L’excision est une pratique qui perdure en Afrique particulièrement en Ouganda où cinq personnes ont été condamnées à quatre ans de prison.
Auteur : diasporas
Au Rythme de la Kora ancestrale… Ils étaient là nombreux, les intellectuels africains, panafricains, africanistes, ou que sais je encore… tous ceux qui avaient attendu 30 ans, cet événement… Un film sur Cheikh Anta Diop !
Ils sont venus, ils étaient tous là, ses disciples, lecteurs initiés, adorateurs, sympathisants, lecteurs du dimanche ou simples abonnés à ses citations répandues sur toute la planète à la vitesse de la lumière, et puis aussi, ceux qui viennent pour venir, ceux qui assistent pour assister, à toute grand-messe, pourvu que quelqu’un l’ait déclarée inratable…
Mais tous ces gens, quel que soit leur motif, n’allaient pas repartir indemnes de cette avant-première mondiale du Film Kemtiyu Sèex Anta, mais proches, très proches de Lui…
Je suis arrivée, seule, j’ai salué des connaissances, embrassé parents et amis, puis je me suis assise, loin de tous, pour mieux savourer chaque minute de ce nectar inespéré, ce n’était pas le moment d’être dans les chuchotis ou les confidences, j’étais dans un instant éternel, en méditation, en prière…
Je ressentais profondément cet événement comme majeur… Il y a des jours comme ça, on sent que c’est un tournant !
D’abord, une chanteuse Ma Sané du groupe Wa Flash de Thiès, que je ne connaissais pas, belle, majestueuse comme une prêtresse égyptienne, elle l’a chanté du tréfonds de son âme, c’était beau et solennel ! Cheikh Anta…
Et puis, ses enfants dignes avec quelques humbles paroles…
Puis Laurence, à qui on doit le montage, pleine de trac, d’émotion, mais professionnelle…
Et enfin le réalisateur de ce film historique, celui que tous appellent affectueusement Willy, une grande silhouette dégingandée, familière, l’humilité personnifiée, « Yes I » a-t-il lancé à l’assistance avec un sourire en coin comme pour défier son trac…
Quand ce film a commencé, mon cœur s’est mis en apnée et mes larmes en apesanteur…
J’ai avalé chaque miette des nombreux témoignages si justes, je guettais chacune de ses apparitions sur l’écran comme on s’abreuve, comme si je voulais scanner son image dans mon cerveau, je me suis attachée à sa veuve si simple et aimante, j’ai applaudi comme si je lui envoyais des ondes de lumière plusieurs décennies après, à chacune de ses vérités immuables, véritables joyaux, et j’ai ressenti le formidable cran de ce grand maître incarné, ce magnifique pharaon déguisé en savant baol-baol à Paris le temple de la connaissance mais aussi de l’histoire falsifiée, son entêtement à étudier toutes ces disciplines scientifiques, son amour immense pour sa terre et pour l’humanité, son exigence de Vérité, j’ai ressenti les barreaux de sa prison senghorienne, la solidarité de sa communauté Bayfaal, la nonchalance multiséculaire de Ceytou, le mépris de ses ennemis, le respect de ses pairs, sa vie de famille pleine d’amour, de pudeur mais aussi de privations, sa haute intégrité, la fierté de ses disciples et admirateurs, sa tendresse envers ses proches, l’ignorance de ses frères qui seule pouvait l’ébranler au plus profond de son être, l’outrecuidance de Senghor et de sa clique française et francafricaine désormais livrés au sévère jugement de l’Histoire avec un grand H…
C’était grandiose !
J’ai ressenti avec une terrible émotion chaque séquence de ce film multidimensionnel et quantique.
Et dans ma tête, la musique flamboyante de Randy Weston continue encore et encore d’invoquer les ancêtres d’Afrique mais aussi ceux des champs de coton…
Je le connaissais, je le lisais, je l’aimais, je le citais, je prônais ses enseignements, mais désormais, je me sens orpheline…
Car ce film m’a apporté l’affection que seule apporte la proximité qui me manquait avec ce magnifique pharaon tout droit sorti des limbes de nos cerveaux pour se matérialiser dans nos cœurs…
Comment remercier ce magicien, Ousmane William Mbaye certainement scribe dans une vie antérieure en Égypte au côté de ce grand Pharaon, merci à toi Mamane, merci Willy pour cette affectueuse proximité, merci pour cet attachement indélébile que je ressens dorénavant pour mon père, mon ancêtre…
Car cet homme, c’est sûr, fait partie de la cohorte de mes ancêtres, nos ancêtres, qui veillent sur nous de l’au-delà, c’est-à-dire ici et maintenant !
L’Afrique va s’en sortir car l’Afrique est de nouveau connectée à ses ancêtres ! Yes I !
Mame Hulo
Directrice de Diasporas Noires Editions et Activiste du panafricanisme
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Rappel de la biographie de Cheikh Anta Diop
Né en 1923 dans un village du Sénégal profond, il se passionne très tôt pour les sciences et l’histoire de l’Afrique.
Il débarque à Paris en 1947 pour étudier la philosophie, puis la physique, la chimie, l’histoire, la linguistique, l’anthropologie. Ses professeurs sont Gaston Bachelard, Marcel Griaule et Frédéric Joliot-Curie.
En 1954, il publie « Nations Nègres et culture », un livre-culte, qui révolutionne la vision sur l’origine des civilisations, en déclarant que l’humanité est née en Afrique, que l’Égypte pharaonique était nègre et que l’histoire a été falsifiée.
Oser contredire les égyptologues et ébranler les symboles va lui couter cher toute sa vie…
Sa thèse de doctorat en poche, il rentre au Sénégal en 1960, au moment de l’indépendance, et se heurte à Léopold Sédar Senghor qui lui interdit d’enseigner à l’Université.
Soutenu par Théodore Monod, Cheikh Anta construit alors à Dakar, son propre laboratoire de datation au Carbone 14.
Il est convaincu que le développement de l’Afrique passe par l’apprentissage des sciences, la défense des langues nationales et la fédération des États-Unis d’Afrique.
Malgré un parcours constamment parsemé d’embuches et d’adversaires, Cheikh Anta Diop le rebelle, laisse derrière lui une oeuvre colossale et féconde et quelques héritiers à travers le monde, qui revendiquent sa pensée et ses combats.
« Il est permis de se demander s’il n’est pas de ceux qui, de leur vivant, se sont installés confortablement dans l’éternité « écrivait un journaliste, déjà en 1960.
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Titre : KEMTIYU, Cheikh Anta
Genre : Documentaire de création – Durée : 94′ – Année : 2016
Scénario Réalisation & Production : Ousmane William MBAYE
Montage & Production : Laurence ATTALI
Musique : Randy WESTON
Conseil scientifique: Cheikh Mbacké DIOP
Les Films MAME YANDE – William Mbaye
Production et Distribution :
AUTOPRODUCTION – Laurence Attali
source dossier technique du Film
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Filmographie de Ousmane William Mbaye
- 1979 : Doomi Ngacc (L’enfant de Ngatch)
- 1981 : Duunde Yakaar (Pain sec)
- 1989 : Dakar Clando
- 1992 : Dial Diali
- 1992 : Fresque
- 2003 : Xalima la plume
- 2005 : Fer et verre
- 2008 : Mère-Bi (La mère)
- 2012 : Président Dia (documentaire)
Source (Wikipédia)
Pour une fois qu’un remède à base de plante fonctionne, pourquoi les spécialistes de la malaria y sont-ils opposés?
Il est un peu plus de 9 heures à la ferme horticole Wagagai, et Robert Watsusi pédale sur sa bicyclette sur laquelle sont chargés deux bidons de 11 litres remplis d’une tisane chaude, noire et amère. A peine a-t-il franchi le coin que les ouvriers sortent de hangars horticoles aussi grands que des terrains de football pour prendre leur dose quotidienne de l’élixir qu’ils affirment les préserver de la malaria.
«Quand je vois les gens en boire, je suis content, dit Watsusi. C’est bon pour tout le monde.»
La tisane est faite avec des feuilles d’Artemisia Annua, ou armoise annuelle, une plante chinoise qui constitue la base des traitements anti-malaria les plus efficaces au monde, qui associe les dérivés de l’artémisinine avec une classe de médicament plus anciens. La plante peut également être cultivée dans les régions plus humides d’Afrique, et une année de stock ne revient qu’à quelques dollars.
Bien que la tisane elle-même n’ait été traditionnellement utilisée en Chine qu’en guise de traitement curatif, plutôt qu’aux fins de prévention, un essai randomisé contrôlé mené dans cette ferme a montré que les ouvriers qui en boivent régulièrement ont vu leur risque de souffrir d’épisodes multiples de malaria réduit d’un tiers. Une bénédiction pour cette population, autrefois victime quatre fois par an, voire plus, de cette maladie transmise par un moustique.
Lire l’article sur http://www.slate.fr/story/73443/oms-contre-tisane-anti-paludisme-malaria
Le jeune Togolais Edouard AKAKPO-LADO fait une petite révolution en matière de transformation des noix de palmes. Il vient d’inventer « Merlinox », une machine qui sert à piler les noix de palme et permet l’obtention de plusieurs produits dérivés du palmier comme l’huile de palme ou encore l’huile de noix de palme. La machine produit également l’huile de noix de coco pour le bonheur des ménagères.
2014 est incontestablement l’année du Togo en matière d’innovation. Après Logou Minsob, 2ème prix de l’innovation pour l’Afrique (foufoux mix) et Afate Kodjo Gnikou vainqueur du Prix de l’innovation de Barcelone (imprimante 3D), un autre togolais vient de mettre sur pieds « Merlinox », la machine qui permet la production des produits dérivés du palmier sans effort.
Lire l’article sur http://www.africatopsuccess.com/2014/09/09/innovation-un-togolais-invente-merlinox-la-machine-dextraction-de-lhuile-de-palme/
Ce dimanche 22 mars c’est la journée internationale de l’eau, en cette honneur, Terrelocale.net vous propose de découvrir un moyen naturel de purifier ce liquide précieux.
Dans de nombreux pays du Sud, l’accès à l’eau est un problème auquel la population fait face quotidiennement.
Dans de nombreux cas, également, les gens ont accès à une eau de mauvaise qualité, qui n’est pas adaptée pour la boisson ou l’usage domestique.
Ces problèmes se retrouvent bien sûr dans les pays du Nord, à la différence que ces pays, riches, disposent des moyens technologiques et financiers pour traiter l’eau et la rendre potable, ce qui n’est pas le cas des pays plus pauvres de l’hémisphère Sud, qui n’ont pas les moyens d’importer ni de développer ces technologies.
Lire l’article sur http://www.terrelocale.net/Les-graines-de-Moringa-pour-rendre.html#.U_4d3-m0bcE.facebook
Lors d’une conférence en novembre 2011, j’ai exposé cinq(5) secrets qui pour moi représentent des piliers de l’entrepreneuriat. J’ai jugé opportun en ce début d’année 2014 de revenir de manière transversale, sur l’ensemble de mes recommandations . Entreprendre en Afrique est très souvent un parcours de combattant et pour y parvenir, les jeunes entrepreneurs doivent se prémunir d’un arsenal à la hauteur de cette noble ambition. J’ai essayé de dégager cinq (5) attitudes qui feront du jeune africain, un homme averti dans sa démarche de création d’entreprise.
« Décider de faire les choses … »
Entreprendre c’est décider de faire quelque chose. Pour moi c’est décider de prendre en main son avenir et tutoyer la passion de faire les choses par soi-même ! Tous les entrepreneurs ont un dénominateur commun : décider de faire une chose ! Ces citoyens d’un nouveau type décident tout simplement de faire les choses autrement. Et cela est un secret qu’ils partagent tous. Le secret de décider de faire les choses pour mettre en marche le processus de l’entrepreneuriat. Tant que vous ne décidez pas, tant que vous ne formulez pas l’idée d’entreprise, vous serez toujours à l’étape zéro. Vous n’allez jamais décoller car ne sachant où partir ! Vous n’allez jamais faire avancer les choses car ne sachant dans quel sens les orienter ! Donc, il faut décider de faire avancer les choses, il faut décider d’agir, il faut tout simplement décider de décoller. Et en faisant cela, vous verrez se mettre en route le processus de création et c’est cela le plus important.
« Apprendre pour être capable de bâtir … »
Apprendre pour être capable de créer est aussi un secret ! C’est pourquoi j’explique toujours, qu’il est important de circonscrire ses objectifs à la lumière de ses compétences. Si vous constatez que vous n’avez pas les compétences qu’il vous faut, vous devez automatiquement chercher à vous former ou vous entourer de compétences dans une philosophie d’intelligence collective. Il faut se former pour être capable de bâtir, parce que personne n’a la science infuse.
Lire l’article sur http://lentrepreneuriat.net/marketing-et-managementcinq-5-recommandations-aux-jeunes-entrepreneurs-africains
Sous forme de minis cabines mobiles avec des équipements pour accéder aux technologies de l’information et de la communication (Tic), ils sont alimentés par des batteries rechargeables avec l’énergie solaire et montés sur deux roues de la dimension des bicyclettes, ce qui leur permet de se déplacer dans les endroits où les besoins se font sentir pour offrir une connexion en temps réel et des services de bureautiques.
Ainsi se présentent les cybercafés mobiles mis au point par un groupe de jeunes ivoiriens. Baptisés « Package Net Box mobile », ces appareils adaptés aux utilisateurs pour plus de confort, comprennent un boîtier équipé d’un téléphone, une connexion internet mobile, un appareil photo numérique, un scanner, un fax, un photocopieur, des cartes de recharges pour les téléphones mobiles et un ou deux Desk top.
Lire l’article sur http://lentrepreneuriat.net/business-newsc-te-d-ivoire-place-aux-cybercaf-s-mobiles
L’application « Saya » lancée par l’entrepreneur ghanéen Robert Lamptey a été rachetée par la start-up américaine « Kirusa »basée aux Etats-Unis et spécialisée dans la messagerie vocale et les applications mobiles pour les médias sociaux.
«C’était un mariage parfait. Inderpal (ndlr DG et président de Kirusa) et moi nous nous connaissions depuis un certain temps et sommes arrivés à un point que nous voulions réaliser des choses ensemble. Les discussions se se sont transformées en une acquisition ». Robert Lamptey créateur de « Saya » n’est pas peu fier du rachat de son application par la start-up américaine Kirusa. L’influence grandissante de cette application a peut être constitué un facteur clé dans la décision de l’entreprise américaine. En effet, cette application de tchat mobile créée en 2001, est utilisée par des millions d’utilisateurs. Son rayonnement a même dépassé les frontières de l’Afrique, car ce système est notamment utilisé en Inde, au Bangladesh, en Indonésie, et en Syrie.
La souveraineté monétaire peut permettre à un pays de pouvoir manipuler sa politique monétaire en toute autonomie pour faire face aux chocs économiques, selon l’économiste Babacar Sène, agrégé des Universités. Il animait, samedi dernier, une conférence sur le thème « Souveraineté monétaire de l’Afrique et le Franc Cfa » à l’occasion des « Rendez-vous de l’Afrique consciente », organisés par Mame Hulo.
Introduisant le thème de sa communication, l’économiste Babacar Sène note que la souveraineté monétaire de l’Afrique a fait l’objet, ces dernières années, de nombreux débats. Si certains ont préféré abandonner leur monnaie pour intégrer une union monétaire, d’autres ont décidé de garder leur propre monnaie et disposer d’une certaine autonomie. Il a donné l’exemple du Nigeria qui a décidé de suspendre la convertibilité du Naira en dollar. D’après le conférencier, la souveraineté monétaire peut être gage d’optimalité. Il explique que le choix d’adhérer à une zone monétaire ou bien de choisir un régime de change dépend des politiques.
L’économiste note que la souveraineté monétaire permet à un pays de contrecarrer les chocs exogènes ou endogènes. Autrement dit, un pays souverain sur le plan monétaire peut manipuler, à tout moment, sa monnaie pour faire face à des chocs économiques comme un repli du prix du baril de pétrole, la fluctuation du taux directeur du dollar. Alors que cela n’est pas possible pour un pays membre d’une zone monétaire. C’est le cas dans la zone Euro avec l’Allemagne qui a des problèmes économiques différents de ceux de la Grèce. Pour Babacar Sène, dans une souveraineté monétaire, un pays, à travers sa banque centrale, peut utiliser l’arme monétaire pour faire face à des problèmes d’ordre économique comme l’emploi, la croissance, l’inflation. « Pourquoi l’Afrique devrait-elle être souveraine sur le plan monétaire ? », se demande l’économiste. Il avance les avantages liés à la souveraineté monétaire comme réponse. Le professeur Sène souligne que les débats sur cette question s’inscrivent dans la littérature liée au choix d’un régime de change (fixe ou flottant). Les pays qui disposent de leur propre monnaie peuvent laisser celle-ci flotter sur le marché de change. Et leur banque centrale aura beaucoup plus de marges de manœuvre pour faire face à un certain nombre de difficultés économiques. Contrairement à un régime de change fixe où le pays membre est tenu de respecter la parité en vigueur. En sus de cela, souligne l’économiste, que dans une souveraineté monétaire, les taux de change peuvent jouer un rôle de stabilisateur économique. Les pays avec un régime de change flottant, peuvent déprécier leur monnaie et retrouver une certaine compétitivité internationale.
Comme autres avantages, il y a l’autonomie de sa politique monétaire. La banque centrale peut intervenir à tout moment sur le marché financier. Et elle n’est pas contrainte d’intervenir sur le marché de change pour défendre sa parité fixe. La politique monétaire peut également être utilisée pour atteindre d’autres objectifs économiques internes et externes. En d’autres termes, dans certains pays, la banque centrale se fixe seulement pour objectif de lutter contre l’inflation alors que d’autres mettent l’accent sur la croissance. Selon M. Sène, les institutions financières d’émission doivent aussi s’occuper de la croissance, comme c’est le cas aux Etats unis où lorsque l’économie américaine souffre des problèmes de croissance, la Fed (banque centrale américaine) intervient. « Pour mettre en place des politiques de développement d’émergence, il est fondamental qu’on aille vers des règles qui tiennent compte de la croissance dans la politique monétaire. L’autonomie de la politique monétaire veut dire aussi qu’aucun pays n’est obligé d’importer de l’inflation », insiste l’économiste.
Un Sénégalais basé à Touba qui n’a que le Bfem est en phase de créer une voiture solaire. Cheikhouna Lô, concepteur de la voiture solaire, a révélé que « dans 6 mois, le Sénégal aura la première voiture solaire ». « Je crée, j’innove et j’invente des choses. J’ai créé une voiture qui marche à base de l’énergie solaire et je détiens le brevet délivré par l’Oapi (Organisation africaine de la propriété intellectuelle). Il ne me reste que la présentation du prototype », soutient-il dans L’Obs.
Lire l’Article sur http://www.leral.net/Un-jeune-de-Touba-titulaire-du-Bfem-cree-une-voiture-solaire_a162614.html