avec Black Roses Network, récompense « les entrepreneurs africains qui participent au dynamisme économique de la France ».